mardi 31 mars 2015

English version

Les Esprits :
Mes chers amis, la communication, qu’elle soit instrumentale, mentale, ou tout simplement humaine, répond à des schémas conceptuels qui deviennent, la plupart du temps et selon les âges de vos découvertes, des notions sclérosées qui n’évoluent que lentement. Il aurait été plus facile que seul, la règle, le calcul, la méthode, soit trouvé, élaboré pour que l’on mesure le résultat attendu, mais il n’en est rien, et le mental humain, son sens cognitif, rend les recherches longues et souvent redondantes. La communication qui nous intéresse ici n’échappe pas à la règle, et glisse sur des notions qui échappent à votre entendement car tronqué dans sa profondeur.
Le monde dans lequel vous évoluez et votre corps physique qui en est la prise directe, est fait d’une multitude de dimensions plus ou moins bien envisagées. Sans parler de 5 ou 6 dimensions, nous nous bornerons à celles du grand et du petit. Déjà là, les échelles peuvent êtres pernicieuses, et vos moyens de les mesurer quasi nul.
Vous ne pouvez les approcher que grossièrement, avec des appareils limités et déductions mathématiques. Difficile en effet de vous y rendre physiquement et d’y confronter vos sens. Un voyage possible, cependant, mais pas avec votre mentalisation. Les vibrations sonores et lumineuses existent aussi dans l’infiniment petit mais en des proportions insoupçonnées. Il est facile de l’imaginer pour le cosmos, il est plus compliqué de le faire pour l’infiniment petit. Pourtant, au plus profond de celui-ci existe une lumière, une propagation sonore, et une atmosphère spatiale. Bien entendu tout ceci peut paraitre paradoxal, mais nous intéresse au plus haut point, car au plus bas de vos basses fréquences existent d’autres propagations qui s’éternisent dans le fondement de la matière. Ces sons seront à jamais inaudibles pour vous tant que votre technologie s’efforcera de considérer la matière en forme corpusculaire. L’atome n’existe pas en tant que tel, mais est un simple effet cognitif participatif. Ceux-ci existent au plus bas, dans une échelle inversée qui nous permet ici de venir mouvoir cet homme. Nous pourrons si vous le voulez revenir au plus près sur cette introduction.

Pascal :
Est-ce que ça voudrait dire que plus les fréquences qu’on émet sont basses, plus on aura une empreinte sur la matière quelle qu’elle soit ?

Les Esprits :
Oui, la basse fréquence est l’aurore d’une nouvelle ère. La fréquence, la vibration, est le halo spécifique de l’existence. En fait, celle-ci existe naturellement et demeure le lien éternel des différentes notions de vie. L’infiniment petit et l’infiniment grand n’existent que pour et envers votre raisonnement, mais il est question en réalité d’un océan uniforme qui n’a aucune frontières. Les échelles de l’espace sont déterminées par une simple observation. La vibration sonore, sa variation est une propagation éternelle, les sons ne disparaissent pas, ils mutent.

Brahim :
En quoi mutent-ils ?

Les Esprit :
Vers les dimensions infiniment petites, devenant alors des espaces incommensurables.

Les Esprits :
Oui Christophe nous comprenons (en réponse à une interrogation mentale de Christophe)

Pascal :
Comment faire pour diminuer ces fréquences en nous ?

Les Esprits :
Les fréquences n’ont pas besoin d’être diminuées, mais bien dirigées. La fréquence ne peut littéralement être diminuée mais dirigée. Le néant n’existe pas ! Ne vous inquiétez pas, nous sommes toujours à l’écoute des âmes de bonne volonté.

Pascal :
D’accord, donc la direction de la fréquence, c’est comme la direction de nos pensées, d’une certaine manière ?

Les Esprits :
Oui.

Pascal :
OK, Ça serait magnifique de continuer, mais on a aussi des questions à poser sur la TCI.

Les Esprits :
Nous allons tenter d’y répondre.

Laurie :
Nous projetons de faire passer un bruit blanc de 100 à 180 Hz sur le caisson de basse. Est-ce que cela vous conviendrait ? Il y a-t-il d’autres fréquences ou d’autres couleurs de bruit, qui vous seraient appréciables, notamment sur le hautparleur ?

