La Cellule de contact de L’IFRES

L’écriture automatique est à la base des différentes configurations techniques de nos installations. C’est en 1991 que nous recevions les premiers messages qui nous ont emmenés jusqu’ici. Cette relation médiumnique nous permet de faire d’énormes progrès dans cette recherche.
L’histoire de notre association est toujours rythmée par de profonds changements. Des étapes successives qui nous guident dans une recherche conséquente sur la TCI . Nous avons commencé avec un simple téléviseur, un caméscope et un enregistreur VHS. Puis la projection vidéo a très vite remplacé l’écran cathodique. À force d’expériences, nous avions créé un ensemble d’appareils audiovisuels que nous nommions alors le Module.
Aujourd’hui et toujours selon les avis techniques reçus en écriture automatique, nous avons construit une cellule insonorisée dans laquelle est formé un agglomérat fait de lumières et de fréquences. Nous n’enregistrons pas qu’une simple image, mais deux flux vidéo filmant un ensemble de supports fait d’un rideau de brume vibrant à la fréquence de 10HZ, éclairée par un laser, dynamisée par des formes aléatoires. Un dispositif de Strioscopie rend visible la moindre perturbation de l’air et la Stroboscopie dynamise la luminance de l’ensemble.

S’y rajoute depuis peu un dispositif sonore que nous appelons le Larynx virtuel. C’est une sorte de clavier sensible aux variations de la pression atmosphérique qui doit permettre aux esprits de former des mots, puis des phrases grâce à une bibliothèque de phonèmes.

La TCI

L’expérience de TCI que nous faisons attire la curiosité et grand nombre de personnes nous demandent comment fonctionne cette Cellule de contact. Bien que sa configuration n’a toujours pas atteint sa forme définitive, nous allons donner quelques explications. Comprenons bien que la technique actuelle changera encore, suivant nos investigations et découvertes.

La Cellule a pour principe d’isoler le foyer du contact là où théoriquement se produit le phénomène. Elle permet de confiner et de concentrer les supports utiles à sa manifestation. Elle assure ainsi la pureté des images et des sons enregistrés, écartant les risques de parasitages audio et vidéo.

Place à la Strioscopie

A l’intérieur, se trouve une parabole polaire d’un mètre cinquante de diamètre sur laquelle est fixé un miroir parabolique de 300 mm de diamètre et à son foyer un support pour quatre microphones. Celui-ci est composé de deux cercles, un extérieur et l’autre intérieur. Sur le cercle extérieur sont installés en étoile des sandows, assurant  l’amortissement des vibrations du cercle intérieur où sont fixés les quatre microphones. Ces derniers se trouvent au foyer de la grande parabole, qui joue ici le rôle d’un « amplificateur ». Dans l’axe du miroir parabolique, à deux fois sa longueur focale se trouve une caméra munie d’un coupe-flux filtrant les rayons lumineux qui ne sont pas perturbés par la brume, c’est ce qu’on appelle de la Strioscopie.

Ci-dessous, une vidéo enregistrée dans la cellule. L’on y perçoit les perturbations de l’air dues à la chaleur de la bougie et plus loin provoquées par la chaleur de la main.

Ce dispositif de Strioscopie* va permettre d’observer les perturbations normalement invisibles de l’air en filtrant les rayons lumineux qui ne sont pas déviés par la brume. Devant ce dispositif sont installés trois systèmes vidéo et lumineux incluants :

  • Pour le premier: une caméra couleur haute définition, avec une cadence d’enregistrement pouvant aller jusqu’à 135 IPS, est installée dans l’axe du miroir. Devant l’objectif est placé un cache flux qui filtre certains rayons lumineux. Un projecteur à LED RVB est orienté vers la caméra afin d’éclairer le dispositif.
  • Pour le deuxième: une caméra couleur haute définition, avec une cadence d’enregistrement pouvant aller jusqu’à 135 IPS est installée devant la grande parabole, cadrant uniquement le rideau de brume. Un petit projecteur vidéo projette sur la brume des formes aléatoires générées par un programme informatique.
  • Pour le troisième: Des interférences laser, engendrées par le croisement du faisceau divisé en deux, sont projetées sur la brume. Le cheminement laser est composé d’un laser, d’un séparateur de rayon, de deux lentilles divergentes 6mm et d’un miroir de réflexion.

Principe de fonctionnement (voir le schéma)

Le principe de fonctionnement est relativement simple. Un dispositif de Strioscopie est installé dans l’axe de la grande parabole. Une brume est créée puis diffusée dans la Cellule juste devant la parabole (au foyer de celle-ci) venant du coup interférer avec la Strioscopie. Comme celle-ci permet de filtrer la lumière qui n’est pas renvoyée par la brume, les mouvements de celle-ci, mais aussi l’air qu’elle déplace sont révélés et enregistrés. Devant le rideau de brume est installé un support avec quatre microphones. Une image vidéo constituée de formes aléatoires est projetée sur le rideau de brume. Sur celui-ci est induite une vibration de 10 HZ directement engendrés par un haut-parleur basse fréquence, et ce par une transmission mécanique (une tige en métal est fixée sur le tuyau qui diffuse la brume et qui repose sur la membrane de l’enceinte). Une deuxième caméra « filme » l’image projetée sur la brume. Les deux sources vidéo (forme aléatoires et Strioscopie) sont mélangées et enregistrées en superposition (logiciel OBS Studio). Le laser, séparé en deux faisceaux, éclaire la brume. Les deux rayons sont diffractés par deux lentilles divergentes de 6mm. Ces faisceaux laser, en se croisant sur la brume, forment des franches d’interférences créant, semble-t-il, une réaction avec les gouttelettes d’eau. Ces théories ont été données par messages médiumniques (écriture automatique).

L’énergie (ou matière) utile à la production d’images TCI (qui restent encore des anomalies non encore expliquées) semble provenir en partie de la personne assise dans la Cellule. Il reste cependant encore impossible aujourd’hui de rendre le principe évident. Au court de l’expérience, des clips audio et vidéo sont réalisés puis étudiés aussitôt. Un moniteur vidéo est installé dans la cellule, permettant à la personne assise à l’intérieur de constater aussitôt s’il y a eu un résultat.

Pour le son, un dispositif électronique, nommé « le Larynx virtuel » permet d’actionner des phonèmes (audibles dans la Cellule par une voix synthétique) eux-mêmes déclenchés par l’infime variation de la pression atmosphérique. Une cinquantaine de capteurs sont fixés sur une planche fixée au-dessus de l’installation vidéo dans la Cellule. Les esprits agissent sur le dispositif en créant des variations de pression sur les capteurs et ainsi composent des mots avec les phonèmes. Une voix synthétique les prononce grâce à une enceinte amplifiée qui se trouve également dans la Cellule. Notre objectif est bien entendu d’obtenir l’image et le son simultanément.

Aujourd’hui, cette Cellule de contact fonctionne de pair avec son Satellite (qui reprend le principe de fonctionnement de la Cellule, mais en plus petit). Les enregistrements effectués par ces deux dispositifs se déclenchent simultanément lors des expériences.

*Parabole polaire: suivre ce lien explicatif
*Rayon objet et référence : suivre ce lien explicatif
*la Strioscopie : suivre ce lien explicatif
*La transformé de Fourier : suivre ce lien explicatif