Jeudi 23 janvier 2014

Séance d’écriture automatique du 23 janvier 2014
Médium Joël Ury.
IFRES.

Les entités :
Mes chers amis, ce n’est pas dans la tourmente que l’on peut philosopher sur le bien fondé des éléments. Ce n’est pas dans l’épreuve que vous trouverez l’idée apaisante. Non, mais les forces susceptibles de vous aider en de tels moments, seront engrangées lorsque tout était plus calme.
Comment pouvoir être respectueux, bon et précis dans la besogne, alors que le malheur vous meurtrie ? Les gens en souffrance subissent et croulent selon la force qu’ils auront pu emmagasiner. La douleur est le déversoir du contenu de votre bienséance. Après il faut se reconstruire, s’y préparer. N’attendez pas d’être tirailler par la faim pour prévenir celle-ci. Lorsque le mal vous assiège, il est déjà trop tard. Comprenez-vous ?
L’existence ici bas est une succession d’événements qui sont induits par les précédents. Il faut savoir autant ménager sa monture, que de préparer son voyage. Pendant les jours fastes, apprenez vous aux peines. Ne les attendez pas.

Brahim :
je suppose que vous parler de la situation de l’association ?

Les entités :
Pas spécialement, mais tu as raison, cela en fait partie.

Xavier :
Mais là je trouve que l’on fait un constat de ce qui aurait dû être fait, mais quand la situation de douleur est là, comment faire ?

Les entités :
Lorsque tu te retrouve au milieu de l’océan déchaîné, sans nourriture, sans voile ni moteur, tu as raison, il n’y a rien d’autre à faire qu’attendre et prier. L’acte bien fondé aurait dû être fait avant, lorsque tu étais au sol, sur la rive. Voilà pourquoi nous vous écrivions que l’épreuve se subit et se passe, selon la prévoyance que nous aurons eu. Cet espace d’approbation peut même vous éviter bien des écueils. L’étourderie ou même l’inconséquence peut au contraire avoir raison de vos vies.

Brahim :
pensez vous que nous avons suffisamment emmagasiné pour pouvoir traverser l’épreuve ?

Les entités :
Oui nous le croyons et votre présence en est la démonstration.

Bruno :
d’abord c’est comme un nuage, il passe, puis il y a la pluie et puis après il y a le beau temps. Il suffit de laisser passer le nuage….

Les entités :
En ayant pris le soin d’emporter des parapluies… Nous aimerions que vous compreniez bien la nuance que nous voulons faire passer. En effet, l’épreuve est une tourmente qui sera nourrie des forces accumulées avant elle. Si dans les moments fastes, tu ne prends pas l’énergie du moment, si tu ne remplis pas ton cœur de joie, d’amour, de concorde, si en ces doux moments, tu t’oublis dans le doute, un œil sur le passé, un autre sur l’avenir, ternis en tout par un sentiment d’incertitude, alors, tu ne mettras pas de côté cette énergie qui te serviras ou devrait te servir dans l’épreuve qui, immanquablement, pointe sur ta route. Il faut savoir apprécier le présent, si vous ne voulez pas que celui-ci, arrivant, soit le gibet de votre perdition.

Bruno (la question sur l’enregistrement est inaudible)

Les entités :
Il n’existe pas ici de formule appropriée ou d’un faux semblant puisque tout se vit comptant. Nous prions chaque seconde de votre temps pour vous.

Brahim :
Avez vous un conseil à nous donner, maintenant que l’on est dans la tourmente, pour essayer de rester le plus objectif et surtout le plus juste possible, en essayant de ne blesser personne ?

Les entités :
Nous venons de vous expliquez qu’une fois dans la tourmente il est déjà trop tard. Vous serez vainqueur ou pas de l’épreuve, selon ce que vous étiez juste avant.

Xavier :
C’est un peu une remarque passéiste parce que dans la tourmente, autrement dit, il faut attendre et rester dans l’inaction ? C’est ce que ça induit un peu , être dans l’inaction, attendre et prier. La dernière remarque est passéiste ….

