Joindre l’utile à l’agréable.
L’expérience de ce soir commençait par une envolé théorie des plus intéressante. Nous recevions pour cette expérience Louis et Bertrand de jeunes Physiciens faisant de la recherche fondamentale (mécanique quantique). A se laisser aller dans la discussion, nous arrivions même à en oublier l’impératif de l’expérience. Il faut dire que depuis un moment nous recevons des messages en écriture automatique qui nous présentent l’esprit comme un élément fondamentale de la matière, pour ne pas dire formateur. Pouvoir entendre l’avis de chercheurs sur ce sujet était captivant. Le plus important était leur vision de la recherche actuelle sur la physique et plus particulièrement sur la physique Quantique. Nous étions d’accord, le monde dans lequel nous existons tous est encore bien mystérieux et la théorie unificatrice une quête bien difficile. Aude-là des visions quelques fois bien fantasmagoriques qui, il est vrai, exister dans le monde « intellectuel »de la spiritualité, nous nous comprenions et la mort synonyme de néant un non sens. « Pour la science la mort n’existe pas », une parole de Louis qui démontre à elle seule l’importance de la recherche fondamentale. Leur intérêt pour nos expériences TCI était donc guidé par leur propre recherche, espérant peut être trouver de nouvelle inspiration. Voilà une présentation de la science très séduisante, affirmant que le vrai savant ne peut être freiné par aucune idée préconçues, ni empêcher par aucun dogme.
De timides résultats
Les images de cette expérience étaient médiocres. Il n’y eu que peut d’anomalies et surtout une luminosité vidéo très basse. Le système avait été déréglé et il fallu le revoir entièrement. La Strioscopie put ainsi être réglée à la perfection. Jamais nous n’avions eu autant de contraste dans l’image. Pourtant les captures vidéos restaient sombres et il était impossible de rajouter de la lumière, ni de pouvoir ouvrir davantage le diaphragme des caméras (en buté tout ouvert).
Malgré tout nous percevons des visages et même un chiffre. La première image alors qu’Annick se trouvait dans la cellule montre un 57. Là encore aucune signification (connue ou reconnue), les autres des visages. Les vidéos ci-dessous montrent comment arrivent ces anomalies. Un ralenti de 30 pour cent à été appliqué à la séquence afin de bien visualiser le cheminement. Lorsque nous aurons acquis les caméras HD avec un cadencement de 180 images par secondes ce ralenti ne sera plus nécessaire et naturellement la définition bien meilleure.
Du coté des internautes.
Pour cette expérience la pêche fut bonne pour les internautes. Angélique, un membre de l’IFRES et habitant à Thiers a obtenu une image montrant une série de chiffre. Elle ne percevait quant à elle que le chiffre 5. Mais en appliquant un contraste élevé, on distingue sans mal deux autres chiffres qui semblent êtres des 3…Voici encore une fois une image bien mystérieuse…Peut-être un rapport direct avec le chiffre 57 de l’image d’Annick? Impossible de le savoir, mais une chose est certaine, il y eu à un moment donné une communication croisée entre la cellule à Carrière sur Seine et l’ordinateur d’Angélique à Thiers…