mardi 04 mai 2010

English version

Les Esprits :
Mes chers frères, voyez comme votre réunion nous attire et nous convie au partage. Nous ne sommes jamais bien loin et vous le savez, vous le ressentez. Et ce ne sont pas les calculs ni les données qui devraient vous éloignez de nous. Nous comprenons votre désarroi et le questionnement qui vous préoccupe. La technicité dont vous devez faire preuve ne doit pas être rébarbative ni le joug qui terrasse le mauvais élève.
Croyez vous que nous vous avons choisit pour vous faire entendre notre volonté ?
Pour vous obliger aux sciences ?
Non. Nous avons fait appel à des femmes et des hommes disponibles, inventifs, intelligents. Qui loin des yeux et de ses certitudes ont su ouvrir leur cœur à l’indicible. Et ce terreau dont vous êtes fait est un trésor pour nous. Ne voyez pas dans nos écrits l’invitation sournoise à l’effort, la mise en œuvre de la plus simple des flatteries. Ni voyez qu’encouragements car la charge n’est pas si lourde que cela et l’annonce n’est pas vaine. Beaucoup de grandes découvertes humaines ont été faites fortuitement, du moins selon l’adage convenu. Et bien dites vous qu’ici parmi vous tous, existe la matière à nos manifestations. Ceci est tangent, souvent à la lisière de la fabuleuse rencontre. Allons-y, travaillons !
Ce qui ne veut pas dire : torturons-nous, mais ouvrons nos cœurs et nos entendements.

Relecture de Jean Luc

Jean Luc :
On va dire que c’est plutôt un message d’encouragement. Je pense qu’ils ont sentit que l’on était un peu coincer avec ces questions techniques. C’est un peu pour essayer de nous remonter le moral, j’allais dire. Merci à vous pour ce message, cette introduction.

Nous avons quelques questions à vous poser :

Questions proposées par un internaute Julien.

La première question est :

 » Sachant les informations que vous nous aviez donné aux précédentes séances. C’est à dire lorsque vous nous disiez qu’il faudrait à terme enlever l’écran et n’utiliser que les lasers pour la création de l’hologramme. Le croisement de plusieurs lasers sur plusieurs axes avec une zone de convergence commune, pourrait-il vous permettre de créer cet hologramme en ayant plus la nécessité d’utiliser le larsen vidéo et le projecteur ? « 

Les Esprits :
La multiplicité des sources lasers est déjà un système de production d’hologramme. Vous pouvez, si vous le désirez, multiplier ces dispositifs. On le fait généralement pour les hologrammes combinés, pour des prestations particulières demandant un grand champ de vision. La vidéo dont tu parles n’est cependant pas une fin en soit. Elle n’est que la fin d’un cycle et le début d’autre chose. La combinaison des franges d’interférence pourrait, il est vrai, rendre d’avantage visible le foyer de la manifestation, mais serait bien trop compliquée à mettre en place. Orientez-vous sur l’hologramme de restitution. Vous trouverez, dans beaucoup d’exemples, le meilleur moyen de palier à vos difficultés. Pour ce faire, un rayon et un sens précis de l’observation. N’oubliez pas que nous ferons l’hologramme, vous le restituerez pour qu’il soit visible.

Jean Luc :
La question n°2 est :

 » Vous nous dites que vos manifestations seront visibles à l’œil nu, sans que nous ayons besoin d’un écran. Vous nous aviez parlé de fumé avant de nous dire que c’était seulement un exemple et qu’il fallait aller au plus simple. Et malgré que vous puissiez moduler la cohérence du laser pour y faire apparaître une image, nous ne pouvons la voir sans un minimum de réflexion et ce en direction de nos yeux. Est-ce que la solution serait le gaz qui se trouvant dans la zone de modulation serait assez dense et opaque pour réfléchir la lumière vers nos yeux ? « 

