Lundi 04 juin 2007

English version

Les esprits :
Mes amis, à force de volonté et d’ouverture spirituelle, nous commençons à mieux vous voir. Vos limbes nous apparaissent plus clair et le sens médiumnique utilisable. Car rappelez-vous le, vos contours physiques ne sont plus pondérable pour nous et vous pourriez passer inaperçu à nos sens si vous ne faisiez pas l’effort de vous élever pour ces moments là. Des instants perdus dans l’espace car par ce principe même la Terre n’est plus pour nous un minérale mais une sphère énergétique complexe. C’est ainsi que nous vous trouvons dans l’attente et le partage, trop heureux de pouvoir encore une fois venir constater notre intégrité et ceci dans le sens absolu du mot puisque le monde spirituel est intégré dans la matière qui en est sa charpente. Mais encore une fois n’attendez pas pour vivre ces contacts, la tierce personne, ou l’élément extérieur, l’outil, le moyen. Mais soyez conscient que tous pouvez et sans attendre entrer en relation avec nous aussi sûr que l’air qui fait gonfler vos poumons. Un acte naturel par excellence.

(suite à une interruption du contact par la sonnerie du téléphone…)

Les esprits :
Oui voilà, nous sommes de nouveau avec vous, très difficilement mes mais, très péniblement.

Jean-Luc :
Pour commencer je voudrais vous adresser mes excuses puisque j’aurais du penser à couper la sonnerie du téléphone avant de commencer la réunion….Cela a failli interrompre l’expérience. Heureusement que vous avez réussi à rester en contact.

Les esprits :
Mais mon cher Jean-Luc, la sonnerie dont tu parles ne nous a pas dérangé, nous ne l’avons pas entendu, ce sont les sens du médium qui ont coupé le vent subtil du contact. Ne vous y méprenez pas le cerveau de cet homme est pour l’occasion en équilibre précaire entre le sommeil et l’éveil. Un rien peu donc venir contrarier ce contact, ce théâtre sensoriel. Dés lors vous n’êtes plus ostensible pour nous plongés à nouveau dans le brouhaha Terrestre.

Jean-Luc :
Quand je m’excusais d’avoir laissé la sonnerie du téléphone, je savais bien que ce n’était pas vous qui étiez gêné par celle-ci, mais bien Joël. Mais par cette sonnerie, le médium perturbé aurait pu couper le contact!

Les esprits :
Nous avons compris le sens de ta pensée mon ami, ce qui t’honore. Et nous partageons avec vous le sens sacré que l’on attribut à cette ouverture, source de toutes les inspirations.

Jean-Luc :
Bon en tout cas, encore une fois désolé pour cet incident, heureux de voir que vous êtes là, que vous avez pu raccrocher le médium, ou du moins qu’il est pu lui se re concentrer pour vous donner la possibilité de vous exprimer.
Nous avons préparé pour ce soir trois questions en rapport avec nos travaux. La première fait suite à une conversation que nous avons eux avec Richard sur le refroidissement éventuel des caméras CCD.
Puisque le refroidissement de ces caméras diminue le bruit dans l’image, nous pourrions grâce à ce procédé réaliser une image étalon (c’est a dire sans bruit dans l’image) avec laquelle nous filtrerions nos résultats et ainsi améliorer leur définition.
Qu’en pensez vous ?

Les esprits :
Voici une théorie intéressante qui viens grossir la palette des possibles en matière d’optique. Il y a aussi l’imagerie sous vide, hors gravitation, sans vibration qu’elle soit physique ou ondulatoire. A l’heure actuelle les images que vous recevez sont en gestation et ne sont pas déterminées par les données d’une focal, d’une phase ou d’une cadence TBC, c’est à dire pour ce qui concerne les trames entrelacées d’une vidéo. En fait la difficulté est tout autre, puisque nous nous servons de vos outils en dehors de leur fonctionnement logique et essentiel. Les contacts ne se font pas sur tel ou tel appareil mais sur l’entité qu’ils forment. Nous utilisons un ensemble indivisible fait de plusieurs logiques. Si effectivement le seul fait d’utiliser des appareils audiovisuels suppose la technique et théorie appropriée, que nous pouvons reconnaître dans la base même de leur fonctionnement, en revanche et agencés de la sorte ceux-ci deviennent les parties d’un tout qui ne répond plus à la logique de la technique utilisée. Ainsi vous pourriez et à l’infini y rajouter des composants, ce qui n’est pas un mal, mais à chaque fois ces rajouts seraient englobés dans un ensemble et soustrait de leur singularité. Oui vous pouvez améliorer la technique, oui vous pouvez opter pour des capteurs de haute résolution, oui vous pouvez élaborer des ondes porteuse mieux élaborées mais jamais ces choses ne pourront expliquer ce contacte et en faire ressortir une loi physique puisque nous agissons au dehors de celles-ci.

