Expérience de Transcommunication Technique du 23 mars 2025

Les anomalies vidéo que nous avons obtenues ce jour-là laissaient les expérimentateurs dans l’expectative

Une expérience de plus, dirons-nous, oui, mais toujours autant impressionnante. Les expériences se suivent, montrant les mêmes récurrences, les mêmes résultats. Une constance logique, qui s’effectue avec le même matériel, la même configuration. Des points de mesures que nous pouvons évaluer facilement lorsqu’il s’agit de faire l’inventaire du matériel avec lequel nous travaillons, mais qui devient mystérieux lorsque nous devons évaluer comment ces anomalies arrivent et avec quel pourcentage utile entre les différents éléments de l’installation. Est-ce la lumière laser qui détermine la qualité des résultats, ou bien la Strioscopie, ou bien encore la vibration mécanique de 10 HZ induite dans la brume, peut-être est-ce aussi le générateur de formes aléatoires ? Lequel de tous ces appareils prend le plus grand pourcentage d’utilité dans l’obtention des images? On connait le matériel utilisé, mais pas le pourcentage dans l’apport.

Quoi qu’il en soit, ça fonctionne et à chaque expérience, nous nous en rendons compte. Après, il y a la question de l’interprétation qui peut être plus ou moins probante. Et cela est d’ailleurs un de nos objectifs, faire en sorte que l’interprétation soit la plus évidente possible en améliorant la définition, qui ne laisserait aucune place au besoin de reconnaissance à tout prix. Les anomalies vidéo que nous avons obtenues ce jour-là laissaient les expérimentateurs dans l’expectative.

Pas de reconnaissance formelle, mais plutôt une profonde interrogation. Que peuvent bien vouloir exprimer les deux images où l’on voit sur l’un des chiffres et sur l’autre; soit le prénom « Joel » ou le mot « fidèle« . L’ambiguïté est tenace, d’autant plus que « Joel« , serait effectivement le prénom d’une personne décédée que Eric (l’expérimentateur du moment) connait. Pourtant, l’on perçoit très bien la lettre « F » qui tendrait à plutôt à pencher du côté du mot « fidèle » (c’est toute la difficulté avec ce genre de contact, qui peut assez rapidement induire une erreur d’interprétation). L’interprétation est alors plus compliquée que l’obtention du phénomène…

L’interprétation est alors plus compliquée que l’obtention du phénomène…

Déposez vos fichiers pour les téléverser

La troisième anomalie sur laquelle on lit « C.T.V » ou « I.T.V » est bien étrange. Que peuvent bien vouloir signifier ces lettres? Se sont-elles formées par pur hasard (que nous commençons pourtant à éliminer dans la plupart de nos réflexions) ou répondent-elles à une logique?

Le terme I.T.V existe bien, il s’agit d’une inspection télévisée, en général utilisée pour les canalisations d’eau. En prenant ce mot au premier degré, pourrait-il s’agir d’une idée d’évolution technique, une sorte de bribe d’information?

Et quoi penser du sigle CTV qui, en anglais, veut dire « Connected television » ? (en français, téléviseur connecté). Il y a là aussi une concordance évidente, entre ce que nous réalisons et l’idée transmise. Difficile en l’état de se faire vraiment une opinion définitive, mais les faits sont là, on nous écrit quelque chose. Les autres anomalies sont très belles, des visages remarquables, pas vraiment identifiés, mais qui n’ont rien à voir cependant avec de la Pareïdolie.

Les autres anomalies observées ce jour-là

Le Larynx engendre vraiment une profonde réflexion

Nos expériences oscillent entre la vidéo et l’audio. Le Larynx, comme nous l’avons déjà fait remarquer dans nos articles, est une pièce maitresse de nos expériences. La technique qui y est employée sera très certainement un jour déployée sur le système vidéo. On imagine très bien des capteurs de pression proposés aux esprits, pour, par exemple, agir sur la fréquence d’échantillonnage et la forme des formes aléatoires, sur la focale des caméras, ou même sur la variation de la fréquence en HZ qui agite la brume. Le Larynx engendre vraiment une profonde réflexion tout à la fois sur le comment, donc la technique, mais aussi sur la mesure. Il pourra, au bout du compte, donner des statistiques susceptibles d’éliminer le moindre doute sur l’intervention de quelque chose d’intelligible lors de ces enregistrements.

