Dans le paysage français de la TCI existe une association, qui depuis de nombreuses années obtient des résultats d’expériences qui forcent l’admiration. Sur les traces de Monique Simonet qui fut une des grandes figures de cette mouvance, elle continue de s’occuper des gens qui souffrent d’un deuil tout en permettant de faire avancer la recherche.
Nous avons, depuis le début de notre propre investigation, marché au côté d’Infinitude, pris les mêmes jalons, participé à beaucoup d’émission de télévision commune sans jamais nous rencontrer physiquement. Cette après-midi-là, à la Clarté de Dieu, dans la ville d’Orsay, nous nous sommes enfin salués. Nous y avons rencontré des gens charmants, avec cette émotion palpable, forte et engageante.
Dans un contexte difficile, où les gestes barrières étaient de rigueur, nous avons pu partager les résultats de notre recherche, face à une salle acquise, participative. Un fort moment, où le partage prend tout son sens. Car la recherche que nous menons n’est pas l’expression d’une passion unilatérale, faite pour répondre à notre seul besoin, mais une prise de conscience collégiale où les questions existentielles sont le centre de notre intérêt commun.
Merci encore à l’association Infinitude, merci à Jacques Blanc-Garin qui avec sa gentillesse, sa sensibilité et son humanisme palpable nous a beaucoup émus. Des moments précieux où l’on ressent très bien la valeur de ce que nous appelons spiritualité, patrimoine bienheureux de l’humanité.