Une course de fond
La recherche que nous menons sur la Transcommunication Instrumentale, suppose beaucoup de temps et d’investissement. Nous ne nous contentons pas de perpétuer des expériences de contacts audio ou vidéo courant, mais travaillons sur l’amélioration du procédé et sa démocratisation. La TCI est encore aujourd’hui très exclusive (ne fonctionne pas avec tout le monde), c’est ce qui peut la rendre suspect pour beaucoup de personne. Il doit exister un moyen de la rendre patente pour tous, c’est ce que nous tentons de réaliser.
Ce soir là nous nous retrouvions une fois de plus pour travailler sur l’aspect technique de la recherche. Suivant l’éclaircissement technique que nous avons reçu via l’écriture automatique le mardi 24 mai 2016, nous envisagions les futurs installations. Une grande discussion s’établissait autour du projet audio de notre installation. Valérian qui est en charge de développer un concept afin de pouvoir réaliser une opposition de phase avec les supports sonore dés l’enregistrement, remarquait que l’entreprise était,bien que très captivante, compliquée à mettre en ouvre. La modélisation de l’espace sonore de la cellule n’est pas une mince affaire. Nous discutions aussi du matériel utile et au delà du support qui servira à maintenir les quatre microphones au foyer de la Parabole, nous débattions sur l’aspect technique des microphones en eux mêmes. S’en suit que nous envisageons d’acquérir un microphone spécial, capable d’enregistrer les bases fréquences (c’est un matériel servant d’outil de mesure pour la calibration des microphones). Le plus couteux est même sensé capter les fréquences de 5hz (voir la photo ci-dessous). Le plus compliqué serait, outre le prix d’achat (500 euros pour le moins cher, 1500 pour le plus performant) de pouvoir l’incorporé dans l’installation actuelle, en sachant que grand nombre de console de mixage son ont des filtres base fréquence qui justement annihile ce que nous cherchons à enregistrer. Tout ceci nous promet des longues soirées de mise en configuration et pour les ingénieurs du groupe des calculs savants.
Au détour de cette présentation technique, nous eûmes le plaisir de rencontrer un de nos adhérents; Philippe, qui de passage à Paris pour des raisons professionnelles, était venu nous rencontrer. Il pu ainsi se plonger dans le bain et bon gré mal gré prendre en court une réflexion technique vieille de plusieurs mois déjà. Pascal pris le temps de lui expliquer la démarche et lui présentait les comptes rendu d’expériences médiumniques relatifs à la recherche en TCI.
Christophe et Omar profitaient également du moment pour consolider le support laser de la CIT. Encore un moment crucial, où pratique et information font toujours bon ménage.