Les Esprits :
Mes amis, vous vous compliquez l’existence. Nous aimons votre esprit de synthèse. La fumé est ici convenue pour remplacer la projection d’une image pas pour restituer un hologramme. Pour ce faire, il faut une lumière cohérente ou semi-cohérente comme celle de votre vidéo projecteur. L’écran est facultatif pour l’hologramme et c’est d’ailleurs son principe, puisque l’image apparaît dans le faisceau de la lumière que vous regardez.
Croyez-vous que dans certains musés l’on est besoin de remplir la pièce de fumigène ou de gaz pour voir apparaître les œuvres ?
Non, juste une lumière cohérente. C’est ce que nous vous demandons. Mettez en place un système de restitution holographique, matérialisez le foyer de l’hologramme. Ou bien, donnez-nous un support holographique neutre par exemple et observez la lumière ainsi projetée et ce sans écran.

Jean Luc :
Je pense que ça parlera plus à ceux qui sont plus techniques comme Julien et Joël . J’espère au moins, parce que moi ça me parle pas beaucoup.

La troisième question est :
« Dans le système actuel, le faisceau objet est en direction de l’écran et le faisceau référence vers l’expérimentateur. Dans l’état actuel et d’un point de vue technique, le faisceau référence du module ne sert en rien dans la captation de l’hologramme. D’un point de vue pédagogique, vous nous avez encouragés dans cette direction car nous pouvions apprendre la méthode de l’interférométrie qui nécessite deux faisceaux lasers.
A présent, il faudrait diriger ce faisceau référence directement vers le capteur de la caméra comme c’est le cas dans la méthode de l’holographie. Mais après discussion avec Joël, il paraît impossible ou du moins difficile avec notre équipements. En l’état, un faisceau directement dirigé dans le capteur de la caméra saturerait l’image qui serait alors illisible. Devons-nous quand même procéder de la sorte pour vous montrer que nous avons compris ce que vous vouliez et peut être avoir une inspiration à ce moment là au risque que les prochains résultats soient moins bons.

Les Esprits :
Voilà une question cornélienne. Nous y décelons bien des erreurs. La première est que votre laser n’a jamais été divisé correctement et qu’il n’a été pour nous et jusqu’à ce jour qu’un support appréciable pour nos manifestations. Nous n’avons pas besoin de vérifier que vous avez compris et que nous cherchons à vous dire, nous le percevons en vous bien au-delà des formes, ce qui est essentiel. Encore une fois, comprenez que vous ne pouvez dans cette configuration créer un hologramme. Et d’ailleurs ce n’est pas le but. Vous devez créer une restitution.
Prenons un exemple : votre module ne crée pas nos images, il les restitue. C’est un truchement, tout comme cet homme transmet nos pensées, il ne les crée pas. Nous devons vous faire passer notre image en trois dimensions et ceci dans la lumière d’un laser qui au passage traversa un foyer virtuel holographique ou nous trouverons la matière pour ainsi le développer. Un prisme, des cristaux liquides, une vitre, une plaque d’hologramme neutre etc.… Réfléchissez, je suis certain que vous allez comprendre là où nous voulons en venir.

Jean Luc :
Je suis désolé, je vous pose toutes les questions qui ont été préparées sans rebondir sur vos réponses. Je voudrai qu’on puisse les étudier comme il faut avant de réagir dessus.

La question numéro 4 est :
Les lumières qui sont dirigées sur l’écran sont des lumières incohérentes (mis à part le laser) et avec le vidéo projecteur forment ce qui est appelé les additions des intensités que vous pouvez moduler mais seulement au niveau de l’écran. Nous avons donc compris le système de cet agglomérat lumineux. Mais sans écran celui-ci devra t’il être fait avec des sources lumineuses cohérentes ?
Puisque sans surface sur laquelle viennent s’écraser les lumières, la cohérence devient indispensable pour vous faciliter la modulation.
Je pense que vous avez un petit peu répondu dans la première réponse.

