Mardi 04 septembre 2012

English version

Les esprits :
Mes chers amis, bien que vous devez faire preuve de lucidité dans vos gouvernes, il est bon également que vous quittiez votre assurance pour vous lancer dans la découverte. Les zones sombres de vos univers sont encore tenaces et ne souffrent aucune suffisance. La recherche dont vous vous occupez aura encore pour longtemps des aspects imprévisibles, à votre niveau, demandant tact et clarté d’esprit !
Être en paix et serein vous demandera donc une attention particulière dans votre travail. L’échéance de votre réussite passera par la publication de vos trouvailles soit, mais aussi par la candeur de votre esprit et l’équilibre qu’ils auront acquis dans cette épopée.
Vous n’êtes pas que des colporteurs mais aussi les artisans de la teneur, plus ou moins aboutie, de vos recherches. Il vous faut donc, plus que jamais, définir à nouveau la place que vous donnez, dans vos vies, au réceptacle de nos messages. Comprenez bien que nous avons encore beaucoup à donner et que cette passation ne peut se contenter d’un piètre récipient. Nous connaissons vos âmes et mesurons la finesse de notre choix. Nous avons choisi la difficulté plutôt que la sérénité, faites en sorte que nos prérogatives ne soient pas laissées lettres mortes.

Jean-Luc :
Il est sûr que vous n’avez pas pris les outils les plus affutés…

Monique :
Qu’entendent-ils par « des outils mal affutés ? »

Jean-Luc :
C’est moi qui conclu cela ! En fait je voulais dire que les esprits auraient pu, pour leurs travaux, prendre des gens dont les vies seraient bien plus équilibrées, se donnant le temps nécessaire pour construire sans tarder le Module de contact. Mais ce n’est pas le cas, ils ont choisi des gens pas spécialement bien outillés intellectuellement, avec des problèmes à répétition. Ils auraient pu trouver mieux, ou plus travailleurs dirons-nous !

Bruno :
Oui, il faut aller de l’avant comme nous avons toujours fait mais sans oublier les aléas de la vie !

Les esprits :
Mes amis il ne suffit pas de s’en persuader, aussi faut-il agir en sorte. Votre potentiel est à la hauteur de nos attentes, cependant votre flegme vous pousse toujours au lendemain, prétendant un temps et un espace que peut-être vous n’avez plus. La pièce d’échiquier que vous poussez sur le jeu du monde ne peut être animée d’un élan poussif et non abouti. Avant le mouvement du pion, il y a l’idée et le schéma de réussite. Rappelez-vous donc des maximes promulguées par vos grands hommes : La foi peut faire déplacer les montagnes ! Et celle-ci est plus un acte qu’une simple idée.

Laurie (En rapport avec les internautes connectés sur notre direct) :
Je regardais la réflexion de Sébastien, il écrit : C’est déjà bien que Joël ait pu renouer le contact !

Les esprits :
Il n’a cependant pas le choix et son mérite ne portera pas sur cet aspect !

Jean-Luc :
Aujourd’hui l’on se répète que nous devons construire la cabine et Christelle manifestait à ce sujet une crainte. En effet est-ce que le poids de la cabine sera supporté par le planché du grenier où nous nous situions ?

Les esprits :
Êtes-vous sûr que nous pourrons davantage rassurés Christelle sur cet aspect physique du problème ?

Jean-Luc :
Oui j’en suis quasiment certain !

Les esprits :
Le poids de vos âmes est pour nous bien plus important…

Laurie :
J’essaie de répondre à un internaute qui se posait des questions sur le doute que nous manifestions quant au contact que nous avons avec vous !

Les esprits :
Il est bien mieux que vous abordiez le contact avec le doute du découvreur, qu’avec l’assurance du nanti…

Laurie :
Je n’aurais pas fait mieux…

Jean-Luc :
Dans votre introduction vous sous entendiez que nous devrons mieux fixer nos objectifs et que pour se faire nous devrions être plus sereins. Mais il est vrai aussi que la vie matérielle compte pour nous et que nous devons y faire face. Quel serait le conseil que vous pourriez nous donner afin de mieux aborder cette vie matérielle et ses difficultés, ceci pour rester calme et serein dans l’optique de mieux appréhender la recherche que nous faisons ?

Les esprits :
Ne jamais aller au-delà de ses forces. Savoir écouter son cœur et sa conscience, ne pas espérer l’Everest lorsque l’on souffre du moindre faut plat!

Jean-Luc :
Moi j’aimerais rajouter un mot. C’est pour Gabriel. J’en parlais la semaine dernière à Laurie. Il y a maintenant plusieurs années, dans les débuts où l’on commençait la Transcommunication, je posai la question aux esprits, à savoir quel était le lien que je pouvais avoir avec Gabriel. J’étais persuadé, quant à moi, d’avoir un lien très fort avec lui mais aussi de l’avoir fait souffrir dans une vie antérieure. J’avais donc demandé en séance quel était ce lien. La seule réponse obtenue de la part de Gabriel lui-même était : « que penserais-tu d’un ami qui te fait souffrir ? » Sur le coup je ne pus répondre à cette question ! Aujourd’hui, en comptant les déboires que je vis, j’ai l’impression d’avoir la réponse et j’aimerais que Gabriel le sache…

Les esprits :
Il n’existe pas une larme, un cri, une souffrance endurés qui ne soit pas la résultante d’un acte inducteur antérieur. Vos vies vous donnent des messages continuellement. Votre évolution vous permet de les déchiffrer.
Mon ami, ta vie tumultueuse est une école où tu y reçois l’enseignement utile à ton âme. Nous te l’avons dis, tu es appelé à la paix et la sérénité. Les chicanes qui s’élèvent devant toi n’y pourront rien. Nous veillons à ce que tu sois là où dieu t’attend. Tu es en accord avec cela et les tribulations de tes envies n’y pourront rien.

Jean-Luc :
Pouvez-vous m’expliquez ce que vous entendez par « les tribulations de tes envies ? »

Les esprits :
La voie droite est la meilleure. Va au plus simple et sois ouvert à la simplicité, ne cherche pas la difficulté.

Jean-Luc :
En tout cas je voulais que Gabriel le saches.

Les esprits :
Il est bien au fait…

Laurie :
Les internautes se demandent si techniquement il serait possible que Joël tape directement les écritures au clavier de l’ordinateur. J’ai répondu que cela était possible, mais pouvez vous expliquer pourquoi nous ne le faisons pas. Il me semble que la plus grande difficulté est que Joël ne connais pas le clavier mentalement ?

Les esprits :
Pas assez flexible.

Christelle :
Je voulais juste dire que nous allons devoir nous mettre au travail, se donner une conduite et la respecter.

Les esprits :
Mon amie, nous connaissons ton âme et tes inspirations. Tu es humble et ne cherche pas à décrocher la lune. Tu veux la douceur et l’assurance du foyer. Tu cherches la stabilité émotionnelle. Nous te conjurons à éteindre ce but avec la foi du charbonnier. Nous ne faisons quant à nous qu’être le haut parleur de vos plus intimes pensées.

Jean-Luc :
On vous laisse la parole pour conclure cette séance.

Les esprits :
Que le doute ne soit pas permis, nous serons avec vous jusqu’à la nuit des temps.

Éric.