Élements de langage
Nous utilisons « esprit » pour définir une « conscience », une « énergie » intelligible exprimant des pensées.
Il n’y a rien d’occulte, il ne s’agit pas de fantôme ! Il s’agit d’une conscience, sans aucune considération biologique.
Notre expérimentation nous a appris que le siège de la conscience est la matière et qu’ils sont indissociables.
L’esprit, la conscience, utilise la matière pour s’exprimer.
Chaque esprit est une entité en soi et, dans le même temps, fait partie de l’Esprit. Chaque esprit est un fractal de l’Esprit.
Chaque être humain est un fractal de sa conscience plus globale, elle-même fractale de la conscience du tout, de l’Esprit.
Nous sommes tous UN et contribuons à UN TOUT.
Nous parlons de l’Esprit en faisant référence à l’entité de conscience originelle, globale.
Il est la somme de tous les esprits. La Conscience de toutes les consciences.
C’est le Tout. L’Energie somme de toutes les énergies.
Un esprit, une conscience, est une énergie, car son siège est la matière, qui n’est que de l’énergie dans un état spécifique.
Nous savons que l’énergie ne se perd pas, elle se transforme (cf. LAVOISIER 1743-1794 : « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », principe acquis depuis le 20e siècle). Donc l’énergie ne meurt pas, elle change d’état, notamment.
La conscience étant de l’énergie, elle ne meurt pas.
On appelle la mort la désagrégation du corps biologique, dont l’énergie change d’état, dont la matière deviendra autre chose…
Ce n’est donc pas la fin, ni pour l’énergie, ni pour la conscience, ni pour l’esprit (qui sont la même chose, cf. ci-dessus).
La vie est le « temps » entre la naissance (à définir) et la mort.
C’est l’espace-temps pendant lequel la matière est biologiquement agrégée pour former un « corps » (pour l’être humain).
Nous ne devons pas confondre la vie et l’existence.
L’existence est « la vie » pour les consciences incorporelles, sans début sans fin.
Elle est perpétuelle et inconditionnelle.
Nous vivons de notre naissance à notre mort, mais notre conscience existe avant notre vie, pendant notre vie (une partie au moins, un fractal de notre conscience « humanisée » le temps de notre vie…) et après notre vie, au delà de la « mort », de la désagrégation biologique…
L’être humain vit, sa conscience existe 😉.
Que ce soit dans son état le plus élémentaire possible (particules élémentaires) ou dans son agrégation complexe (molécules, organes, êtres vivants – animal, végétal ou minéral…), la matière est omniprésente et perpétuelle (cf. LAVOISIER).
Elle est le siège des consciences (corporelles ou incorporelles), des esprits, de l’Esprit.
Il s’agit de ce qui est échangé entre deux éléments, apportant « vitalité ».
L’énergie est l’expression, la manifestation de la matière, de la conscience.
Le médium est l’intermédiaire entre consciences, entre esprits.
Le médium n’est pas une personne à part, rare, supérieure.
Tous les êtres humains sont médiums par nature, ils ont un potentiel médiumnique qu’ils développent, travaillent, expriment ou pas, parfois même sans le savoir.
Un médium désigne une personne qui s’entraînerait à transmettre une part de sa propre énergie aux esprits. (Allan Kardec)
L’IFRES ne met pas en avant un médium en particulier en considérant qu’il est le meilleur, le plus grand, le plus performant. Ces notions n’existent pas pour la dimension médiumnique de la femme et de l’homme, d’autant plus que nous ne mesurons pas en conscience toute la médiumnité de chacun.
Beaucoup de la dimension médiumnique nous est encore « inconsciente », non mesurable par notre biologie.
L’IFRES s’engage auprès de chacun pour l’accompagner à « réveiller » ou « développer » sa propre médiumnité, en toute humilité.
C’est l’expression médiumnique de l’être humain, donc d’être intermédiaire entre les consciences.
Ainsi, nous parlerons de Transcommunication mentale (TCM), c’est-à-dire la capacité à rendre disponible une partie de sa propre énergie pour les consciences afin de communiquer.
Il y a beaucoup de formes de médiumnité et nous sommes convaincus ne pas toutes les connaître…
Par exemple, nous parlerons d’écriture mécanique pour celui qui écrit des pensées transmises par des consciences incorporelles, sans qu’il en ait conscience (état léthargique, de sommeil actif ), mais aussi de médiumnité intuitive, d’incorporation, de clairvoyance, etc.
Il s’agit du monde, de l’univers, de la dimension composés par les consciences incorporelles et corporelles, englobant toutes les consciences.
Communication entre consciences utilisant la capacité psychique de l’être humain
Communication entre consciences utilisant des dispositifs techniques, tels que le son et la vidéo pour l’IFRES.
Nous l’utilisons par défaut de langage, car c’est un terme scientifique pour identifier un résultat encore non expliqué.
Nos résultats n’ont pas d’explications au sens de la logique scientifique, ce pourquoi nous parlons d’anomalies, mais il est plus correct de dire « évènements » ou « contacts », car même si notre démarche se veut être « scientifique » (protocoles, mesures…), nous ne sommes pas scientifiques, car la transcommunication n’est pas (encore) une science en soi, pas à ce jour …