Les Esprits :
Nous avons besoin de fréquences modulables qui ne seront pas carrées mais fluctuantes. Vos ondes de 100 à 180 Hz peuvent-être utilisées en une variance rapide. Il faut pouvoir, soit les fondre en une seule émission, soit les émettre une à une, rapidement, en boucle qui n’excèdera pas la longueur d’émission, c’est-à-dire 100 secondes pour 100Hz, et ceci avec un état de pensée conscient de l’installation. N’oubliez pas, puisque nous cherchons la constance, nous devons ensemble, et selon ce que vous avez en votre disposition, trouver le meilleur moyen de produire un champ possible pour nos manifestations. Tout ceci peut paraitre compliqué, mais vous vous apercevrez très vite de sa commodité.

Pascal :
C’est à cogiter pour moi, en tout cas.

Laurie :
Si nous choisissons l’option de la réalisation d’un microphone sous forme de hautparleur en inversion, pensez-vous qu’on s’oriente vers l’impossible ?

Les Esprits :
A l’impossible, nul est forcé. Il existe un but, un élément parfait, et souhaitable. Puis il existe les paliers ascensionnels pour y parvenir. L’élaboration d’un tel hautparleur est possible. Il peut, soit être réalisé avec du matériel existant, soit être confectionné avec un dispositif voulu et calculé. Il existe d’autres technologies que l’électroaimant. Il faut penser aux capteurs de pression et aux cellules laser. Il faut s’inspirer du mouvement d’un rideau en examinant les mouvements de la membrane par un calculateur de pression atmosphérique

Pascal :
J’ai toujours eu l’idée qu’il fallait qu’on s’intéresse à la météorologie pour faire ce micro, mais j’étais revenu à quelque chose de plus classique.

Les Esprits :
Suis ton intuition mon ami, nous nous y déversons.

Pascal :
Je m’en rends de plus en plus compte

Christophe :
Est-ce que la fibre optique peut nous amener des solutions pour la confection d’un micro ?

Les Esprits :
Plus le transfert d’information est rapide, plus sera difficile son interprétation. Mais cela est utile pour l’enregistrement. Attention de ne pas négliger l’électron qui nous est aussi malléable, bien plus que le carbone.

Pascal :
Du coup, si je visualise le schéma qui est en face de moi, mis à part la partie électro-acoustique, est ce que le reste vous convient ? (Pas de réponse en regardant simplement le schéma)… Avec une pré-amplification, un filtre passe bas, une seconde pré-amplification, suivi d’un traitement numérique pour lever le signal de plusieurs octaves (En visualisant mentalement les étapes notamment la transformation des signaux associés, le médium se met à écrire)

Les Esprits :
Nous serons très curieux de pouvoir manipuler ce montage. N’oubliez cependant pas que nous agissons aussi sur l’expérimentateur, l’un ne va pas sans l’autre.
Donnez donc une place importante à l’être humain dans votre configuration car là est le bien-fondé de la transcommunication. Les plus fameux appareils de transcommunications ne fonctionneraient pas sur Mars.

Pascal :
L’idéal comme membrane serait une membrane en soie, mais quelle seraient les dimensions, à la fois en diamètre et surtout en profondeur, pour capter le son ?

Les Esprits :
La profondeur sera matérialisée par vos capteurs de pression, si toutefois vous pourriez construire une telle chose. Dans le cas contraire prenez un hautparleur de 60cm de diamètre, désolidarisez le de son support et remplacez le cément par des filaments de soie. Comprenez-vous ?

Pascal :
J’ai un peu de mal à l’imaginer maintenant.

Les Esprits :
En plus clair, rendez le très souple, capable de se mouvoir au gré d’un souffle.

Pascal :
OK, et du coup, s’il on arrive à récupérer le signal électrique, de combien d’octaves on devrait le relever ? J’avais pensé à 9 est ce que ça vous convient ?

Les Esprits :
Tu pourrais même envisager 10

Pascal :
OK

Les Esprits :
Mes amis, nous ne pourrons tenir bien plus longtemps, mais j’aimerais avant de vous quitter vous exhorter à la continuité. Le travail que vous menez servira aux prochaines générations. Ce que nous élaborons ensemble, sera le seuil du travail rénovateur de demain. L’acte médiumnique que nous produisons ici deviendra un souffle vivifiant qui coordonnera de futures découvertes. Rien qui ne doit vous enorgueillir, mais vous porter dans de profondes réflexions. N’oubliez pas, nous partons d’un terrain conquis pour nous diriger vers un autre inconnu où l’inédit trouvera le moyen de parfaire l’évolution de l’humanité.

Sébastopol et Tardieux