Les esprits :
Mes chers amis
Tant que nous trouverons des hommes et des femmes à l’ouverture d’esprit nécessaire, nous nous communiquerons et transmettrons nos messages pour l’ensemble des âmes promptes à l’évolution attendue, quand bien même nous connaissons les dangers d’une telle exposition car rien dans vos institutions ne prépare à cette chose. Vos gouvernes ne sont pas construites de la sorte, les fondements de la mentalité régnante ne prédisposent pas encore à la flexibilité nécessaire. L’exposition dont nous parlons est justement l’incompréhension ainsi engendrée, les inconséquences observées, les impossibilités déplorées. Nous sommes donc au présent de vos existences, disposant de ce cerveau, de ce corps pour vous transmettre nos pensées, véritable échos qui vient ici en forme intelligible dépeindre ce qui existe dans la profondeur de vos âmes. Nous sommes heureux de disposer de votre temps, heureux de pouvoir accomplir la première de nos missions ; la charité, le partage car au-delà de la complexité des sujets qui nous intéressent il y a la plénitude d’une foi qui chargée des valeurs intrinsèques de la bienséance nous ouvre aux horizons mesurés de l’éternité.
Mes amis, mes frères vous voilà dans une nouvelle étape, un caractère essentiel de votre maturité, une route que vous seul construisez selon vos mérites et démérites. Les quelques messages que nous donnons ne sont pas la structure de vos décisions, non ils arrivent souvent après celles-ci. Nous sommes les truchements de votre évolution. Nous n’avons pas le mérite de vos avancées.
Gérard :
Brahim, Jean-Luc ?
Jean-Luc :
Non je pense avoir bien compris ce qu’ils ont voulu dire, en clair ils nous expliquent que les messages qu’ils nous transmettent sont fait de données que nous connaissons déjà. Ils ne viennent que confirmer ce que l’on sait déjà d’une certaine manière.
Gérard :
Mais ils on parlé d’une nouvelle étape, qu’est elle ?
Les esprits :
Elle est ici relative à votre groupe plus qu’à l’ensemble de l’humanité qui est déjà lancée dans sa nouvelle ère. Cette étape vous l’aurez compris, est l’assise de votre maturité spirite, liée aux épreuves que vous traversez. Votre ouverture médiumnique est lourde de conséquence et prend en ces heures un tournant difficile mais qui nous semble nécessaire. Seul Dieu connaît la finalité de ces choses. Le chemin que vous empruntez éclaire avec lui des évidences et des obligations invisibles jusqu’alors. Il vous faudra encore bien des épreuves pour vous sentir en pleine possession de vos moyens.
Gérard :
Notre maturité spirite sera un jour rempli, comment dirais-je, assise, c’est cela que vous êtes en train de nous dire ?
Les esprits :
Mes amis vous disposez d’un espace de dialogue avec nous, une ouverture spirituelle qui frôle avec l’impossible. Vous luttez contre le vent contraire de votre temps et offrez une réflexion intellectuelle non négligeable mais si fragile !
En effet nous distillons des informations, des idées et des avis qui ne sont pas de votre temps, de vos dimensions et demeurent au-delà de vos connaissances. Pourtant celles-ci sembles faites de vos teneurs et facilement partageables. Malheureusement lorsque nos données ainsi obtenues ne correspondent pas à ce que vous croyez comprendre, vous vous perdez en conjonctures car la transformation n’est pas faite et vos dogmes religieux, philosophiques et scientifiques sont tenaces.
(La question à Gérard a mal été enregistrée, le sens de celle-ci est incompréhensible)
Les esprits :
Rien n’est acquis mon ami !
Gérard :
Bien évidement, mais je le sentais comme cela. Je pense que le groupe est bien fusionné et que nous étions bien partis sur la route de la construction.
Les esprits :
Il ne faut pas, qu’aux prémices des douleurs, que le vernis craque. Nous parlions de foi, d’expérience, de force pensée et nous recevons doute, décisions arbitraires et vague à l’âme. Nous portions un frère dans son épreuve et personne ne cru nos dires. Une étape n’a pas été franchie non pas à cause d’une épreuve fataliste, mais suite à la force de « vos choses » et non des nôtres. N’oubliez pas que vous vivez « vos vies ». Nous perpétuons vos choix, vos tendances. Vos décisions proviennent de vos cœurs et quel genre de malade a guéri le Christ ?
Celui qui demandait ou celui qui était convaincu du fait ?
Notre frère Raymond avait une route sinueuse. Il a prit la plus facile en déplaise aux fortes têtes. Il reviendra pour achever sa pénitence.
Gérard :
D’autres questions ?
(S’adressant à Jean-Luc)
Je te sens pensif ?
Jean-Luc :
Ne cherche pas à sonder ce que je peu penser, puisque je t’expliquais que je ne voulais pas aborder ce sujet ce soir. Donc ne pose pas des questions pour moi cela ne sert à rien.
Les esprits :
Ne l’es tu pas aussi ?
Gérard :
Oui bien sur que je le suis, je n’ai pas la même vision des choses que Jean-Luc, donc je ne peu en parler. Il préférerait avoir un autres moment pour aborder ces choses la.
Les esprits :
Nous aussi avons des espoirs, mais nous sommes patient et non rempli d’amertume. Nous subissons vos travers, vos petitesses et turpitudes sans jamais faillir, sans jamais nous détourner. Nous sommes autour de vous à chaque instant et tels des pères aplanissons autant que possible les rugosités de vos évolutions rendues pénibles par vos tendances. Lorsque nous demandons la foi, lorsque nous tentant avec vous une grande avancée, unis pour un acte de guérison nous obtenons dans le dédale de vos raisons une abdication plus forte que nous. Nous voulions vivre avec vous cette chose, cette ouverture mais nous n’y sommes pas arrivés. Nous savons suivis vos demandes et espoirs et récoltons le doute et l’éloignement. Raymond a fait un choix, nous avons porté celui qui correspondant à vos attentes. Mais personnes ne le voulait vraiment, c’est ce qui différencie ces deux cotés de l’existence. Voici encore un avis qui sera difficile à partager.
(Après ces messages, nous recevions l’esprit de Raymond. Message personnel qui ne sera pas rendu ici).