Du temps de l’énergie et de la patience…
Le temps passe et nous sommes toujours dans l’élaboration technique pour notre installation TCI. Pourtant les choses pourraient êtres plus rapides, entendons-nous deci delà sur les réseaux sociaux. Mais les personnes intéressées par notre recherche doivent savoir que nous ne travaillons sur ces élaborations techniques que trois heures par semaine…En fait, nous avons tous une vie professionnelle et venons à l’IFRES le soir après notre journée de travail. Nous ne sommes pas, comme certains ont pu le penser, des salariés travaillant huit heures par jour aux affaires de l’IFRES…Voilà pourquoi nous sommes obligés de consacrer le temps de nos réunions à la technique et non à l’expérimentation TCI, car si non, nous ne pourrions progresser.
De l’optique à la plomberie en passant par l’électricité.
Le Satellite de la grande Cellule commence à prendre forme. Les éléments utiles à son fonctionnement sont placés et testés sur le coup. Ce soir là, nous devions mettre en place le nouveau brumisateur et le SUB (enceinte pouvant supporter les basses fréquences), qui « quadrillera » le panache de brume en forme de fréquence (ici du 20HZ). Le plus compliqué était de trouver le moyen de faire fonctionner cet appareil à l’origine fait pour la sono d’une voiture. Fonctionnant sur du 12 volt, il fallait que nous achetions un transformateur 220/12V. Cet appareil Subwoofer est surpuissant et n’occupe qu’une faible place à l’instar de ses homologues que l’on retrouve par exemple dans les installation de home cinéma (comme celui que nous avons placé dans la grande Cellule). Une fois que nous avons trouvé le moyen de « déjouer » le point contact (n’oublions pas que c’est à l’origine pour une voiture et son contact) nous pûmes constater l’excellente pression acoustique du l’enceinte et la diffusion du 20HZ issue de notre générateur de fréquence…Impressionnant…..Nous penserons mieux la prochaine fois l’emplacement de cet appareil, compte tenu qu’il sera très proche du panache de brume et l’on sait que la brume…et bien sa mouille…..Peut être devrons-nous prévoir une sorte de cache en plastique afin d’éviter de « mouiller » le SUB et de créer ainsi un court circuit. En attendant, nous l’avons enveloppé dans un sac en plastique (voir les photos in-situ).
De l’eau et des fuites…
Du coté du brumisateur, il fallait faire un peu de plomberie. Cet appareil possède une électrovanne qui ne se déclenche qu’à 1 BAR de pression. Il faut donc comme pour la grande cellule, un compresseur à main (un récipient que l’on met sous pression à l’aide d’une pompe intégrée) et un manomètre qui nous renseigne sur la valeur de la pression utile. Nous possédons tous les éléments à mettre en place. Et comme il s’agit d’eau sous pression et bien les jointures entre les éléments sont primordiales. Cette exercice nous permettait de constater que de nombreuses fuites existaient et que nous devrons mardi prochain les tarir.
Une équipe soudée et solidaire.
Les difficultés techniques que nous rencontrons engendre dans l’équipe une réelle émulsion positive. L’on n’hésite pas à laisser ce que l’on fait pour aider l’autre. Sébastien R, habituellement sur l’élaboration du larynx virtuel (avec lequel les esprits pourront parler, du moins nous l’espérons), donnait un coup de main à Joël pour faire le montage électrique du SUB. Clément (le cinéaste qui réalise un film sur notre association), posait même sa caméra pour nous aider. Laurie et Annick, plongées dans la comptabilité ne manquaient pas de lever la tête et de prendre des nouvelles de l’installation et au cas où de donner, elles aussi, un coup de mains. C’est ainsi que nous progressons et que nous construisons un tissus subtile d’entente qui nous permet d’attirer à nous les entités susceptibles de nous faire évoluer.
N’oublions pas Sébastien C qui depuis Dijon (le futur lieu d’expérimentation du Satellite lorsqu’il sera terminé) suivait patiemment et en direct live le travail que nous faisions afin de bien comprendre l’avancée technique.
Dernière ligne droite.
Malgré tout, nous commençons à en voire le bout et le Satellite est pratiquement terminé. Les éléments antérieurs non adéquates remplacés, la Strioscopie mise en place (reste le miroir à changé comme expliqué dans l’article précédent), la VMC installée, nous pourrons prochainement faire les premiers tests expérimentaux et ensuite faire le voyage jusqu’à Dijon pour la mise en place de cette machine.