Jean-Luc :
Ceci m’emmène directement à la question n°2
Depuis quelques semaines nous ne voulons plus modifier les réglages du Module pour vous donner la possibilité d’utiliser nos appareils et d’améliorer vos contacts. Pensez-vous que cette façon de faire est meilleur ?

Les esprits :
Nous aimerions faire appel à votre mémoire, qu’avions nous suggérer de faire avant ces contacts ?

Jean-Luc :
Vous nous suggériez de mettre tous les appareils en route et de laisser l’espace de l’atelier vide pour que vous puissiez y travailler sans perturbation de notre part.

Les esprits :
Très bien mon ami, ceci suppose donc de ne plus y toucher ?

Tony :
Pas forcément si on laisse le temps !

Les esprits :
Oui. Notre problème rappelez-vous le encore est celui-ci ; Si nous ne voyons pas vos enveloppes charnels en tant que telles, nous ne voyons pas non plus vos appareils en tant que tels. Nous percevons l’énergie de ces choses. Seules celles-ci sont pondérables pour nous. Nous devons nous les approprier. Hors le contact physique, le déplacement même génère des différences de vibrations qui perturbent l’impacte que nous avons sur l’ensemble. Tout comme une blessure physique peut altérer ce contact entre nous. Il est donc important de comprendre cette subtile de cause à effet. Rajouter la difficulté que nous avons à sonder votre temps et le peu de place que vous nous accorder pour la syntonie et vous avez là le dessin approximatif de la difficulté. Oui il est donc important de respecter ce lieu tel un sanctuaire.

Jean-Luc :
On comprend bien que nous devons respecter ce lieu tel un sanctuaire, qu’il faille mieux éviter de déplacer le matériel….

Les esprits :
Vous pouvez le déplacer mais réfléchissez y. Faites le sans à-coup intempestifs.

Jean-Luc :
Voilà si on veux déplacer les appareils il faut y réfléchir. Il ne faut pas toutes les semaines venir et se dire tien cela on va le prendre et le mettre là. Ok.
Donc je pense que cela on l’a bien compris du moins ce que vous vouliez dire.

Brahim :
Je ne comprend pas comment une blessure pourrait engendrer des difficultés supplémentaires pour le contact ?

Les esprits :
Coupes toi un doigt et essaie donc d’entrer en relation médiumnique avec nous.

Brahim :
Je pensais que c’était l’inverse.

Jean-Luc :
Il parlent de la douleur physique, de la blessure du médium, mais celle d’un des participants ne devrait pas engendrer un gros problème si ce n’est que celui-ci n’arriverait pas à se concentrer.

Les esprits :
Vous vous trompez, la gène peut engendre un mal.

Brahim :
La géne peu engendrer un mal ?

Jean-Luc :
Par exemple, là j’ai des douleurs et bien celles-ci peuvent perturber la réunion.

Brahim :
D’accord, mais pourquoi le mal ?

Jean-Luc :
Par exemple le fait de me voir souffrire peut engendrer chez toi un mal être et ceci peut perturber la réunion.
Est ce que c’est bien ce que vous vouliez dire ?

Les esprits :
Oui tout à fait.

Jean-Luc :
OK.
On va passer à la troisième question.
Depuis quelque temps nous recevons des lettres et des chiffres sur nos images, du moins c’est ainsi que nous les percevons, Pouvez vous nous expliquer le pourquoi ?
Êtes-vous en train de nous montrer autre chose que des visages ?

Les esprits :
Mais bien entendu !
L’imagerie humaine est une faible partie de notre existence. Il y a mille fois plus !
Si il vous faut des visages pour avancer nous vous en donnerons, mais pour le gain d’autre chose. Vous avancez et aller à bon rythme mes amis. Vous aurez d’autres surprises. Soyez vigilants et perspicaces. Vous utiliserez à ce titre la palette informatique appropriée toujours pour pallier à vos sens. Mais l’ambiance lumineuse de notre présence aura un jour raison de ces étiquettes.

Brahim :
A quoi corresponde ces chiffres ?

Les esprits :
Ce sont des pensées matérialisés.

Brahim :
De notre part ou de la leur ?

Jean-Luc :
Alors cela peut être de la part des deux, mais aussi des internautes !
C’est cela ?

Les esprits :
Oui, mais pour ce cas il s’agit de pensées hors votre due.

Brahim :
Elles ne sont pas de notre fait ?

Jean-Luc :
Donc ce sont des pensées d’entités, c’est cela ?

Les esprits :
Oui !

Jean-Luc :
De toutes façons il suffit de continuer à travailler en ce sens pour recevoir d’autres images qui petit à petit nous apporterons autres chose qui sera de plus en plus nette et de mieux en mieux.
Est ce que vous auriez quelque chose à rajouter pour une personne d’entre nous, pour un internaute ou pour conclure cette expérience ?

Les esprits :
Nous n’avons pas assez d’espace, nous vous laissons à vos études.

Gabriel, Éric et Sébastopol.