Expérience de Transcommunication Technique du dimanche 2 novembre 2025

Des mots qui ne sont prononcés qu’une seule fois et qui obligent à la concentration

L’expérience de ce dimanche était tout autant explicite en la vivant sur le fait, qu’après, lorsque, pour écrire cet article, nous repassions en revue les résultats. Et le plus troublant se trouvait une fois de plus du côté du Larynx. Décidément, ce dispositif n’est pas une mince affaire et nous donne du fil à retordre. En effet, celui-ci nous plonge dans une observation « abyssale », où ce direct que nous recherchons, c’est-à-dire l’interaction positive et intelligible sur le fait et audible par tous, se produit souvent après l’expérience, durant la lecture du fichier audio enregistré. Et ceci nous pose différents problèmes. En premier lieu, on sait que notre dispositif est sujet aux interférences, ces déclenchements intempestifs des capteurs de pression atmosphérique. On sait également que les phonèmes prononcés peuvent paraître sans ordre apparent car étalés dans la longueur de l’enregistrement, ce qui rend très compliquée la compréhension sur le fait de ce que l’on essaie de nous dire. Cette observation devient évidente lorsque l’on supprime les « blancs » dans l’enregistrement et les phonèmes intempestifs. Prenons un exemple :

Un vent enfant…

Les mots qui se suivent sont chronologiquement dans l’ordre. C’est-à-dire qu’ils ne sont pas déplacés. Nous avons juste raccourci le temps qui les sépare. Nous n’essayons pas non plus d’interpréter la phrase, d’en comprendre un éventuel sens. Nous constatons seulement que sa construction est sensée. Autre détail et des plus important. Cette phrase a été prononcée alors que personne se trouvait dans la Cellule et que Raphaël s’apprêtait à y entrer, désirant avoir un contact avec sa fille Marie, justement une enfant… Ce jour-là, en effet, l’enregistrement n’avait pas été coupé entre le placement des expérimentateurs. Voici un autre exemple de ce procédé de raccourcissement du temps de lecture :

Moi voit toi…

On comprend bien la phrase, même si elle est mal élaborée. Là aussi, personne ne se trouvait dans la Cellule. Puis, soyons clairs, il y a des mots qui retentissent avec une certaine force. Des mots qui ne sont prononcés qu’une seule fois et qui obligent à la concentration. L’exemple qui suit est extrêmement important et démontre, pour nous autres, une interaction indéniable entre nous et quelque chose qui nous connait très bien. C’était Raphaël donc qui se trouvait à ce moment-là dans la Cellule. Bien que nous ne pouvons ici expliquer en détail les circonstances de sa vie, nous pouvons assurer qu’il y a là une relation évidente de cause à effet. Écoutons l’enregistrement :

Bain, il faut ou…i…er…..(Bain, il faut oublier)

Voici une phrase extrêmement importante, et ce, bien qu’elle soit mal prononcée. Il manque des phonèmes, des liaisons, mais ils sont prononcés dans l’ordre et correspondent parfaitement aux circonstances de la vie de Raphaël. Le mot « bain » (en l’occurrence) n’a été prononcé qu’une seule fois dans toute l’expérience (les quatre expérimentateurs compris). Combien de chance avions-nous de recevoir ce mot absolument pertinent et à ce moment précis de l’expérience ? Et puis ces deux autres mots, semblant compléter un évènement, en y exprimant une sensation :

L’eau chaud…

On parle de bain, puis d’eau chaude… Là encore, la probabilité d’obtenir le mot « eau » était très faible, et ce, dans une suite logique. Mais revenons à la première interaction intelligible que Raphaël obtenait. Alors qu’il se trouvait dans la Cellule, la diffusion de la brume s’était arrêtée. Il fallait attendre que le cycle recommence (toutes les heures environ, l’appareil qui produit la brume se vidange et se remplit à nouveau). Raphaël exprimait le désir d’attendre que la brume revienne avant d’entamer le contact avec l’esprit de sa fille Marie :

« Oui…joue »

On entend les mots : « oui » et « joue« . C’est à l’évidence une invitation à se lancer dans l’expérience qui, il est vrai, est assez ludique sur bien des points. Et plus loin, on entend encore :

« où est meu…..Oui, hue… »

Cette interaction est assez rigolote. Que peut-elle bien vouloir dire, peut être parle-t-elle d’une vache (« meuu« ) ? Lorsque Raphaël demande s’il peut y aller, l’interaction est là aussi bien à propos; « oui, hue« , comme pour dire : « allez, on y va »…. Et puis, plus loin, cette autre suite de phonèmes :