Les entités :
Tu as raison dans la forme mais pas dans le fond. En fait, il faut savoir aller au delà des idées, s’en nourrir et ne pas vous enfermer dans des conventions. Essayons d’être plus clair.
Si tu gifles ta femme par excès de colère, tes regrets ne feront pas disparaître ton geste. Tes excuses pourront te donner un crédit selon la personne frappée. Dans l’épreuve, tu ne pourras qu’envisager la suite. Par contre ce geste aurait pu être évité. Comment ? Par un travail sur toi même, en amont. Logiquement tu ne gifleras plus. Comprends tu ?

Xavier :
Oui je comprend, c’est en amont qu’il faut voir les choses…

Les entités :
Pendant les moments de bonheurs, sans vous en doutez, vous dessinez l’avenir. Sachez le.

Xavier :
C’est dans les bons moments qu’on cumule et que l’on capitalise de l’énergie et de la bonne fortune si je puis dire

Les entités :
Tout a fait.

Brahim :
Comment voyez vous l’avenir pour nous ?

Les entités : Le mieux du monde et nous saurons vous le dire de vive pensée, lors de votre trépas.

Bruno : je pense que le plus important est de ne pas s’accaparer de la colère de l’autre, c ‘est ce qui se passe généralement dans ce genre de situation, ce n’est pas parce Qu’une personne est en colère qu’on doit l’être aussi !

Les entités :
Oui, c’est une bonne formule. Il te faudra de l’énergie pour la mettre en application.

Bruno (idem. Inaudible)

Les entités :
Oui l’important est sans contredit le présent.

Bruno :
Il faut être dans l’action, sans se poser trop de questions

Les entités :
Pourtant vous faites le contraire, mais rassurez-vous le questionnement n’est pas un mal.

Bruno :
On fait le contraire ?!

Les entités :
Votre esprit n’est pas si en paix que cela mon ami.

Gérard :
Oui vous avez raison… on a quand même une sensibilité, de cœur et d’esprit…

Les entités :
Nous n’avons jamais écrit le contraire, nous ne nous adressons pas à des plantes vertes.

Gérard :
Pensez vous justement que c’est une faiblesse ?

Les entités : La sensibilité s’est la fibre divine mon ami.

Gérard :
Parce que je pensais justement à la situation que vit l’ifres, tout en sachant que l’abandon n’existe pas, tout en sachant que voir partir quelqu’un, si tu l’aime, tu respectes son choix, mais on a quand même au fond de soi quelque chose qui fait mal et c’est dans ce sens que je parlais de sensibilité ….

Les entités :
Ton avis te regarde, nous ne faisons quand à nous, aucun parti pris. Nous nous exprimons pour l’ensemble.

Brahim :
Est ce que mon ressenti sur la suite des événements est juste ?

Les entités :
C’est un possible oui, il y en a d’autres, rendu viable selon les personnes concernées. Nous ne pouvons ici en induire un plus qu’un autre.

Gérard :
Le sujet principal c’est de justement pouvoir passer cette épreuve par rapport à ce que nous avons déjà emmagasiné avant, c’est notre force d’avant qui nous permet de passer cette épreuve….

Les entités :
Quel est votre but ?

Gérard :
d’avancer

Les entités :
Ce n’est pas un but cela ?!

Laurie :
prouver la survivance et faire en sorte que l’ifres aille jusqu’au bout, réussir….

Les entités :
Oui cela est plus juste. Mais ce ne sera pas vous qui prouverez la survivance de l’esprit mais les générations suivantes.

Laurie :
Alors donc emmener l’ifres aux prochaines générations….

Les entités :
Vous avez compris ce que nous crions tout bas. Votre maturité arrive, où nous pourrons vous écrire les choses sans détours.

Nous vous laissons à vos vies et ne vous sclérosez pas dans un schéma de pensée, il y en a tant d’autres…

Virgile.