Réunion technique du mardi 8 novembre 2016

De longues discussions

Les réunions techniques sont pour nous de vrais moments opportuns, où nous discutons de l’avenir de notre recherche et particulièrement celle de notre configuration technique. Des évaluations que nous ne pouvons faire lors des expérimentations et qui restent primordiales pour l’évolution de notre travail. La réunion commençait par le plus simple, le remplacement du réservoir d’eau sous pression, nous permettant d’alimenter le brumisateur. Une fois en place, nous nous apercevions sans mal de la supériorité du modèle comparer à celui qu’auparavant nous utilisions. Ce dernier devait être percé et la pression utile pour le fonctionnement du brumisateur tombait rapidement. Avec le nouveau, le pompage se fait avec une facilité déconcertante. La pression monte rapidement, et les 4 bar sont vites atteins. Le plus remarquable est que la pression reste constante, même une fois le brumisateur mit hors tension. Nous sommes partie du local hier soir et le manomètre montrait encore une pression supérieur à 1,5 bar…

Bien…Après cette introduction assez récréative de plomberie, il nous fallait parler de Strioscopie et du montage qui allait avec. Reprenant les plans que Joël avait fait alors inspiré (voir la dernière expérience médiumnique), nous proposions différents dispositifs susceptibles de faire l’affaire. Hors en prospectant sur le site d’un fournisseur de produit de laboratoire sur lequel nous avons déjà passer commande, Omar remarquait que les miroirs hors axe que nous avions choisi, n’étaient en faite que des supports (support de miroirs justement)…Une mauvaise lecture de la nomenclature qui remettait tout en cause. En effet, les miroirs hors axe susceptibles de nous êtres utiles étaient bien trop petit pour l’empattement de notre configuration actuelle. Ne mesurant que 10cm de diamètre, il aurait été difficile de contenir dans ce périmètre l’entière diffusion de brume qui s’étant sur à peu près 25cm.

Cette mauvaise surprise nous oblige donc à revoir notre copie. A moins de trouver sur le commerce deux miroirs paraboliques hors axe d’au moins 200mm de diamètre, nous serons très certainement obligé de nous équiper que d’un seul miroir parabolique de télescope (il en existe d’assez grand) avec une distance focale suffisamment longue pour l’éloigner du foyer (qui sera là où se diffuse la brume avec le risque de mouiller le miroir). Le dit miroir sera alors dans l’axe de la grande parabole (qui possède également un foyer), face à la caméra 1, elle même équipé d’un diaphragme ou d’une lame de rasoir au point de focal du miroir (afin d’obtenir le filtrage de Fourier – voir le schéma ci-dessus).

Nous finissions la réunion assez fatigués, comprenant que l’évolution de la cellule de contact n’était pas de tout repos. Une affaire à suivre.