« Hue…Hihan »

Pourrait-on évoquer là le cri de l’âne et ne pourrions-nous pas ressentir d’une certaine manière, l’expression qu’aurait pu avoir une petite fille ? Nous n’inventons rien, nous ne faisons qu’écouter une suite de phonèmes bien réels qui trouvent ici un certain sens. Et puis il y a encore cette autre interaction, qui confirme que l’entité avec laquelle nous sommes en contact est consciente :

L’enfant, il voit…

Il y eut également en appuie à ces interactions audibles, des anomalies vidéo

Là aussi, le mot « enfant » n’a été prononcé que deux fois ce jour-là, et ce, qu’en présence de Raphaël. Quand on sait que Marie, n’était qu’une enfant au moment de son départ de l’autre côté, c’est tout de même assez pertinent. Il y eut également en appuie à ces interactions audibles, des anomalies vidéo. Sur l’une d’elles, on voit nettement un « M« , la première lettre du prénom « Marie » et, sur l’autre, un visage avec une expression ressemblant à de l’étonnement.

Continuons la suite de notre questionnement, en prenant d’autres exemples, en l’occurrence les extraits audio de l’enregistrement du Larynx, au moment où Virginie était dans la Cellule. Toujours en supprimant les blancs et les écarts entre la prononciation des phonèmes, nous obtenons des phrases tout à fait pertinentes. Celle qui suit est édifiante et va tout à fait dans le sens de ce que nous pensons être une partie de la réalité :

« choix du moi et on vit »

Assez surprenante tout de même cette phrase ; « le choix du moi et on vit« … autrement dit, on choisi d’être et on prend vie… C’est ici aller accepter la théorie que notre conscience est antérieure à notre naissance et donc à la biologie. Continuons dans l’expectative et écoutons cet autre extrait :

« Et l’élan t’as mis au fait »

Que peut bien vouloir dire « l’élan » ? Peut-être l’envie, l’énergie, la force des choses ? Et comment comprendre « être mis au fait » ? Être placé devant le fait accompli, la vérité, l’évidence ? Oui, on peut interpréter tout ceci de différentes manières, mais une chose est factuelle ; ces mots ont été prononcés, déclenchés suite à des pressions absolument minuscules, et ceci sur des capteurs de 2 ou 3 millimètres de largeur. Ils ont été enregistrés dans l’ordre dans lequel nous les entendons. Ce n’est pas une supposition ni une paréidolie auditive.

Un étonnement qui se rajoute à toutes les interactions audio que nous ne comprenons pas toujours

L’esprit de Marie montrait bien une certaine insistance. Les interactions qui suivent le dépeignent. Virginie avait demandé à sa fille (et ce, avant même d’entrer dans la cellule) qu’elle essaie de dessiner un papillon. Dans l’une des deux anomalies vidéo observées à ce moment-là, on peut voir une forme qui peut, effectivement, ressembler à un papillon… Virginie, observant sur l’écran de contrôle l’image de l’anomalie, commentait le fait qu’il pourrait bien s’agir d’un papillon dessiné par une enfant. L’interaction audible qui, spontanément, se déclenchait semble le confirmer :

« Oui, fait moi »

Après, il y eut une autre anomalie vidéo, cette fois-ci beaucoup plus alambiquée. On y perçoit deux lettres ; peut-être un « A » et un « B« . Ni Virginie, ni nous-mêmes pouvons interpréter cette image. Un étonnement qui se rajoute à toutes les interactions audio que nous ne comprenons pas toujours. Comme par exemple, cet autre extrait de l’enregistrement audio :

« On veux voir main »

On comprend bien la phrase, mais pourquoi vouloir voir les mains? Il y a certainement un sens à tout cela, même si à priori nous ne l’envisageons pas. Finissons le passage de Virginie avec cette autre anomalie :

« prête au choix »

Nous avons là à priori une affirmation, exprimant le fait d’être prêt à assumer un choix. Qu’a pu vouloir dire l’entité qui a actionné le Larynx ? Serait-elle prête pour une nouvelle action, un nouvel élan, comme prononcer plus haut dans les exemples ? C’est en tout cas assez surprenant pour que ce passage figure dans l’article. Continuons notre investigation avec le passage de Johan. Dans la Cellule, il désirait avoir un contact avec l’esprit de son père. Très rapidement, les interactions devenaient concrètes. Malgré un écho dû à un mauvais réglage (que nous avons pu supprimer par la suite, Johan étant le premier à réaliser l’expérience ce jour-là) nous pouvons nettement entendre « Jo » et après le prénom « Jean » qui est justement celui du père de Johan :