Les exemples audio qui suivent, montrent encore une fois l’interaction intelligible qui s’officie à chaque session d’enregistrement. Nous avons choisi de présenter ici, dans cet article, les plus probants, obtenus par Florence, une nouvelle venue à ces expériences. Se prêtant au jeu des questions-réponses, elle demandait si la personne à laquelle elle pensait et qui était partie de l’autre côté avait froid. La réponse est de bon augure pour nous tous, la mort étant généralement associée au vide sans consistance.

Est ce que tu as froid là où tu es? « BEAU » (Florence)

L’exemple suivant est du même acabit. Florence demandait si cette même personne était bien, là où elle se trouvait. La réponse est positive et totalement dans la logique de la question. Le détail important est ici la réaction de Florence qui prenait logiquement conscience de la latence qui existe entre la demande et la réponse. Une donnée que nous avons tendance à oublier, alors qu’elle est, à notre avis, absolument importante. Le temps des esprits n’est pas le nôtre, ni nos repères, ni notre manière de réfléchir, et il faudra en prendre compte avant toute sorte de théorie.

Est ce que tu es bien là où tu es? « PAIX OUI  » (Florence)

Autre exemple montrant une difficulté technique qui peut altérer notre perception de l’expérience. Nous l’avons déjà mentionné dans nos articles, il se peut que la réponse soit exacte, autrement dit que le bon capteur soit déclenché, mais que le son correspondant ne soit pas entendu. Florence demandait que la lettre « N » soit prononcée. Aussitôt, le capteur correspondant se déclenchait, allumant au-dessus la LED, mais aucun son ne se faisait entendre. Florence, s’exclamait face à l’évidence de l’interaction, c’est ce que nous entendons dans l’enregistrement ci-dessous.

Est ce que tu peux activer le N ?….le bon capteur se déclenche mais la voix ne retentie pas. (Florence)

Toujours avec Florence, demandant à l’entité présente si elle pouvait accompagner « Marie » sa petite fille. La réponse est assez précise pour faire sourire Florence, expliquant qu’en effet, la personne décédée, censée répondre par l’entremise du Larynx, lui avait bien demandé avant de mourir de bien s’occuper de Marie.

Est ce que tu peux accompagner Marie? « TOI » (Florence)

L’exemple suivant est une affirmation, démontrant la concordance entre la demande et la réponse. C’est une bribe de discussion que nous obtenons et que nous pouvions ressentir dans la salle au moment où ce contact se produisait.

Est ce que tu sais que j’ai des objets sur moi? « OUI » (Florence)

Le dernier exemple avec le passage de Florence est un peu ambigu. Difficile de bien comprendre ce qu’a voulu dire l’esprit. « Tu l’es peu« , ou « tu le peux« . En considérant le sens de la question, on pourrait comprendre que l’esprit dit à Florence qu’elle est « peu » en accompagnement avec lui. Encore une fois, pas de conclusion hâtive, mais une profonde interrogation sur tous ces aspects étonnants d’une communication avec ce principe technique.

Est-ce que tu m’accompagnes dans le quotidien? « TU L’ES PEU » (Florence)

Enfin, pour finir ce focus sur les enregistrements audio, prenons le passage de Florence, une autre personne venue expérimenter avec nous ce jour-là. Elle demandait si la personne à laquelle elle pensait pouvait montrer son visage dans la vidéo. La réponse est particulière et tout autant intéressante. L’entité semble vouloir dire qu’elle serait en mesure de montrer ses yeux. Or, cela fait sens dans notre étude, car déjà nous avions pu nous rendre compte que les détails les plus précis des images étaient souvent les yeux! On dit souvent (et peut-être pas à tort d’ailleurs) que les yeux sont le reflet de l’âme. Cette réponse serait-elle la confirmation de cet adage? Naturellement nous restons très prudents, il ne s’agit là que des avis. Nous ne nous privons pas d’avoir des idées, du moment qu’elles ne deviennent pas des dogmes.

Est ce que tu peux me montrer ton visage? « OUI YEUX » (Christine)

Les extraits des clips vidéo où l’on voit les anomalies