lundi 02 février 2009

English version

L’expérience commençait par une série de flashs médiumniques que Joël commentait. Entre autre il perçu autour d’Aimé une entité qui posait délicatement une main fine sur son épaule gauche et un autre esprit aux côtés de Jean-Luc. Il perçu aussi une bague, un anneau accroché à un ruban noué ceci posé sur la table.

Les esprits :
Les oiseaux sont importants, ils apportent des messages.

(Aimé expliquait alors qu’elle avait fait de la TCI audio à l’extérieur et qu’en enregistrant le bruit des oiseaux elle avait capté un message…)

Les esprits :
Chante encore comme avant…

(Il semblerait que nous ayons eu affaire ci-dessus à l’esprit de la fille d’Aimé)

Les esprits :
Amour et paix amis de la Transcommunication.
Nous revenons ensemble pour répondre à vos questions. La peine servira un ensemble qui vous dépasse. Nous ne reviendrons pas sur le bien fondé d’une telle entreprise, mais affirmons que la multiplicité de ces points de contact faciliterons les manifestations que nous tentons de réaliser sur toute la surface de votre planète. Loin d’un plan pédagogique, notre façon de faire répond à une nature qui, vous l’avez compris, se repend depuis toujours dans les univers. Elle en est d’ailleurs le canevas principal.

Jean-Luc :
Avant toutes chose bienvenu à vous Amis de la Transcommunication. D’ailleurs ce début d’intervention a fait sourire Tony et moi-même puisque c’est ainsi que dans les débuts de nos contacts vous commenciez vos interventions.

Les esprits :
Ce temps n’est pas révolu…

Jean-Luc :
Oui bien sur, mais je voulais expliquer pourquoi nous avions souri à la lecture de votre introduction. Car depuis vous ne commenciez plus vos dictées avec ces mots.

La première question que j’aimerais vous poser, serait en rapport avec le début de l’expérience. Joël percevait autour d’Aimé et de moi-même deux entités. Puis l’une d’entre elle nous écrivait quelques phrases. Pourriez vous nous donner quelques infos sur ces entités ?

Les esprits :
Il s’agit de l’esprit d’une jeune femme, puis d’un médecin !

Jean-Luc :
J’imagine que la jeune femme c’est pour Aimé et que le médecin c’est pour moi ?

Les esprits :
Oui !

Jean-Luc :
Pourriez vous nous expliquer le pourquoi de tout cela ?

(Semblant répondre à une interrogation mentale d’Aimé, les esprits écrivaient)

Les esprits :
Oui Aimé…
Vous nous demandez des explications mais vous semblez au fait…

Jean-Luc :
On peu savoir à quoi tu pensais ?

Aimé :
Non…

Les esprits :
Quand à toi Jean-Luc, tes résolutions nous amène du travail.

Jean-Luc :
C’est-à-dire ?

Les esprits :
Nous veillons à ce que tu y parviennes.

(Passage de la communication personnel à Jean-Luc que nous ne publions pas.)

Jean-Luc :
Aimé reconnaît sa fille sur une des photos reçues en novembre 2007, pouvez vous nous confirmer si c’est bien elle qui s’est manifesté ?

Les esprits :
Oui et il y en a bien d’autres. Mais les résolutions ne sont pas fameuses, d’autant plus que l’imagerie qu’elle avait d’elle même s’estompe dans l’évolution. La mémoire n’est pas maîtrisable à souhait voyez vous. Il n’est pas étonnant que vous soyez ainsi visité puisqu’il existe entre ces êtres des fibres puissants.

Jean-Luc :
Compte tenu des difficultés que nous rencontrons pour obtenir le local dans lequel nous devions aller et où nous devrions pouvoir construire la cellule insonorisée autour du Module, en attendant n’y a-t-il pas quelque chose que nous pourrions faire très vite afin de faire évoluer le Module ?

Les esprits :
Oui, vous pouvez vous intéresser à la production lumineuse du laser, sont cheminement, sa projection sur les surfaces et le changement de vos émissions. C’est-à-dire sur leurs variations, leurs échelles, la mesure de leurs valeurs. Car elles ne sont pas constantes dans les phases qui nous sont utiles.

Jean-Luc :
Cela rejoint ce que déjà nous avions dit. Il faut déjà que nous arrêtions les mouvements du laser qui va dans tout les sens, il faut que l’on le fixe et qu’avec la lentille nous arrivions à bien le difracté sur toute la surface de l’écran.

Les esprits :
Divisez le !

Tony :
C’est ce que voulais faire Joël, diviser le laser en un rayon objet et un de référence. Mais nous n’avons pas ce qu’il faut en prisme !

Jean-Luc :
Pour le diviser il faut quoi ?

Tony :
Un prisme.

Jean-Luc :
On doit pouvoir en trouver ?

Tony :
C’est assez difficile !

