Premier contact à Fougeret

Une bien belle aventure.

On dit souvent que la fin justifie les moyens et bien ceux que nous avions mis en œuvre afin de pouvoir expérimenter un nouveau dispositif au Château de Fougeret lors des journées du Patrimoine avaient été payant. Pourtant il n’est pas dans notre habitude d’être dans le chalenge, sachant pertinemment que la recherche en phénomènes non expliqués se mari très mal avec les exigences (c’est tout le contraire d’ailleurs). Mais pour cette fois si, nous relevions le défis afin d’être prêt pour expérimenter en direct et devant une foule conséquente la première cellule itinérante de l’IFRES. Nous ne reviendrons pas, dans cet article, sur la construction technique et le partenariat que nous concluions avec le GREPP pour la mise en œuvre de cette entreprise. Chacun aura pu lire les différents articles dépeignant les étapes successives de sa construction. Le plus important était sans contredit le lancement d’une aventure sans précédent, porteuse d’espoir non négligeable. Pouvoir expérimenter un dispositif TCI dans un endroit tel que le château de Fougeret est une aubaine providentielle. Les phénomènes de hantise étant très rare, de tels lieux lorsqu’ils sont révélés sont précieux pour tous chercheurs en ce domaine. Au-delà de cette participation expérimentale, nous étions toujours aussi heureux de retrouver Véronique et François, propriétaires des lieux. Des personnes au grand mérite tel peuvent-êtres pénibles, non seulement les phénomènes observés, mais aussi le déferlement d’accusation en tout genre, de calomnies ridicules, d’avis désobligeant qui se déversent sans retenu sur les réseaux sociaux.

Lors de cette expérience TCI plusieurs choses sont apparues. La première sont les sensations très prononcées que Laurie et Joël ont pu ressentir lors du contact. Une présence « prononcée » les accompagnait et ce sans l’ombre d’un doute…Puis nous nous rendions compte que la visualisation des clips vidéos étaient rendue difficile à cause de l’écran LCD de l’ordinateur (sans cesse nous devions l’orienter afin d’obtenir le meilleur rendu). Nous observions aussi une mauvaise exposition des caméras, mais il nous était impossible dans le contexte de l’expérience (plus de 70 personnes dans une pièce ne pouvant en accueillir que 40) de régler au mieux les appareils. Il fallait donc faire avec. Mais sans mal et assez rapidement, nous pûmes observer des esquisses de visages se dessiner dans la brume ainsi que deux lettres. Nous y étions, la cellule itinérante rendait son verdict. Elle fonctionnait, suivant les caractéristique de sa grande sœur. Ce fut un moment intense, telles étaient fortes les attentes que ce dispositif avait suscité. Un véritable émois se dégageait de cette « expérience au 70 personnes ». Mémoire d’IFRES, c’était la plus grande séance de Spiritisme expérimentale que nous ayons fait jusqu’à ce jour. Bien entendu beaucoup de travail reste à faire et la qualité tout juste satisfaisante des images, nous oriente dés à présent dans un long travail de perfectionnement.

Une expérience prometteuse.

Cette avancée matérialisait le partenariat entre l’IFRES et le GREPP. De bien belles perspectives s’offrent donc à nous. Il est certain que l’avenir nous demandera beaucoup de travail, afin de rendre encore plus l’évidence des phénomènes furtifs qui se meuvent tout autour de nous.