Réunion technique du mardi 20 mars 2018

Les choses avancent à grand pas et la fin des travaux approche.

Doucement les choses se réalisent, dans une joyeuse évidence. Ce soir encore, nous éliminions un à un les problèmes et passions chaque étape de ce long cheminement technique. Le Satellite de la grande Cellule se dotait des derniers appareils achetés et les tests étaient concluants. Après avoir colmaté les fuites d’eau (pression oblige) nous mettions en route l’ensemble brumisation/compression/vidange. Comme l’on peu le voir sur les photos, la brume était générée onctueusement et le réservoir d’eau tenait bien la pression (un bar). Reste cependant une petite fuite au niveau du raccord (réservoir sous pression) qu’il faudra régler. La vidange se fait bien s’écoulant dans l’ancien réservoir d’eau, le fonctionnement de l’ensemble est impeccable. L’étape suivante était de vérifier si la VMC installée sur le Flycase remplissait bien sa fonction (évacuer la brume au fur et à mesure pour éviter le remplissage du caisson). Le raccordement PVC était fait et la VMC actionnée. Pour vérifier le comportement de la brume, nous câblions la caméra de Strioscopie sur un moniteur vidéo (voir les photos). Le test était concluant. Malgré le débit, la brume ne se dissipait pas dans la caisse et aucun dépôt humide n’était visible sur le miroir ni les appareils vidéo. Seul le regard d’évacuation (au fond de la caisse) et un peu la mousse acoustique autour était mouillés. C’est une excellente nouvelle, car c’était là une priorité. N’oublions pas que dans le Satellite les appareils sont sous tension électrique et que l’humidité excessive ne fait pas bon ménage avec le 220V…

La suite des travaux consistait à placer le SUB (enceinte basses fréquences ici le 20 HZ) dans le Satellite et d’en assurer le branchement électrique ainsi que son potard de gain. Une saigné dans la mousse du bas était pratiquée afin d’assurer le maintient horizontal de l’appareil. Il faudra par la suite prévoir une fixation sur le dessus, peut être une sorte de « chapeau » qui le bloquera et le protégera des éventuelles éclaboussures d’eau. Le raccordement électrique était réalisé avec un conjoncteur fixé sur le Flycase (voir photo). Une prise électrique et un câble épanoui + – était fixé sur le transformateur 12V. Le potard du gain trouvait sa place juste au dessus.

A ce stade, l’on peut dire que le Satellite est presque terminé. Reste à placer le nouveau miroir que nous avons commandé (avec la bonne focale) et à peut être changer le laser. En effet, celui en place est peut être trop puissant. Nous ferons des tests lorsque tous les éléments utiles seront en place.

Le Larynx virtuel lui aussi en bonne voie.

De son coté Sébastien R finissait de câbler les cinq capteurs de pression. Un travail minutieux (voir la photo du dispositif). Une fois terminé, il fit un test avec des différentes fréquences sonores. Les variations étaient intéressantes et l’on s’amusait a entendre des harmoniques bien singulières. Lorsque nous aurons la possibilité de coupler ce dispositif au logiciel que Valérian met au point, alors nous pensons avoir de très agréables surprises. Reste a pensé à l’installation de tout ceci dans la grande Cellule et bien comprendre comment nous pourrons mettre en place soixante capteurs de pression atmosphérique comme cela nous a été suggérer lors d’une séance d’écriture automatique. Une fois le Satellite terminé, nous nous pencherons sérieusement sur la question.

Du coté de l’administration on ne chôme pas…

Pendant tout ce temps, comme chaque mardi de réunion technique, Laurie et Annick s’affairent aux problèmes de l’intendance administrative. La comptabilité leur prend en ces moments tout le temps. La fin de la saison approchant et notre assemblée générale également, il faut assurer le travail et présenter un exercice dans les règles de l’art. Un coup de chapeau pour elles, car la tâche est difficile.

Ce fut encore une réunion primordiale où la peine que nous nous donnons porte ses fruits. Lorsque tout sera terminé, nos expériences de Transcommunication Instrumentale prendront une toute autre dimension. Enfin c’est notre plus grand souhait…