Jean-Luc :
Par quel procédé pourrions nous diviser le laser si nous n’arrivons pas à trouver un prisme ?

Les esprits :
Vous n’avez à ce jour pas d’autre solution.
Cherchez bien…

Jean-Luc :
Bien, on devrait arriver à trouver. Cela existe quelque part.

Tony :
Avec Joël on avait cherché sans succès, peut être faudrait il aller pus loin…

Jean-Luc :
Oui on va réussir à trouver.

Les esprits :
Comprenez vous l’utilité d’un tel dispositif ?

Jean-luc :
Apparemment vous nous avez expliquez que la lumière laser était une vibration que vous arriviez à maîtriser pour vous manifester. Mais pourquoi le diviser, non je ne sais pas le pourquoi mais bon…

Tony :
Est-ce que c’est la fameuse technique de l’holographie ?

Les esprits :
Oui !

Tony :
OK, on en est toujours au même point.
C’est bien un rayon de référence et l’autre avec lequel vous aller créer le volume de la manifestation ?

Les esprits :
Oui !

Jean-Luc :
On peut dire que nous sommes aujourd’hui qu’aux balbutiements de la TCI ?

Les esprits :
Oh oui !

Tony :
Y a plus qu’à…..

Jean-Luc :
Oui on va déjà chercher un prisme…

Les esprits :
C’est fait…

Jean-Luc :
Là ça serait sympas de nous en dire un peu plus…

Tony:
On l’a en stock?

Les esprits:
Oui!

Tony:
C’est Joël qui nous l’a ramené ?

Les esprits :
Non.

Jean-Luc :
C’est Willy !

(Petite explication et rappel que nous avons dans des boites des lentilles et des prismes que nous avions oublié…)

Tony :
On doit diviser le faisceau mais pas inonder la pièce avec la lumière du laser ?

Les esprits :
Pas la pièce, le foyer.

Tony :
On revient au schéma qui avait été fait à l’origine sous votre instruction.

Les esprits :
Nous sommes restés à ce point, nous vous attendons…

Tony :
C’est clair…
Ils ont raison d’ailleurs.

Jean-Luc :
Dans les débuts vous nous compareriez à des chevaux fougueux qui, si tôt touchés s’emballaient, aujourd’hui nous sommes devenus des vielles charrues qui n’arrivent plus à avancer.

Les esprits :
Tu es seul responsable de tes opinions.

Jean-Luc :
Au début de la réunion lorsque nous préparions les questions que nous voulions vous poser, J’ai demandé à Tony si il avait une question. Il me répondait que si nous n’en avions pas, il serait bien cependant que vous veniez nous parler. Auriez vous autre chose à nous dire ?

Les esprits :
Oui nous aimerions que vous viviez plus intensément les instants que vous offres vos vies. Ne soyez pas plus dans le passé que dans la projection. Faites le point sur la valeur que vous connaissez le mieux; le présent !
Il est utile de prévoir, d’emmagasiner, mais il est toujours autant important de se nourrir du fruit de vos labeur et ceci c’est maintenant que cela se passe.

Jean-Luc :
Je pense que par le départ de Raymond nous avons compris cette façon de vivre. Cela nous à fait changer d’optiques dans nos vies. Puisque je ne peu parler pour les autres, pour ma part je me suit rendu compte que l’on pouvait partir du jour au lendemain et qu’il fallait vivre nos envies pour ne pas avoir de regrets.

Les esprits :
N’ayez pas peur de la maladie.

Jean-Luc :
Mais qu’est ce qui peu nous arriver de pire avec la maladie, si ce n’est la mort ?
La seule crainte que l’on peu avoir dans la maladie c’est la souffrance.

Les esprits :
Crois tu ?

Jean-Luc :
Sans vouloir parler pour les autres, oui je pense que c’est cela.

Tony :
La souffrance c’est dure, partir de l’autre côté maintenant c’est dure aussi…
On a envie de rester encore un petit peu !

Jean-Luc :
Oui, je ne suis pas pressé, mais je n’en ai pas peur !

Tony :
Mais gérer le temps présent c’est ce qu’il y a de plus difficile. C’est arrêter de se rabâché le passé et avoir confiance en l’avenir, c’est très difficile !

Jean-Luc :
Oui, ou c’est ne pas se poser de question…

Tony :
En ce moment c’est difficile et j’envie ceux qui savent le faire, ils vivent beaucoup mieux l’instant présent.

Jean-Luc :
Auriez vous quelque chose à nous dire pour conclure cette réunion ?

Les esprits :
Oui, au travail…

Jean-Luc :
Sans faire de promesse on va s’ y mettre.

Les esprits :
Ta vie est un présent pour nous.

Jean-Luc :
C’est pour cela que j’ai l’intention de vivre longtemps, pour pouvoir profiter présentement de tout cela.

Les esprits :
Nous vous laissons à vos études.

L’ensemble de vos Guides.