État des lieux dans la mise en œuvre du Satellite et du larynx virtuel.
Le moi de janvier aura été consacré à la technique. Il ne suffit pas de réaliser des expérience de TCI pour avancer dans la recherche, encore faut-il comprendre les tenants et aboutissants d’une telle entreprise. Les expériences que nous réalisons ne sont donc pas un exutoire ou pour plaire à la foule, mais bien la suite logique d’une étude autant théorique que technique. Une sorte d’application pratique à ce que nous avons compris.
Les deux réunions que nous avons consacré à l’élaboration technique pour nos expériences répondaient donc à un besoin important. Elles s’orientaient sur trois aspects; la mise à jour du Satellite, l’élaboration du module de test en vue de la future mise en place du larynx virtuel et le travail de fond administratif de l’association. C’est par ce travail important que nous pouvons espérer créer un pont technique inédit avec le monde invisible. Nous pouvons soit perpétuer ce que d’autres avant nous ont fait, ou nous orienter vers un autre principe de contact que nous commençons à peine à concevoir…
Le Satellite et sa Strioscopie.
Voici le plus compliqué à mettre en place. Comme pour sa grande sœur avant lui, il a fallu concevoir un dispositif optique susceptible d’observer les mouvements invisibles de l’air. Les exigences physiques étaient beaucoup plus contraignantes que pour la grande cellule. Il fallait pouvoir trouver un miroir avec une focale susceptible d’être utile dans un espace réduit. Le choix du miroir était donc primordiale. Avec le recule nous nous apercevons que les critères de focale sont bien moins contraignantes que présumé. Le miroir que nous avons acquis est dans la pratique pas bien adapté… La focale bien trop courte, nous a obligé à déporter le cache (Plan de Fourier) en avant du miroir (voir les photos). Vue le prix d’un tel miroir, nous allons donc expérimenter avec celui-ci. Nous devrons très certainement en acheter un autre afin d’éviter que le cache utile soit dans l’axe du miroir. Il faudra alors en tenir compte dans les résultats, puisqu’il sera visible sur la vidéo…
Le cheminement laser et les formes aléatoires.
Après avoir réussi à obtenir une Strioscopie suffisamment importante, il fallait ensuite replacer le cheminement laser, le vidéo projecteur et la deuxième caméra. Dans un espace aussi réduit, l’empattement des appareils nous oblige à la précision. Le moindre écart peut gêner le fonctionnement de l’ensemble. A la mise en marche, les réglages furent relativement faciles. Le principe étant le même que dans la grande cellule, il était aisé de retrouver ses marques. Nous en avons profité pour changer le laser et doter ainsi le Satellite d’un modèle beaucoup plus puissant. Reste à bien serrer l’ensemble pour éviter le déréglage intempestif. Les prochaines réunions techniques serviront à parfaire l’ensemble et procéder aux premiers test avec la brume.
Le larynx virtuel, un projet en expertise.
Nous étions là dans la série des tests. Un domaine d’application où nos experts se lançaient dans une totale création. A partir de messages reçus en écriture automatique nos deux scientistes se mettaient à la tache. Tout était à inventer, le dispositif physique du module de test et les logiciels susceptibles de le faire fonctionner. Un ingénieur en informatique et un Docteur en traitement des signaux électromagnétique sa aide…Il est toujours aussi impressionnant de voire avec quelle facilité ces messieurs écrivent des lignes de code afin de construire un dispositif aussi prometteur. Quoi qu’il en soit, le test était concluant et le premier module (capteur de pression atmosphérique, Arduino et haut parleur) était fonctionnel. Reste à le multiplier par 10 unités et plus tard 60 comme il nous a été expliqué lors d’une expérience médiumnique d’écriture automatique.
L’administratif, le fils conducteur de l’IFRES.
Aude-là de l’aspect technique, une association comme la notre génère une quantité non négligeable de papier, de process, de tableau etc. Nous sommes sollicité par tant de monde et devons réaliser tant de choses que nous devons avoir une administration de qualité. La Coprésidente et la Trésorière adjointe ne comptaient pas leur peine à lisser l’organisation de toute l’administration. C’est un travail de l’ombre, que l’on ne voie pas, mais qui est essentiel. Sans la peine que se donnent les personnes de l’administration, que ce soit sur place ou à distance (Los Angeles et Dijon), l’IFRES ne serait encore qu’un rassemblement de copains…