Les Esprits :
Oui en effet, les lumières actuelles n’éclairent pas l’écran mais le foyer de la manifestation. Le vidéo projecteur restitue une image combinée. Ce dispositif s’effacera dans le temps. Les supports sont très utiles pour le larsen vidéo, ils ne le seront plus pour l’hologramme. Comprenez que vous suivez un cheminement logique partant de la technique du larsen vidéo pour vous diriger vers l’hologramme. Il est évident qu’en route votre installation changera. Il ne faut donc pas chercher à combiner les éléments, mais comprendre pourquoi ils nous sont utiles, dans quel ordre, pour quels résultats. Et ensuite, pourquoi ils peuvent devenir inutiles.

Bref échange entre Jean Luc et Laurie.

Jean Luc :
Dans les enregistrements que l’on fait : en audio et en vidéo on enregistre la séance par petits clips de quelques secondes. Pensez-vous qu’il serait intéressant que l’on enregistre la totalité de la séance d’où nous visualiserions quelques extraits sous forme de petits clips. Mais serait-il intéressant d’enregistrer la totalité de l’expérimentation ?

Les Esprits :
Pour quel résultat ?

Laurie :
Parce que je me disais qu’en enregistrant des petits clips comme on fait actuellement et que nous regardons image par image, nous pouvons peut être, quelque fois, passé à coté d’images, ou une entité, un esprit qui pourrait venir se manifester et sur plusieurs images et que l’on verrait bouger ?

Les Esprits :
Mes amis, vous pouvez si vous le voulez vous créer des sauvegardes au cas où nous arriverions à nous matérialiser dans la pièce et que bien trop endormis vous n’enregistriez la manifestation !
Nous sourions un peu, mais l’idée est judicieuse. Rassurez-vous, vous ne manquez rien, nous y veillons. Faites donc comme vous le ressentez, quant à nous c’est autre chose que nous attendons de vous et vous le savez.

Jean Luc :
C’est clair ?

Les Esprits :
Vous n’avez pas assez de travail pour vous en rajouter?

Jean Luc :
Il est sûr qu’en faisant des clips de 2 ou 3 secondes, on se dit que peut être vous n’arrivez pas à vous manifester à ce moment précis. Il faut vraiment que vous arriviez à utiliser l’appareil dans un moment hyper court, vraiment très précis. Et si au moment où vous essayer de vous manifester vous êtes 5 secondes après nos enregistrements et bien on ne vous enregistrera pas. Alors que si on enregistrait la continuité, on arriverait à voir votre manifestation.

Les Esprits :
Quel est ton but dans cette recherche ?

Jean Luc :
C’est sur que ce n’est pas de voir une image de temps en temps. Mais que vous arriviez à vous manifester d’une manière longue avec le son et l’image.

Les Esprits :
Oui. Crois-tu alors que la production d’images dites d’incidence soit un objectif ?

Jean Luc :
Non. Je pense que c’est une étape.

Les Esprits :
Bien, lorsque nous pourrons nous manifester sur plusieurs secondes crois-tu que cela serait invisible à vitesse normale, durant l’expérience ?

Jean Luc :
Ben non. Si vous arrivez à vous manifester sur plusieurs secondes, je pense que l’on vous verra.

Les Esprits :
Alors que crois-tu capter par des enregistrements continus ?
Ne vaut-il mieux pas lancer des enregistrements dans les premiers signes de notre manifestation ?

Jean Luc :
Si, bien sûr, sauf qu’aujourd’hui, on n’en est pas encore à des enregistrements sur plusieurs secondes donc c’était pour pouvoir nous donner un maximum de chance.
Si demain nous arrivons à obtenir un hologramme, que nous puissions l’enregistrer en même temps et que vous arriviez à vous manifester sur plusieurs secondes, il est certain que nous pourrons lancer l’enregistrement à vue…

Les esprits :
Nous sommes d’accord !
Nous allons vous laisser puisque le contrôle Gabriel ne peu rester d’avantage parmi vous. Soyez disponible et rassurez-vous tendre cœur. Vous n’êtes pas seul.

Gabriel, Sébastopol et Éric.