Expérience de Transcommunication Technique du dimanche 2 février 2025

Encore une expérience où l’observation attentive de ce qui s’y déroule permet d’agrémenter notre conviction. Naturellement, nous n’en sommes plus à ce stade, nous l’avons dépassé depuis longtemps, mais à celui d’échafauder un fait. Cela ne se fera pas avec une seule théorie, mais avec la démonstration que la probabilité que de tels évènements se déroulent par le simple fait du hasard n’est plus permise.

Notre journée démarrait par une expérience de Transcommunication mentale. Nous recevions une série d’écriture mécanique, permettant la relation intelligible entre nous et certaines consciences hors biologie. Hormis les informations pertinentes que Michelle, Kenny et Yéliz (suivant l’expérience via Zoom) obtenaient à ce moment-là, Cathy reçut une fois de plus un message de son fils Julien.

Celui-ci promettait d’envoyer dans la Cellule de contact, le symbole : # (voir la photo de l’écriture). L’après-midi qui suivait, lors de l’expérience de T-technique, une anomalie particulière survenait dans l’enregistrement vidéo (voir la photo).

Bien qu’il ne s’agisse pas précisément du symbole #, on ne peut s’empêcher d’y voir une certaine concordance avec ce que voulait écrire Julien, tel est improbable de voir se dessiner, dans un rideau de brume, une telle forme.

Au niveau du Larynx, Julien montrait sa présence. Le « Man » et le « Ouaa » dépeignait très bien son caractère jovial. Précision que Cathy lui demandait de réaliser des sons avec le son « OI« 

« Man! »
« Ouaaa… »

Il faut parler d’autre chose que de hasard ou de coïncidence

Autre moment très intéressant dans l’expérience se faisant autour de Michelle. Elle était venue de Clermont-Ferrand afin d’espérer avoir un contact avec les esprits de son mari et de son fils… Elle put obtenir plusieurs informations lors de l’écriture du matin, les deux entités semblant disposées à répondre à ses demandes. Mais le plus troublant était les anomalies vidéo qu’elle obtenait lors de son passage dans la cellule.

Sur la première, on voit très bien deux visages accolés joue contre joue. Bien que les traits des visages ne soient pas très nets, Michelle reconnaissait son fils et un peu son mari. Le fait est que nous ne recevions plus et depuis longtemps une image avec deux visages dessus. D’en obtenir une, et de surcroît avec Michelle et son histoire personnelle, faisait sens. La seconde où l’on peut lire le chiffre 23 est aussi très forte. En effet, Tristan, le fils de Michelle, aurait eu 23 ans s’il était encore de ce monde. Bien entendu, on peut expliquer ce fait comme une simple coïncidence, mais franchement, ce serait faire preuve de fainéantise intellectuelle. Il y a un moment, dans la récurrence des exemples, où il faut parler d’autre chose que de hasard ou de coïncidence.

Avec le larynx, il y eut aussi des résultats intelligibles, les trois exemples suivants sont assez parlants, bien que le dernier reste mystérieux. On peut entendre, dans le premier extrait, le Larynx prononcer les deux mots : « en vie« . Le « en » était déclenché au moment où Michelle prenait la parole, demandant à son fils s’il était là et s’il l’écoutait. Dans le deuxième, Michelle lui demandait de prononcer le mot qu’il pouvait. On entendait alors le mot « joie« . Le troisième est particulier. On entend clairement le mot « poussière« . Il ne fut pas tout de suite compris, car morcelé en 3 syllabes. Mais à la lecture à froid, on se rend bien compte du mot. Est-ce l’esprit du mari de Michelle qui a vraiment voulu prononcer ce mot et dans quel but ? Difficile de le savoir. Mais en tous les cas, le mot n’est pas anodin dans un tel contexte d’étude sur l’existence après la mort, où l’on s’accorde à dire que l’on retourne tous à la poussière…

« En vie! »
« Joie »
« Poussière »

Elle espérait entrer en relation avec sa mère

La dernière partie de cet article sera un focus sur le passage de Cindy et de Laurena. Les visages qu’elles obtenaient respectivement ne pouvaient pas être identifiés. Leur passage dans la Cellule donna lieu cependant à deux interactions intelligibles. La première semble être une interpellation, comme pour interloquer Cindy. Celle-ci espérait entrer en contact avec sa mère. Sans vraiment en être persuadée, elle demandait s’il y avait quelqu’un avec elle. On entendait alors un « oui« , suivi d’un « hello« . Cindy n’y prêta pas attention, ce qui fit réagir Laurie (aux commandes des appareils). Elle espérait entrer en relation avec sa mère, et comme cette dernière ne semblait pas à l’aise avec l’anglais, elle ne pouvait pas s’imaginer que son esprit puisse le faire, d’où son non-intérêt pour ce bonjour en anglais. Mais en y réfléchissant bien, n’est-ce pas là justement une drôle d’interpellation fait à sa fille, faisant un effort pour attirer son attention ?

La deuxième phrase est troublante. Elle possède un sens multiple qui peut être facilement interprété. Impossible en l’état de savoir quelle entité à agit sur les capteurs de pression atmosphérique et ce qu’elle a voulu exprimer. C’est un exemple d’interaction intelligible que nous ne pouvons expliquer, mais qui est explicite, c’est-à-dire que, malgré la mauvaise syntaxe, on comprend les mots.

« Oui Hello! »
« Je veux fin toi »

Les extraits vidéo sur lesquels on peut voir les anomalies