« Jo et Jean »

Ce qui est intéressant dans cette interaction est la rectification que l’entité apporte. Johan, quant à lui, satisfait déjà d’entendre un « Jo« , demandait à l’esprit de le redire une deuxième fois. Mais, l’entité refusa en déclenchant un « non » et actionnant, cette fois-ci, son propre prénom. Réitérant sa demande, il obtenait la confirmation qu’il s’agissait bien de Jean :

« Jean »

Assez improbable tout de même que cette interaction intelligible soit le seul fait du hasard. Cela aurait pu être le cas dans un exemple isolé. Mais, dans la suite incontestable de sens que nous observons dans ces expériences, nous pensons plutôt à un contact effectif avec une intelligence incorporelle, ce que nous appelons coutumièrement « esprit ». Les autres exemples qui suivent dépeignent très bien cette intelligence :

« Jean, où vont vos me…a..ges…Lis…. »
« Nous aurons dans vous un saut en haut »
« Pays en vous… »

Ces trois exemples d’interactions laissent songeurs. Mais nous pouvons très bien comprendre le sens abstrait qu’ils sous-entendent. Le premier est une question, semblant vouloir savoir où peuvent aller les messages. Mais de quels messages s’agit-il ? Nous pensons bien évidemment à ceux de l’esprit Jean, avec lequel nous étions en contact il y a plusieurs dizaines d’années, mais rien de certain. Mais le plus surprenant, c’est surtout le « lis » tout à la fin, qui sonne comme une invitation à les lire… La deuxième phrase à une portée philosophique. « Nous aurons dans vous un saut en haut » et puis la troisième interaction : « Pays en vous« . Ces deux phrases semblent vouloir dire qu’en nous, les esprits trouvent la force d’aller vers le haut et aussi un pays… C’est tout de même étonnant d’autant plus lorsque l’on sait par quelle technique cela est prononcé. Et justement, en parlant de technique, il y a l’IA que nous utilisons pour nous aider dans la conception des programmes Python. Et bien, nous avons eu aussi deux interactions à ce sujet (durant le passage de Raphaël), faisant écho avec les inspirations de Laurie, qui travaille d’arrache-pied à l’amélioration de ce Larynx :

« IA, on voit »
« Foi à IA »

Tout ceci est captivant, étonnant, prometteur aussi. Les difficultés que nous rencontrons pour bien comprendre ce que l’on cherche à nous dire nous emmèneront immanquablement à parfaire notre programme informatique. Que ce soit pour la vidéo ou l’audio, du chemin reste à faire, mais déjà, en débroussaillant cette friche, nous nous rendons compte que quelque chose est là à nous parler, à travers un pont technique. Ce n’est peut-être pas encore assez évident, mais nous y travaillons. Terminons cet article avec deux extraits audio de l’enregistrement du Larynx. C’était Michelle qui entrait dans la Cellule. Le premier nous fait entendre un « Philou » (mal prononcé). D’ailleurs, Michelle dit que l’on y est presque. C’est à ce moment-là que l’on entend « lou« , comme pour rectifier l’erreur de prononciation. Michelle ressentait bien la présence de son fils. La deuxième interaction nous fait entendre « un chat« . Le choix de ce mot n’est pas dû au hasard, puisque Michelle avait eu, avant cette séance, une expérience avec son chat qui, semble-t-il, avait ressenti la présence de l’esprit de son fils. Manifestement, il confirmait cet évènement en composant ce mot:

« Philou »
« Un chat »

Nous ne sommes pas en face d’un simple effet d’optique, mais d’une image concrète

Michelle obtenait également des anomalies vidéo. Sur l’une d’entre elles, elle reconnait une fois de plus l’image de son fils. Les autres sont moins « parlante« , mais restent tout de même sans équivoque. Nous ne sommes pas en face d’un simple effet d’optique, mais d’une image concrète, certainement induite par le faite même que l’on « observe » le phénomène, mais absolument pas le résultat d’une interprétation de taches aléatoires. Il est évident que vouloir communiquer avec les esprits déclenche une sorte de matérialisation, ou l’application physique d’une mémoire, celle de la conscience qui garde à jamais ce que nous sommes et avons été.

Nous sommes persuadés que la conscience est une des forces vives de l’univers, qui est tout à la fois, et dans une superposition absolu, une Unité et un Tout. C’est le focus que nous cherchons à avoir sur un passage de l’existence qui rend pondérable l’identité, et ce, dans ce que nous nommons la matière.

Les autres anomalies vidéo

Les extraits vidéo dans lesquels on voit la formation des anomalies

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