Nouvelle expérience de Transcommunication Technique et des nouvelles interactions très intéressantes. Nous avons illustré notre article par l’anomalie vidéo dans laquelle nous percevons le mot « ICI« . Un simple mot, mais qui, dans le contexte expérimental, prend un sens particulier. Ici, là, une sorte de lieu donné, l’endroit où doit converger notre attention, là où nous devons agir. Nous, ou bien elles, ces consciences, qui, dans une fulgurance pour ainsi dire, installent le centre de notre recherche.
Il y avait aussi des moments cruciaux, où l’émotion se joignait à l’impact de l’interaction

Mais il n’y avait pas que des symboles plus ou moins probants dans l’expérience de ce dimanche, il y avait aussi des moments cruciaux, où l’émotion se joignait à l’impact de l’interaction. Virginie et Raphaël étaient de nouveau avec nous ce jour de TransTechnique. Dans le train qui les amenait ici (oui, encore), Virginie, la maman de Marie, avait pensé à l’expérience et demandait mentalement à sa fille si elle pourrait réaliser dans la brume, une fleur.
Alors, dans la cellule, nous percevions cette étrange forme qui, de prime abord, ressemblait plutôt à une étoile. Mais en y regardant de plus près, l’une des branches semble plus fine que les autres, ce qui pourrait alors être vu comme une tige… Naturellement, on peut y voir ce que l’on veut. La seule chose pondérable est qu’une forme structurée est apparue en une fraction de seconde dans un enregistrement vidéo séquencé en 80 images par seconde.
L’autre interaction vidéo est toute autant édifiante. Un « M » apparaissait dans la brume. Virginie, toujours dans la cellule, avait demandé, faute de pouvoir percevoir une fleur dans la brume, d’y inscrire la première lettre du prénom de sa fille, un « M« . L’interaction vidéo enregistrée montre sans équivoque la lettre « M« . Mais tout ceci est sans compter les interactions du Larynx qui venaient donner encore plus de substance au contact. Virginie demandait à voix haute ce que sa fille pouvait bien faire dans l’au-delà, ce qu’elle ressentait. La réaction du Larynx est particulièrement intéressante…

Non seulement le mot « JOUE » est en totale syntonie avec ce que l’on pourrait attendre d’une petite fille, mais ce sont ces petits mots, entendus dans le flux de la conversation, qui sont surprenants. Ceux que nous pouvons prononcer machinalement dans une discussion. Virginie s’adressant à l’esprit de sa fille, on entend un « oui« , puis un « oh! », comme on pourrait le faire dans un acquiescement, un accord spontané.
La deuxième interaction obtenue avec Virginie est le mot « chou« . Celui-ci intervenait spontanément dans la discussion. Virginie remarquait que, plusieurs fois déjà, Marie réussissait à déclencher les phonèmes pour prononcer ce mot. Elle en déduisait que cela était certainement dû au fait que le surnom de Marie était « chouquette« , une explication que l’entité confirmait par un « oui » et en déclenchant à nouveau les phonèmes « chou« .
Pour le coup, ces nouvelles anomalies, montrant justement des animaux, tombaient à brûle-pourpoint

Autre aspect non négligeable de cette expérience sont les deux anomalies vidéo dans lesquelles nous percevons deux animaux. Une sorte de tête de lapin et de chat ou de félin. Les jours précédant l’expérience, sur notre page Facebook, une personne nous demandait en commentaire si nous recevions des images d’animaux. Nous répondions que ce genre d’apparition restait assez rare. Pour le coup, ces nouvelles anomalies, montrant justement des animaux, tombaient à brûle-pourpoint.
Il n’est pas rare avec ce genre de phénomène d’observer une similitude entre ce que nous pouvons dire avant l’expérience, les circonstances dans lesquelles nous nous trouvons, le mental y jouant un rôle prédominant. Nous pensons que nous avons encore beaucoup de choses à comprendre avant d’expliquer ce qu’est l’esprit. D’ailleurs, y arriverons-nous un jour ? Est-ce que les hommes réussiront finalement à expliquer l’univers, à considérer toute l’étendue de la matière et de l’énergie noire (ce dont nous n’avons pour l’heure aucune idée)?

Dans les autres anomalies vidéo (les voir plus bas), on perçoit des visages, toujours bien mystérieux, la plupart du temps non identifiés. Après le « ICI« , nous avons un « R12« . Personne ce jour-là a pu expliquer pourquoi nous recevions cette lettre et ce chiffre. Du côté du Larynx, nous obtenions d’autres interactions. Celles que nous entendions avec Clara (une autre participante à l’expérience) étaient intéressantes. Le premier exemple est une réaction à sa demande. Clara demandait à l’esprit auquel elle pensait, où il se trouvait. L’interaction déclenchée nous faisait comprendre que l’entité «voyait » Clara, répondant positivement à ses interrogations. Nous avons là un exemple pertinent de la relation directe que nous pouvons avoir avec ce genre de procédé.
L’autre exemple est plus confus. Difficile de savoir exactement ce qu’a voulu dire l’esprit. Mais on entend clairement la prononciation du mot « divin« .
L’exemple qui suit est une interaction obtenue par Emilie, une autre participante à l’expérience. Elle reçue dans l’échange, l’interaction « moi, paix« . C’est trés certainement de bon augure et ce n’est pas la première fois que nous recevons des mots dépeignant un état d’être trés réconfortant.
Le dernier exemple d’interaction audible avec le Larynx, nous fait entendre une phrase interloquant. « Oui, boit Jean« , mais qu’a voulu dire l’entité? Sur le moment Emilie n’a pas pu identifier cette interaction comme étant la démonstration d’un état qu’aurait pu avoir un de ses proches. C’est pourquoi nous restons toujours très prudents quant à la définition de nos résultats. Il se passe indéniablement quelque chose, mais, en l’état, difficile encore de parler d’aboutissement. Notre dispositif demande encore d’être peaufiné. Nous déplorons en effet des problèmes techniques qui alourdissent le contact. Difficile d’être alerte et concentré quand une partie de l’installation plante, ou se perd dans une latence bien énervante. Le Larynx est encore tout nouveau, et la technologie déployée demande de la maitrise. Alors nous nous éduquons, nous apprenons, pour qu’un jour nous puissions ne faire qu’un avec la machine et, dès lors, donner un nouvel élan dans le contact. Car, on le sait, dans le lien direct que nous avons avec les esprits, la machine ne peut rien.
Les autres anomalies obtenues dans les enregistrements vidéo





