Expérience de TCI du dimanche 10 septembre 2023

Encore une expérience concluante, que ce soit en vidéo ou avec le Larynx qui décidément nous surprend encore. Dans l’intensité des sensations que l’on peut vivre lors de l’expérience, il n’est pas toujours aisé de comprendre ce que les esprits cherchent à nous communiquer. Mais à la relecture des résultats (surtout ceux du Larynx Virtuel), on se rend compte qu’ils nous communiquent des informations pertinentes, des interactions bien à propos qui ne laissent pas de place au hasard.

Pour la vidéo, nous sommes toujours sur une constance qui n’évolue pas beaucoup, si ce n’est dans le genre des images. Comme par exemple la main ou les lettres. Les anomalies qui se produisent ne sont pas visibles à l’œil nu. Elles sont fugaces et ne s’expriment que sur quelques images. C’est à la lecture image par image que l’on se rend compte de la manifestation. Chose totalement différente pour le larynx, qui produit une interaction audible dans un laps de temps que nous pouvons mieux appréhender. La contrainte se situe plutôt dans la »pollution » sonore due au déclenchement « disons périphériques » des capteurs. Un peu comme si la précision de l’influence des esprits n’était pas assez définie. L’on peut imaginer un joueur de piano espérant jouer un air de musique avec des gants de boxe ! Mais lorsque l’on écoute attentivement les interactions, on s’aperçoit facilement que les esprits cherchent, sans l’ombre d’un doute, à se communiquer avec des mots et des phrases dont le sens est indéniable.

images tirées des enregistrements vidéo

Extraits des séquences vidéo de chacun des participants.

À force d’observer le phénomène qui se produit pendant des expériences de TCI, nous comprenons davantage la difficulté. Il est évident que les esprits et nous-mêmes n’existons pas sur la même échelle de temps. Pour nous autres il passe beaucoup plus vite. Pour les esprits, le présent est éternel. Nous pouvons reprendre ici l’exemple du train et de l’observateur qui se trouve sur le quai. Nous sommes dans le train et eux sur le quai. Nous aurions tendance à croire le contraire, mais les expériences tendent à démontrer que le temps des esprits est proche de celui des particules (l’univers). Les électrons ont semble-t-il, l’âge de l’univers et les esprits aussi ! De ce faîte, il est compliqué de faire coïncider deux appréhensions différentes du temps, dans un même espace. Mais cette remarque prise en compte, on comprend mieux la latence qui existe dans les interactions avec le larynx.

Grâce à son interface, nous pouvons apprécier la teneur des messages ainsi délivrés, qui plus est, en reconnaissant le caractère de celui qui le manipule. Dans les exemples qui suivent, nous avons affaire à deux esprits de la même famille. Tous les deux étaient de nature joviale. Nous avons su qu’ils s’étaient retrouvés et continuaient à vivre leur connivence. Face à la difficulté du maniement du larynx, nous avons entendu une réaction tout droit sortie du cœur (si l’on peut dire), avec un « PUTAIN » magistral, en totale adéquation avec l’esprit de ceux qui s’adonnaient à la tache. D’ailleurs, face à notre étonnement, les esprits (Julien et Thierry, son oncle) assumaient leur agacement. Le plus troublant est que cette difficulté semble faire sourire nos interlocuteurs invisibles, confirmant que cela les faisait rire.

Autres moments très intéressants, ce sont les petites phrases assez décousues, mais fortes en information, comme « Je peu tout fais« , qui voudraient dire que l’esprit pourrait tout faire. Ou encore « C’est un acte » suscitant notre interrogation. Le plus drôle est d’entendre le refus de l’esprit semblant en avoir assez, répondant par la négation et concluant qu’il voulait s’en aller « M’en vais« . Ces bribes de phrases, ces exclamations, montrent bien un certain caractère, une humanité même. Sans vouloir essayer à tout prix de comprendre ou d’interpréter les petites phrases, nous nous rendons compte qu’il se passe quelque chose d’exceptionnel. Il est encore trop tôt pour en tirer des conclusions, mais déjà nous pouvons nous sentir bien engager sur la route de la démonstration.

Le mot « putain » semble provenir du cœur, peut être une difficulté à manier le Larynx…
L’esprit interrogé sur le « gros mot » semble agacé et l’assume.
Notre réaction semble faire rire ce duo d’esprits qui se sont très bien connu, (oncle et neveu)
Plus sérieusement, les esprits répondent précisément à la demande.
A la demande d’une phrase l’esprit de Julien prononce : « Je peu tout fais »
La encore les esprits donnent une information énigmatique : « C’est un acte »
À la demande d’un mot, l’esprit semble refusé et vouloir s’en aller… »M’en vais »
Autre exemple d’une interaction intelligible, les esprits répondent précisément à la demande.