lundi 05 novembre 2007

English version

Les esprits :
Mes chers amis, si il est vrai que la recherche se planifie sur de nombreuses années, il est certain aussi qu’elle se vie pleinement et au jour du labeur. Nous devons donc parler tout autant de progression que de menée et au présent. La vie est confondue dans le choix, un éventail d’inconvénients inventés à chaque moment de votre évolution. Des chicanes voulues par vos caractères, vos tendances et votre volonté. Le final n’est jamais en doute mais l’assurance d’une ligne droite est impossible. Nous pouvons soit vous éviter l’abîme, mais nous ne préviendrons pas l’abîme puisqu’il n’existe pas de fatalité. Vous inventez votre lendemain et la sinuosité du parcours. A chacune de vos décisions nous nous adaptons et selon vos choix antérieurs prévoyons les aboutissements. Mais les moyens reste de votre bon droit. Voilà pourquoi il ne faut jamais remettre à demain ce qui peut être fait sur le moment et si l’importance des choses à faire vous rend songeur, alors trouvez la modération dans l’ouvrage plutôt que dans une suspension aléatoire et toujours caduque. Ne boudez pas votre plaisir et goûtez à nos contacts sur le fait, ni au passé, ni en avenir, mais au présent.

Jean-Luc :
Si je comprend bien cela veut dire que lorsque vous nous donnez des conseils, par exemple pour l’atelier, la configuration, cela ne sert à rien d’attendre et qu’il faut essayer de les mettre en place dès maintenant !

Les esprits :
Bien entendu, ne vous lancez pas dans la prévision, dans l’élaboration d’un plan structurel avenir, mais aller au plus simple. Il existe un archétype à tout ceci d’une simplicité absolue, c’est de vous même que vous déciderez comment l’habiller, le convertire en forme, le rendre en concordance avec votre technique. Cela pourrait aller de la configuration la plus simple à la plus élaborée. L’importance est d’en comprendre son principe et aussi sa raison d’être.

Jean-Luc :
Vous nous suggérez de faire les choses tout de suite, mais bon, vous nous avez demandé de modifier notre configuration en mettant en place une cabine en nous décrivant assez bien celle–ci, pensez vous que nous devrons réaliser ce travail dans ici même dans cet atelier ou dans un autre local ?
Parce que au jour d’aujourd’hui on ne sait pas si nous allons rester ici encore plusieurs années et la cabine à monter est un travail important. Faut il commencer à la monter ici ou ailleurs ?

Les esprits :
Combien de temps comptes tu mettre pour construire cette cellule ?

Jean-Luc :
Je pense que pour construire quelque chose de correcte il va falloir quand même plusieurs jours !

Les esprits :
Qu’est ce qui s’oppose à la première manipulation en ce sens ?

Jean-Luc :
Eu…

Les esprits :
Lorsque tu a imaginé la structure métallique du Module s’avais tu à ce moment là ce qui allait t’arrivé, ce que tu deviendrais ?
Pourtant tu l’a réalisé, pourquoi se serait différent aujourd’hui ?

Jean-Luc :
Parce qu’aujourd’hui j’ai des petits soucis. Il est vrai que vous m’avez dit de rester confiant, mais j’ai une épée d’Amoclesse au dessus de la tête et si tout ce passe mal je ne pourrais sûrement pas rester dans cette maison !

Les esprits :
Ce que tu commences ici tu le finira ailleurs !

Jean-Luc :
D’accord…Bon….
Donc on va essayé de mettre en application ce que vous nous avez proposé.

Les esprits :
Ici réside le chemin de la volonté et des valeurs. Jaugez donc ce que sont vos priorités, ce qui est bon de faire et vous vous apercevrez que tout arrive à qui c’est attendre. Il vous suffit d’observer vos vies, de sonder vos cœurs et vous trouverez le temps pour cet ouvrage.

Jean-Luc :
C’est vrai mais vous savez aussi que ce n’est pas qu’une question de temps !

