La recherche en Transcommunication Instrumentale est à ce prix!
Plus nous avançons vers la fin de la procédure d’agencement technique de notre Satellite et plus les réunions techniques deviennent compliquées et pas assez longues. La réflexion utile pour bien comprendre l’emplacement des éléments techniques nous prend du temps et les 3 h de réunion n’y suffisent plus.
Ce soir là nous devions tester le nouveau mélangeur vidéo acheté récemment et le nouveau miroir. Pour le premier impeccable, nous voici doté de deux mélangeurs vidéo, l’un servant de cache rond permettant un mélange des deux flux vidéo sans perturbations visuelles parasites (voir les anciens comptes rendus explicatifs), l’autre pour le mix des flux vidéos. Par contre pour le miroir les choses sont encore un peu compliquées. Nous sommes toujours dans les problèmes de distance focale, qu’il s’agisse de celle du miroir, ou de la valeur limite des objectifs des caméras…Entre le bon emplacement du cache spatial (pour la Strioscopie), celui de la caméra qui doit filmer les perturbations de l’air, le cheminement laser et l’ensemble projecteur/caméra/générateur de formes aléatoires, il y a de quoi en perdre son latin…
Nous n’avons pas réussi à trouver la bonne configuration, le temps nous manquant. Mais nous sommes sur une piste qui devrait être concluante. En fin de compte le premier miroir sera le bon, le deuxième offrant, en définitif, une focale bien trop longue… Nous n’avons pas d’autre choix de miroir dans le catalogue du fournisseur ( à part peut être des miroirs hors de prix et pour des lumières non visibles comme l’UV ou l’IR/ infra rouge). Nous restons quant à nous dans la lumière visible, du moins pour le moment. La solution pour notre configuration et les limites physiques du Flycase se trouve dans la disposition de la caméra de Strioscopie. Nous devrons en définitive l’avancer vers le point de focalisation utile (voir le schéma). Il faudra du coup faire très attention à l’humidité, puisque celle-ci sera bien plus proche du panache de brume….(chose que nous voulions éviter…).
Le larynx virtuel en bonne marche, lancement de l’emplacement dans la grande cellule.
Valérian et Sébastien R, nos maitres d’œuvre dans ce formidable projet, ont terminé leurs tests de fonctionnement. Les capteurs de pressions atmosphériques donnent toutes les satisfactions et le logiciel de Valérian propose des fréquences audio très proches de la voix humaine. Il va donc falloir prévoir l’achat du matériel nécessaire. Lorsque nous aurons mis en place ce dispositif de dix capteurs et fait les premières expériences TCI, nous penserons à l’implantation de soixante capteurs (comme suggéré lors d’une séance médiumnique). Avant cela, les esprits devront nous donner des signes concluants de communication.
L’administration toujours active.
Le travail d’équipe est un trésor dans ce genre de recherche. Chacun à sa place permet à l’ensemble de progresser. Ce soir là Annick était seule dans le local, Laurie travaillant depuis chez elle. Il était encore question de comptabilité mais aussi de mise à jour de la bibliothèque et un brin de ménage…