Lundi 07 mars 2005
Amis,
Lorsque vos aînés déclaraient que le spiritisme était une science d’observation, ils ne se doutaient pas de la justesse de leurs propos, idées que les esprits leurs inspiraient.
Ici, ce soir avec vous et dans votre espace, nous reprendrons ces dires en suivant la logique qu’elle renferme. La spiritualité mais aussi l’élément essentiel qu’elle sous-entend et que vous reconnaissez comme étant l’esprit, n’existe et ne vous montre son état que dans une action d’observation plus ou moins bien élaborée et commentée.
Mais le monde spirituel est une omniprésence et demeure actif sans même votre vie, votre planète et système solaire. Cette réalité est le principe existentiel de l’univers, des univers. Le monde spirituel est donc une unité qui détermine ce que vous appelez le monde des formes. L’observation que vous faites de celui-ci ne détermine pas sa raison d’être. Cet acte de visualisation, d’explication, de comparaison, ne fait que vous renvoyer une image tronquée de sa réalité. L’acte de se pencher sur la spiritualité, de récolter des messages ne viens pas ici donner les parois nécessaires à sa vie. Non, cela vous donne des indications soit, mais qui ne peuvent vous dépeindre l’instant vierge, c’est-à-dire celui qui ne sera pas démontré, restant actif tel un ultime réflexe, loin de tout intellect humain. Les images, les sons, les idées que vous recevez de nous sont donc un ricochet, des images renvoyées depuis une surface réfléchissante qui ne peuvent dans l’absolu dépeindre en profondeur et fondamentalement la réalité spirituelle.
Nous :
vous vous êtes arrêtés d’écrire à un moment quand je me suis tourné pour m’adresser a Tony. Le fait que je parle avec lui, vous dérange t’il ?
Eux :
Oui, nous avons besoin de toi pour nous régler sur vous. Faites vos affaires avant de nous questionner.
Nous :
Nous avons essayé de suivre un peu vos dernières recommandations, nous avons donc inversé le sens des paraboles et modifié aussi le positionnement des vitres.
Donc nous aimerions savoir ce que vous pensez de ses changements ?
Eux :
Ils sont positif pour vous, donc logiquement ils le seront aussi pour nous. Puis restons logique, il y a des aspects encore bien trop théorique dans votre installation. Il faudra alors songer à les « matérialiser ». Nous trouvons vos changements judicieux. Vous comprenez là l’importance des supports, qu’il s’agisse de la lumière ou du son. Vous semblez aussi trouver une certaine « concordance » avec le foyer du module pour reprendre vos mots mais qui devra encore être repensé. Allez donc au plus simple non pas pour le maniement mais pour espérer approcher la logique. Il vous faut bien partir d’un concret reconnu et bien évalué pour ensuite vous embarquer dans le cheminement découvrant l’inconnu. Là en l’état actuel des choses, vous cernez le problème de la convergence et de l’aspect humain. C’est une bonne chose. Attention toutefois aux reflets que nous nommerons de pirates, directement construit, induit par les vitres.
Nous :
Vous nous dites « qu’il y a des aspects encore bien trop théorique dans votre installation » Qu’est ce que vous voulez dire?
Eux :
Oui, votre configuration audio phonique et l’aspect interférentiel de la lumière laser par exemple. La théorie est bonne, l’installation médiocre.
Nous :
Est ce un problème de positionnement ou de matériel ?
Eux :
Il s’agit plus d’un problème d’émission pour le son et de convergence pour le laser. Le 141 hertz nous est pénible, bien que sa physique soit en certain cas, appréciable. Il nous en faudrait d’autres, beaucoup d’autres. La sensibilité des micros, la restitution des enceintes est très médiocre oui, mais cela nous gêne moins que la fréquence que vous émettez. Pour ce qui est du laser, il faut étaler le rayon, il n’éclaire pas assez. Sa lumière nous va mais sa réflexion et sa largeur est insuffisante.
Il ne faut pas supprimer le support de 141 hertz mais multiplier leurs genres.
Nous :
Vous ne pensez pas que nous pourrions additionner les fréquences sur l’ordinateur et vous les renvoyer sur le module ?
Eux :
Oui bien entendu mais un être avec moi me dit que vous y avez déjà pensé. D’ailleurs il vous inspirait l’exemple du Spiricom.
Nous :
Nous avons une question d’une internaute Claudia.
Gabriel et Éric ont dit lors de la séance du 14 février 2005 : « toutefois l’homme ne parviendra pas à concevoir la machine type……….. » Qu’est ce que vous voulez dire quand vous dites, « dans son apogée cette élaboration n’aura plus rien a voir avec une machine ? »
Eux :
Essayons d’être clair. Nous aimerions repasser en revue les différentes étapes de votre technique. De tout âge l’homme dans sa logique et recherche du bien être, n’a eu de cesse de vouloir rendre sa vie meilleure, inventant toutes sortes de choses pour suppléer à ses forces, pour servir son adresse, son art toujours évoluant pour l’aider à se déplacer etc.
Au fur et à mesure de son approche fondamentale de la science, il élaborait des machines dans un ordre croissant vers le complexe mais aussi la perfection humaine sans cesse renouvelée.
C’est ainsi que le téléphone, la communication en générale, l’aéronautique et ses déplacements, la médecine et le recul de la mort physique, sortaient alors de l’inconséquent. Mais dans cette quête l’homme ne faisait et ne fait aujourd’hui que singer son propre esprit car celui-ci fait des choses surprenantes. Il communique, se déplace et se guérit sans attendre. Il serait logique donc que sa technique cherche à approcher le sens absolu spirituel. Et cette observation vaut pour tout le reste. Pour revenir à la TCI, le cheminement est analogue et les instants que vous vivez seront perçus avec sourire dans l’avenir de votre humanité, comme les fous volants font sourires vos pilotes d’avions actuels. Mais réfléchissez, comment percevrez vous l’aviation moderne lorsque vous serez à l’âge de la téléportation ?
Pourtant il aura fallu un Berlioz pour y parvenir, un Boeing pour inventer ces machines, des aspects pointus qui ne désavoueront pas l’aboutissement que je mentionne.
L’on ne peux donc dire que la technique pour communiquer avec nous est caduque et inutile. Non, elle vous sert à comprendre toutes les imbrications qu’il existe en ces choses. La communication que vous aurez avec nous dans le futur, ira de pair avec l’élaboration de votre technologie. Et alors, ce que vous comprenez par machine aujourd’hui n’existera plus que dans l’aspect d’un principe technologique adapté à la planète et l’air du moment.
Ce que vous faite donc en ces temps est primordial pour vous et votre esprit. Faite le donc en toute connaissance de cause.
Nous :
Donc vous nous dites que notre machine fera rire dans plusieurs années comme les aviateurs d’antan font rire aujourd’hui ?
Eux :
Oui, nous émettrons toutefois une remarque, votre module fera rire non pas dans plusieurs années, mais dans plusieurs dizaines d’années, voir plusieurs vies ou générations. La technologie de votre futur ne prendra plus de place, elle ne sera pas commandée par des pupitres, elle ne consommera pas. Non, ce sera la matière tout entière qui formera vos désirs. Vous atteindrez ici, la fusion entre le monde idéologique des formes et le service que cela doit vous rendre. Une évolution technique qui alimentera vos plus fertiles imaginations.
Nous allons vous laisser, votre médium fatigue.
Pour conclure, aidez vous les uns les autres.
Tardieux