Il faudra encore être patient et s’appliquer dans la construction.
Certains pourront peut-être dire que nous passons en ce moment le plus clair de notre temps à « bricoler » sur nos installations, boudant du coup les expérience de tci à proprement parler. D’autres pourront êtres désolés d’apprendre que leur rendez-vous prévu pour participer à une de nos expériences est reporté. Mais l’enjeu est à nos yeux si important que nous devons aller jusqu’au bout de nos objectifs et ceux-ci passent indéniablement par l’élaboration technique de nos moyens d’expérimentations.
Ce soir là nous avions prévu de mener un test de fonctionnement du Satellite (petite cellule portative) afin d’attester sa fonctionnalité et dés lors s’orienter sur son déménagement à Dijon chez Sébastien l’un des membres du bureau. Il est question de préparer un duplex entre les deux cellules et ainsi d’observer la manifestation des entités de part et d’autre mais surtout la possibilité de d’obtenir des images complémentaires. C’était donc notre attente, mais les choses ne se présentaient pas aussi bien que prévues.
Un système de brumisation à revoir entièrement.
Pour le test, nous avons du décâbler le système d’enregistrement vidéo de la grande cellule pour le raccorder à la petite. Une fois le réservoir d’eau déminéralisée remplie, nous mettions en fonction le satellite. Les réglages fait au plus prêt, nous mettions en marche le brumisateur attitré et son ventilateur de diffusion…
Et là grande déception…La brume bien trop pauvre, ne suffisait pas à « matérialiser » les interférence laser et les formes aléatoires pixelisées. Le constat était sans appel, cela ne fonctionnait pas. Pour garantir notre constatation, nous décidions d’emprunter le brumisateur de la grande cellule. Le résultat était concluant, nous percevions les support lumineux…Il va donc falloir acheter un deuxième brumisateur (le modèle en dessous de celui que nous possédons, car nous n’avons pas besoin du même débit). Quoi qu’il en soit, nous voilà parti vers des dépenses non prévues, ce qui rajoute au carnet de nos prévisions (par exemple le passage en HD FULL de la grande cellule).
Nous devrons également prévoir d’installer un système d’évacuation de brume (une sorte de hôte aspirante), pour ne pas humidifier entièrement l’intérieur du Satellite. L’appareil (le brumisateur souhaité) sera assez puissant tout de même pour le remplir entièrement de brume et ce très rapidement. En plus de cette état de fait, nous nous sommes aperçus (lors du test) que le cheminement laser n’était pas dans l’axe du miroir. En l’ajustant grâce à la molette micrométrique du support, nous déplacions « hors axe » la caméra de Strioscopie …Il faut donc tout revoir….
Du coté du Larynx virtuel les choses avancent vite.
A coté de nos « embêtantes constatations » relatives au satellite, nous pouvions nous réjouir de l’avancée du Larynx virtuel (dispositif de production de fréquences audibles actionnées par capteur atmosphériques). Valérien et Sébastien avancent à pas de géant dans le câblage, la programmation, la soudure des capteurs. Valérian nous fit même entendre un exemple de fréquences très proches de la voix humaine. Une sorte de son presque « hypnotisant ». Il sera bientôt question de penser au support des dits capteurs, dispositif que nous placerons dans la grande cellule. Nous travaillons donc d’arrache-pied sur ce projet et avons encore besoin de temps pour le mettre au poing.
Des rendez-vous contrariés et des expériences reportées.
A l’unanimité il était clair que nous devions continuer notre investigation technique et ce en stoppant les expérience TCI pour quelques temps. Nous devons mettre au point tous ces appareils afin d’augmenter la pertinence des résultats. Nous aurions pu il est vrai nous contenter de ce que l’on a déjà réaliser et ainsi venir grossir les statistiques de probabilités. Mais nous avons choisi de perfectionner nos outils et ainsi de répondre plus en détails aux questions essentielles dues à cette recherche épineuse. Un choix qui nous l’espérons sera comprit par les personnes qui devront encore patienter avant de pouvoir entrer à nouveau dans la cellule.
Un travail d’équipe soutenu.
Comme déjà nous l’expliquions dans différents articles, le fil conducteur de tout ce travail est sans contredit l’administration. Ce soir là, Laurie (Coprésidente et fondatrice de l’IFRES) et Annick (Trésorière adjointe) s’adonnaient à la tache. Beaucoup de problèmes liés à l’intendance étaient à régler, cela se faisait dans une ambiance bonne enfant.
Un clin d’œil aussi à Jérôme et Jennifer venus nous donner un coup de main et à Clément (cinéaste) qui couvre depuis Septembre les coulisses de notre association. Une affaire à suivre…