On le sait, aujourd’hui la répétition des images est établie, mais nous cherchons maintenant l’interaction intelligente
Après un exercice médiumnique le matin, où chacun s’essayait à ressentir la présence des esprits, nous nous lancions dans une nouvelle expérience TCI, heureux d’inaugurer la nouvelle version du Larynx virtuel. Ce fut une journée bien agréable quoi qu’assez intense. Le matin, c’était le moment de recevoir un message écrit, des passes magnétiques et des peintures médiumniques. Trois quarts d’heures de concentration, d’élévation de la pensée et de ressenti. L’après-midi nous mettions en ordre de marche la Cellule et son Larynx. Nous restions entre nous pour cette reprise des expériences, concentrer sur les aspects techniques. Cinq d’entre nous rentraient tour à tour dans la Cellule. La vidéo montrait comme à l’habitude une récurrence flagrante. Des anomalies évidentes mais qui n’ont pas d’explication sur le pourquoi du comment. On le sait, aujourd’hui la répétition des images est établie, mais nous cherchons maintenant l’interaction intelligente. Pas d’explication sur le pourquoi cette image montrant un A2 et un 23. Pas d’identification non plus sur les visages qui apparaissent. La seule chose évidente, c’est que plus l’expérience avance et plus les images s’affinent, nous poussant à penser qu’un certain temps est nécessaire pour atteindre le meilleur du dispositif.
Les extraits vidéo d’où sont issues les images ci-dessus
Doucement nous prenions nos marques en nous habituant au maniement des deux ordinateurs, l’un servant au programme, l’autre à l’enregistrement
Le larynx s’illuminait pour l’expérience. Les cinquante capteurs sous tension quadrillaient le haut de la Cellule. Tout le programme n’était cependant pas installé, il manquait la partie qui permettra au LED de d’allumer aussitôt que la variation de la pression atmosphérique sera effective et plusieurs phonèmes. Mais déjà nous pouvions entendre une voix synthétique prononcer les phonèmes et quelque fois des mots (ensemble de phonème actionnés à la suite). Rien cependant, pour cette première, qui ne puisse être dû au hasard. Là aussi nous recherchons l’interaction positive, celle qui ne laissera pas la place au doute. Doucement nous prenions nos marques en nous habituant au maniement des deux ordinateurs, l’un servant au programme, l’autre à l’enregistrement. C’était un bon début, une mise en route captivante, prévoyant une longue série expériences et d’affinements. Car nous devrons encore revoir certains aspects pour parfaire l’installation.