Ce n’est pas par hasard que nous avons choisi la brume comme support pour la manifestation visuelle des entités. Ce n’est pas non plus pour répondre à un goût d’esthétisme. La brume est un élément naturel omniprésent dans la nature. Les bois, les prairies, autour des lac et des vieilles pierres. Ce « voile » est prompte à rendre visible toutes les sources lumineuses, mêmes les plus infimes. Malléable, il peut subir toute sorte de transformation, conduire l’électricité et devenir ainsi la toile de fond de toutes sortes d’apparitions. La manifestation visuelle d’une silhouette furtive le long d’une route de campagne, la forme humanoïde glissant au milieu d’une ruine, le fantôme d’une femme traversant l’étendu d’un lac, dans tous ces cas la brume (même invisible) est à la base des apparitions, ayant le rôle d’un révélateur. La faible lumière du jour facilite également le rendu de ces visions.
Il n’est donc pas étonnant que nous utilisions la brume pour « matérialiser » les manifestations spirituelles que nous tentons d’obtenir. Pour illustrer notre propos, en démontrant le bien fondé de cette technique, nous publions sur notre site cette vidéo très explicite. Il ne s’agit pas d’une apparition fantomatique, mais de la production d’une image « aérienne » produite par trois vidéos projecteurs projetant la même image enregistrée en trois angles différents. La brume (que l’on voie sortir faiblement du tuyau et produire des gouttes de condensation) fait office d’écran. C’est à peu de chose prêt ce que nous mettons en place dans la Cellule de contact et aujourd’hui sa petite sœur, la Cellule itinérante.