Lundi 05 décembre 2005

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Lundi 05 décembre 2005

Hommes,
Certains de vos savants calculs théoriques, vous expliquent que le monde physique, celui que vous vivez, n’existe que par ce que vous l’observez. Une avancée remarquable, mais qui malgré sa hardiesse est encore loin de la réalité intrinsèque de l’esprit. Ce que vous nommez la mécanique quantique, porte encore à réfléchir et divise vos communautés savantes plutôt que de les unir vers l’acceptation finale d’un grandiose et, quoi que l’on en dise, divin.

Mais acceptons un instant cette idée pour suivre ce qu’elle sous entend et ainsi nous rapprocher d’avantage de l’idée universelle que nous essayons d’émettre sur les mondes habités.

L’observation stipule l’attention et un point de réflexion présent dans l’univers. Autrement dit, l’on observe quelque chose, par ce que nous sommes, vous êtes en réflexion.

Et l’action créé donc un monde agissant selon les stimuli intellectuels sensoriels des êtres. Une action qui agit indépendamment des connaissances puisque l’idée vaudrait pour l’insecte ou l’animal. Reste à savoir si vous accepterez que la présence spirituelle suffirait a projeté dans l’espace la forme d’un arbre par l’être spirituel concerné.

Maintenant essayons par cela même de comprendre ou d’évaluer ce que pourrait vouloir dire le hasard, là dedans ; un monde virtuel donc, réagissant selon l’observation et s’ordonnant sous l’influence des besoins ainsi déterminés.

Le hasard sous cette vision n’est donc plus possible puisque la valeur reconnaissante, c’est à dire la forme physique ou l’événement fortuit est déterminé par l’esprit même de l’observateur.

Vous conviendrez que ce raccourci facile et incursion dans le dédale des théories est fait pour vous sensibiliser, d’une part sur ce que vous vivez ici chez vous, sur vos vies privées et naturellement sur nos manifestations en générale. Leur forme est assujetti a l’observation qui en est faite et selon le sens cruciale de l’esprit qui le veux et le partage irrémédiablement. Ainsi sont crées les formes et leurs influences.

Nous :
Ce que vous nous dites, est une généralité ?? (Christelle une personne nouvelle)

Eux :
Nous essayons de vous sensibiliser sur la vision, la reconnaissance. Pourquoi voyez vous ces choses, pourquoi vivez vous ces choses et d’ou viens cet exclusivisme.
L’explication que nous venons de vous transmettre est à méditer, car assimilée, elle peut vous permettre de mieux comprendre comment agit votre esprit et d’autre part, comment agit ce que vous nommez la nature.
Ce sont des choses que vous avez entendu mes amis. Rappelez vous que nous sommes pour vous une cane et non des révélateurs de mystérieuses données. L’univers qui vous est supérieur ne doit pas impressionner votre intellect. Pour y arriver il vous faut faire l’effort de tendre vers lui en vous ouvrant à l’information.

Nous :
Lors de la séance du 7 novembre vous nous parliez de zone d’ombre. Est ce que si on allume la lampe UV lors de la séance, cela pourrait être un plus ?

Eux :
Bien entendu. Pourquoi est elle ici chez vous? A notre demande, bon. Ce qu’il faut là dedans, comme dans tout le reste, est de savoir mesurer les sources entre elles. Nous avons besoin de supports égaux et non d’explosions plus ou moins puissantes et annihilantes.
Lorsque nous parlions des zones d’ombres, nous pensions plutôt à vos projecteurs lumineux. Ils émettent des lumières très concentriques et non diffuses. Essayez donc les gélatines blanches, neutres ou grises. Puis essayez d’éloigner les sources pour éviter les halos, ce qui attire et fixe vos oscillations vidéo. Ayez toujours a l’esprit que l’uniformité d’un vivier lumineux est plus modulable qu’une lumière dure, bien trop déterminée et trop forte pour ce fondre dans nos modulations.

Nous :
Est ce que la lampe noire est suffisamment puissante ??

Eux :
Non bien entendu. Pensez là aussi à l’UV et à l’infra rouge.

Nous :
Nous avons été attaqué sur notre façon de contraster les images que nous recevions. Pouvez vous nous donner votre avis ce que nous faisons et devons nous continuer dans ce sens ?

Eux :
Nous nous sommes déjà exprimé sur ce sujet, mais reviendrons sur ce point. Le travail des images n’est utile que dans le partage de la manifestation et le souci de précision que votre entreprise technique suppose. Le contraste des images est à la source, une mauvaise diffusion lumineuse et bien entendu un contact aléatoire. Le contraste des images que nous vous émettons, fait parti du cheminement pour l’obtention d’autres qui seront effectives dès la formation. Mais encore une fois, ne soyez pas frileux et apeuré par ce que vous faites.
Vous n’êtes pas des prédicateurs et nous ne cherchons pas à vous projeter dans une place qui ne vous revient pas. Soyez mature dans votre démarche et surtout aimant. Le travail réalisé sur ces épreuves doit être vue comme des réglages. En effet il ne suffit pas de contraster les clichés, aussi faut il comprendre ce qui manque et l’ajouter en amont.
Nous vous laissons à vos études.

Sébastopol, Éric, Eraste et Tardieux.