Fin d’installation et début d’un long travail.
Les deux dernières réunions techniques du mois d’avril ont été consacré à la finalisation de la mise en place de notre système TCI. Le son et l’image recevaient une attention toute particulière. Le mois de mai sera les prémices de nos nouvelles expérimentations TCI. Bien qu’il y aura certaines choses à parfaire, comme notre connexion internet pas encore installée et le programme de la bibliothèque de son du Larynx non finalisé, nous pouvons d’ores et déjà avancer que les expériences recommenceront prochainement. Et d’ailleurs un petit signe de nos amis invisibles ne se fit pas attendre…
Deux séries de tests concluants.
Les deux vidéos qui suivent ont été obtenues lors des tests que nous faisions afin de maitriser les réglages du nouveaux dispositif TCI. Autant dire que nous avons été très heureux de « voir » se former deux visages, reprenant du coup là où nous avions laissé nos travaux. Le passage au tout numérique n’était pas gagné, entrant alors dans un domaine hyper précis, où « l’anomalie » est rendue à sa plus simple expression. Dans un environnement analogique, les aberrations dues au manque de précision ou au traitement même du signal électrique, donne une certaine amplitude dans le champ des possibles (et même les erreurs d’interprétations). Avec le numériques, tout est lissé, carré et le traitement du signal précis. C’est la différence flagrante entre la télévision des année 80 et la très haute résolution du 4K. Il suffit de regarder une image 4/3 d’antan sur un écran HD FULL pour s’en rendre compte. Dans ces conditions l’a peu prés est vite supprimé.
Une possibilité de réglages qui reste à maitriser.
Percevoir des anomalies récurrentes dans ce contexte était un challenge. Les tests TCI que nous menions montraient une fois de plus que la précisions et l’acuité de l’information n’étaient pas antagoniste à la pérennité du phénomène qui nous intéresse. Mieux, le numérique nous offre une plage de réglage énorme, qui rend d’ailleurs périlleux l’équilibre du procédé. La sensibilité des caméras, enregistre les moindres vibrations…Le fameux 25 hertz que nous diffusons dans la cellule agit d’une manière flagrante sur l’ensemble de l’installation. La projection des formes aléatoires créé des flashs lumineux jusqu’ici invisibles. Tout ceci rend le procédé extrêmement capricieux et il va nous falloir du temps pour maitriser tous les facteurs. Le maniement des nouvelles caméras est également compliqué. Le driver qui permet de les régler possède des réglages par défaut très ennuyant. Le soucis est qu’une fois fermé, il perd les profils que nous y inscrivons et les caméras se dérèglent. Le logiciel qui nous permet de mélanger en direct leur flux ne nous permet pas d’avoir les même presets et la maitrise des réglages devient précaires. Ce sera très certainement un point crucial à rectifier dans la suite à donner.
Deux apparitions rassurantes.
Dans ce contexte les deux visages assez nets qui nous sont apparus furent un baume au cœur. Ils nous permettent de nous rassurer sur la teneur de nos orientations expérimentales. Nous allons pouvoir nous lancer dans une longue série d’expériences et de faire progresser le phénomène. Nous avons en main des outils performants qui poussent un peu plus loin l’horizon de notre recherche sur la TCI. Les extraits vidéo sont issus de clips de 4 secondes avec une cadence de 80 IPS. La définition de l’image est de 1920 par 1080. Le périmètre de la manifestation est déterminé par la circonférence du miroir Kepler pour la Strioscopie.
Le travail continu de plus belle.
En parallèle de tout ceci, l’équipe continuait d’œuvrer pour le partage des informations en travaillant sur le Trait d’Union (périodique réservé à nos adhérents). Il y avait aussi les quelques bricolages restant à faire, comme accrocher un tableau blanc et réaliser un collage sous forme d’un tableau représentatif des nombreuses images TCI que nous avons déjà reçu (voir la photo ci-après).