La capture vidéo enfin stabilisée
Il aura fallu la logique d’un informaticien pour venir à bout d’un problème récurrent que nous déplorions depuis un certain temps. Le logiciel qui nous permet d’enregistrer les vidéos plantait allégrement, rendant les expériences TCI fastidieuses et coupant, du coup, le flux vidéo pour les internautes connectés.
A l’heure ou l’automatisme nous rend la vie facile, où les ordinateurs font leur « popote » tranquillement, mettant à jour ses programmes d’une manière récurrente, nous ne nous soucions pas de la bonne marche de nos machines. Après tout, les mises à jours nous secondaient…C’était sans compter les petits drivers additionnels qui eux sont les grands oubliés de cette autonomie sous-jacente. Ainsi donc le driver qui pilote nos caméras de mesure industrielle (tout ça pour vous faire comprendre qu’il ne s’agit pas de caméra lambda) était obsolète, rendant le système instable. Sébastien R, lors de la dernière réunion technique, avait réussit à aller chercher le bon driver (et en plus il faut aller fouiller dans la liste interminable « download ») et les avait installé. Par manque de temps, ce n’est que durant cette nouvelle réunion technique (donc fortement recommandée) que nous avons pu tester l’ensemble.
Un plaisir de réglage…
« Enfin les choses se déroulaient sans accros » (petit clin d’œil au aficionados des série TV des années 80). Le système vidéo était opérationnel. Nous avons pu réalisé un réglage équilibré, prenant en compte la cadence d’enregistrement en 80 images par seconde, la lumière stroboscopique, les formes aléatoires (avec sa nouveauté; le réflecteur) et la Strioscopie. Au bout d’un certain temps, nous eûmes la joie d’apercevoir l’esquisse d’un visage dans les multiples clips vidéos d’essais que nous réalisions. l’image ci-dessous montre cette anomalie avec l’extrait vidéo qui suit (dont elle est tirée).
Un travail qui se poursuit sans relâche
Cette image survenant, nous encourageait à poursuivre en ce sens, sans nous disperser, et en évitant de nous laisser aller au « tout azimute » (qui est très présent dans l’enthousiasme de la recherche). La prochaine expérience TCI se déroulera dans un contexte technique prometteur. Le Larynx, qui lui aussi progresse (grâce à la ténacité de Sébastien R il faut le souligner) commençait à prendre une tournure plus qu’intéressante. Les nouvelles écritures de sa construction, produisait des sons très reconnaissables; des voyelles. Le plus troublant était la stabilité des sons, se déclenchant selon une certaine pression. Dans le silence des interstices, nous pouvions demander, assez amusés, la production d’une certaine voyelle. Le Larynx semblait bien nous répondre…Pourtant pas de conclusion, il faudra encore attendre avant de donner un avis.
Enfin, n’oublions pas le travail rigoureux de notre administration, qui met sur le papier tous les mouvements de notre association. Sans les personnes qui s’y attardent consciencieusement nous ne pourrions pas nous projeter dans l’avenir. Car si la recherche est la corde sensible de notre association, l’administration reste le portant de tous nos efforts.