Jeudi 20 février 2014

Psychographie du 20 février 2014
Catégorie 1
Joël,Brahim, Gérard, Laurie.

Les esprits :
Mes chers amis, ne redouter pas la vindicte. Ne soyez pas apeuré par le mortier de la méchanceté , ni par la calomnie. Il est des moments dans la quête où l’attention que l’on porte sur les éclaireurs d’âmes, porte préjudice ou cherche à le faire, cela fait partie des épreuves communes à tous les hommes qui portent haut le signe du renouveau. Travail payé d’ingratitude, car ceux qui défrichent le terrain sont vite oubliés, au profit des promoteurs d’âmes.
Mes amis, les épreuves ne sont pas des charges hasardeuses qui tombent ça et là sur votre route. Vous le savez, mais le doute peut atteindre les plus érudits. Nous, esprits de la cause, ne boudons jamais le plaisir, promulgué par un certain devoir, de venir donner notre diligence à ceux qui, courageusement, sacrifie de leur temps et énergie afin de répandre de nouveaux réflexes. Ne soyez pas surpris, et n’attendez pas le repos, votre route n’est pas une promenade de complaisance. Car vos discours gênent et vos expériences aussi.

Brahim :
A qui pensez vous quand vous dites que nos discours et expériences gênent ?

Les esprits :
Au monde.

Brahim :
Quand vous dites au monde, vous ne voulez pas montrer du doigt ?

Les esprits :
La démarche est louable, le creuset y est défavorable. C’est le gage de l’évolution.

Brahim :
Comment se comporter face a cela ?

Les esprits :
Rester humble, sincère et sans prétention. Ne soyez cependant pas disponible corps et âmes, et ne chercher pas à convaincre. N’oubliez pas qu’au-delà de vos dispositions c’est nous qui choisissons de nous manifester à telle ou telle personne. Si nous ne le faisons pas, c’est que nous avons d’excellentes raisons. Devant vos détracteurs, proposer mais n’affirmer pas. Soutenez l’idée de l’insaisissable choix des esprits et leur volonté à se manifester. Nous n’avons pas besoin de ceux qui ont assez d’orgueil pour se croire indispensable à la cause.

Laurie :
Est ce que cela veut dire qu’il faut que l’on se prépare ? Nous n’allons donc pas avoir un moment de répit entre ce que nous avons traversé, ce que nous traversons et ce qui va nous arriver ?

Les esprits :
Votre croissance marchera de paire avec les répercussions malheureuses.

Laurie :
Mais du coup, cela est il bien de croître ?

Les esprits :
La maladie doit elle être guérie ?

Laurie :
Oui….mais je ne comprends pas ou vous voulez en venir ?

Les esprits :
Tu demandes si il est bon que vous deviez croître. Nous te répondons est ce qu’il est bon de guérir les maux ?

Laurie :
Ah oui merci nous avons compris. En fait vous nous dévoilez un peu l’avenir en quelque sorte, y a t’il un but à ce que vous le fassiez ce soir ?

Les esprits :
resserrer vos rangs.

Gérard :
Je pense, comme Joël le dit aussi, que quelques fois il est bon d’entendre ce que les détracteurs ont à dire, justement pour nous rendre compte de ce que nous sommes nous même afin de s’améliorer. Que pensez vous de ce point de vue ?

Les esprits :
La contradiction est toujours salutaire, pourvu qu’elle soit constructive. La détraction par principe, n’amène que meurtrissure. Il ne sert à rien de vouloir démontrer, mieux vaut susciter l’évolution. La recherche qui nous rassemble ne sera être rendu limpide à la science avec les moyens actuels. Votre mission est plus dans la direction plutôt que dans la résolution. Si toutefois il est acquis que nous arriverons à nous manifester sans précédant par votre entreprise, nos traces ne seront pas reconnus comme un aboutissement ultime. Mais la trace ainsi laissée sera un avant-coureur de découvertes futures, une aurore bienfaisante sur une nouvelle conscience.

Laurie :
Tout à l’heure vous nous avez dit qu’il ne fallait pas être disponible corps et âmes. Pouvez vous développer s’il vous plait ?

Les esprits :
Beaucoup voudront voir, toucher, mesurer, disséquer. Vous ne pourrez ainsi et sans vergogne laisser en pâture la fibre sensible de notre manifestation. Car au delà de vos appareils, il y a notre fibre sensible, dans un équilibre fragile, mis à mal par vos investigations intempestives.

Brahim :
Est ce que cela voudrait dire que des personnes qui ne serait là que par curiosité ou vérification ou autre, pourraient nous faire oublier le contact privilégier que l’on a avec vous ?

Les esprits :
Hors modération, les éléments nécessaires à notre réunion sont annihilés.

Brahim :
Ca veut dire que parfois nous serons amené à faire des choix ?

Les esprits :
Oui.

Brahim :
Merci. C est important ça pour l’avenir, je crois avoir compris qu’il faudra que l’on fasse attention à la presse, aux médias, aux projecteurs, à ne pas vouloir faire plaisir à tout le monde à tout prix en oubliant l’essentiel, le contact…..

Les esprits :
Oui c’est cela.

Laurie :
Qu’entendez vous par « resserrez vos rangs » ?

Les esprits :
Sentez vous mue par la même cause, et cela fait, donnez vous les moyens de la faire croître. Il nous est difficile de vous suivre dans la houle des mauvais jours.

Laurie :
Je n’ose vous le demander mais tout à l’heure vous nous avez dit que l’on était pas au bout de nos peines. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Les esprits :
Comment pouvez vous croire que vos découvertes ne puissent pas vous amener soucis et tracas. Le monde vit les prémices d’un renouveau, et les éclaircissements, même anodins, font sursauter les derniers muscles de la bête immonde.

Brahim :
La bête immonde, c’est les orgueilleux ?

Les esprits :
Le mal en général. C’est une métaphore bien sur. N’aller pas croire à un monstre tapi nous ne savons où dans l’univers….

Laurie :
Je n ai pas le souvenir, après plus de 20 ans, d’avoir eu autant de soucis et tracas qu’aujourd’hui, j’ai l’impression que ces derniers temps nous les cumulons…

Les esprits :
Vous avez atteint votre maturité. Il est temps de découvrir le monde.

Laurie :
Nous allons vous laissez la conclusion, en vous remerciant.

Les esprits :
Nous vous laissons à vos vies.

Éric.