Un travail de fourmi.

De la constance dans l’effort.

Il est des moments dans le travail, où l’effort fourni ne semble ne déboucher que sur du déjà vu. Pourtant à chaque instant, nous y construisons l’avenir. C’est un peu le sentiment qui se faisait ressentir ce soir là. Pas de grandes exclamations, pas de percées mémorables, mais un travail assidu, calme et terriblement efficace. Vous le savez, notre association vit en ce moment un changement important. Nous sommes en train de faire évoluer notre système entier de TCI. De plus, nous prévoyons de déménager prochainement. Nous attendons la fin des travaux (actuellement en cours) dans notre futur local. De ce fait (et en prévision de tout ceci), nous sommes plongés dans les préparatifs qui peuvent êtres perçus comme « longs et fastidieux ». D’ailleurs, ce creuset utile pourtant, initie des désistements, des annulations, des désabonnements et nous le regrettons. Cependant et lorsque nous remonterons la cellule dans notre nouveau local, ce sera une nouvelle aventure prometteuse qui s’ouvrira devant nous.

Bientôt un trait d’union.

L’idée de réaliser un petit fascicule d’information pour nos adhérents est vieille. Nous éditions il y a plus de 10 années déjà un petit journal retraçant nos plus intimes convictions, les nouvelles idées de recherche et tous les à-cotés de nos réflexions. Un partage que nous ne publions pas sur notre site, mais qui est donné à nos adhérents. C’est une volonté d’intégrité, celle de vouloir incorporer profondément dans notre recherche toutes les personnes qui nous aident. C’est Laurie qui est le maitre d’œuvre dans cette initiative. Elle prend tout en charge, se formant sur les logiciels de mise en page, cherchant les informations à partager, les images à éditer et autres agréments utiles pour l’information. Bientôt, nos adhérents recevrons chez eux ce « trait d’union », une manière de les intéresser d’avantage sur les tenants de notre cheminement.

Le travail de sape continue.

A coté de cela, il y a le fil rouge, le travail technique qui va nous assurer la bonne marche de nos prochaines expérimentations. Tout ceci est long, très long même… Nous ne pouvons compter que sur trois heures par semaine pour ce travail. Il y a les réglages pour le système vidéo et notre soucis de compatibilité entre les caméras à hautes vitesse et le logiciel de mélange et d’enregistrement vidéo. Nous arrivons petit à petit à un réglage fin intéressant et prometteur. L’image fournie par les deux caméras est nette, contrastée et le ralenti obtenu fluide. Reste une extrapolation d’une image sur quatre que nous n’arrivons pas à comprendre. Nous y réfléchissons. Il ne faut pas oublier non plus les petites inventions pratiques qui permettent de résoudre bien des problèmes, comme ici les nouveau support de caméras en plein perçage (voir photos plus bas). Puis pensons à la programmation du programme qui fera « vivre »le larynx virtuel. Là c’est un travail d’expert pour ne pas dire d’orfèvre, où Valérian, Sébastien et Louis s’accordent dans un langage impossible pour les profanes. Il faut dire qu’un docteur en traitement des signaux électromagnétiques, un ingénieur en informatique et un physicien et bien ça parle étrangement…(petit clin d’œil à nos comparses).

Et la projection du mieux se réalise en toile de fond.

Le mieux se fera aussi par le changement de lieu, notre nouveau local d’expérimentation. C’est surtout Amar et son sens de l’organisation qui nous permet de bien avancer. Que ce soit pour réaliser un bail, organiser les achats, prendre des rendez-vous ou simplement mettre de l’ordre dans les papiers, Amar c’est de la clarté d’esprit. Note association a trouvé en lui un précieux collaborateur. Son sens de l’entreprise est tel, qu’avec lui les choses à faire semblent simples. Toutes ces choses se sont réalisées sous l’œil de la caméra de Clément, continuant ainsi son film avec nous, cherchant le meilleur angle pour raconter notre histoire à l’écran. Une future projection que nous ne manquerons pas de partager dés sa parution.