Les esprits :
De temps ?
Nous avons parler en premier lieu de volonté !

Jean-Luc :
D’accord…
On va donc travailler sur cette ouvrage.
L’autre question que nous avions préparé est celle-ci :
Nous savons par expérience que les questions que l’on vous pose sont déterminantes pour l’avancement de notre travail. Hors il nous est souvent très compliqué de trouver des questions nouvelles, inédites et susceptibles d’apporter des nouveaux détails. Nous essayons alors de trouver des nouvelles idées d’investigation chez les internautes en leur proposant de poser des questions en rapport à nos travaux. Malheureusement tout ceci ne suffit pas pour nous amener de la nouveauté. Qui penser alors de cette lacune et de notre manque d’ingéniosité ?

Les esprits :
Ah voici un état des lieux peu flatteur !
En effet il est difficile de se diriger hors des sentiers battus ou du giron de la bien séance. Pourtant et vous avez raison, c’est dans l’inconnu, le non pensé qu’existe la réalité, la nouveauté, l’indice déclencheur. Il faut savoir détourner son regard de la voie éclairée pour oser s’aventurer dans celle qui ne semble pas engageante. L’imagination, la présence d’esprit doit être au rendez-vous et vous serez poser la bonne question pourvu que vous vous sentiez beaucoup plus investit. Qui d’entre vous a lu nos derniers messages, qui a prit la peine de les étudier, de poser à plat les difficultés qu’ils représentent ?
Vous êtes des semeurs, des récolteurs, mais vous n’exploitez pas les richesses. C’est le propos de notre intervention de ce soir. Vous avez les moyens d’aller vite et bien, mais l’objectif du travail vous fait encore peur. Aller du courage.

Jean-Luc :
C’est vrai et là on va faire notre méaculpa, car on vous dit que l’on a pas de nouvelles questions, c’est vrai que l’on vous demande comment faire pour avancer un petit peu plus, Mais c’est vrai aussi que tout ceci vous nous l’avez très souvent expliqué et que nous n’avons toujours pas mit ces conseils en place. A quoi cela sert de vous poser des questions si nous ne prenons pas plus en compte ce que vous nous dites. C’est pourquoi nous avions décidé de stopper les questions réponses en ce domaine pendant quelques années, estimant alors que nous ne travaillions pas suffisamment sur les comptes rendus. A voir votre message de ce soir il semblerait que cela ne nous ai pas vraiment servit de leçon. Vous avez raison, plutôt que de demander nous devrions nous mettre un peu plus au travail. Et cette cabine que l’on doit installer autour du Module et bien il va falloir que l’on y pense sérieusement.
Brahim a tu quelque chose à rajouter ?

Brahim :
Non…

Jean-Luc :

Auriez vous quelque chose a rajouter pour conclure, un message à faire passer au Internautes ?

Les esprits :
A ceux qui on beaucoup l’on demandera beaucoup, vous avez beaucoup mes frères, avec cette lourde tache de partager nos contact et l’ouverture que cela suppose. Ne croyez pas que votre travail soit vain, ne pensez pas que les choses se feront selon la force de leur élan naturel, non. Il y a du travail et en premier lieu celui de votre gouverne. Nous avons besoin de toutes les âmes de bonne volonté, mais il ne suffit pas de répondre à l’appel aussi faut-il garder en l’état le flambeau que l’on vous confit. Et ceci n’est pas pénible mais demande de la force, de la foi et de la régularité. Un terrain préservé qui devra arriver aux générations suivantes. Nous nous communiquons depuis bien longtemps avant vous, avec vous et après vous. Le travail que nous faisons correspond à des dessins qui vous échappent mais où vous y avez votre place. Il est bon frères et sœurs que vous en ayez conscience, l’univers vous parle, vous écoute et vit en vous. Considérez la place privilégiée que vous avez et porté haut et fort le message de la survivance.

Gabriel, Emmanuel et Ambigael.