Une expérience sous le tonnerre.
Ce soir là le ciel grondait, la pluie diluvienne raisonnait dans le local. Est ce que les perturbations atmosphériques pouvaient influer sur nos résultats? Apparemment non, la séance se déroulait comme à l’accoutumée, si ce n’est que nous étions peu nombreux ce soir là. Ce qui permis à Annick et Sébastien R (membre du bureau de l’IFRES) de se prêter à l’expérience alors qu’habituellement la place est laissée aux autres personnes. Une chose reste à signaler pour ces enregistrements, la brume interagissait tout particulièrement avec la Strioscopie. Cela faisait un mélange étonnant. Le mixage avec l’image vidéo des formes aléatoires donnait un ensemble très esthétique. Quoi qu’il en soit, nous pouvions une fois de plus constater la récurrence du phénomène mais dans une moindre intensité que d’habitude. D’ailleurs nous n’obtenions rien lors du passage d’Annick. Pour les autres une seule image n’était visible par clip sur une dizaine de seconde d’enregistrement. Seule Monique obtenait deux images. Le S ou le 5 est particulièrement bien dessiné (voir images ci-dessous). Mais l’image de Micheline reste la plus définie. D’ailleurs, cette anomalie fut captée en même temps par Angélique (une adhérente réalisant l’expérience depuis chez elle dans le Puy de Dôme). Un détail très intéressant, puisque nous restons persuadés que le phénomène n’est absolument pas localisable, mais existe d’une manière spontané et ce en dehors de notre espace physique. C’est d’ailleurs tout le sens des expériences croisées que nous souhaitons mettre en place avec le Satellite (voir l’image en bas de l’article).