Vous le savez, aujourd’hui la récurrence des images n’est plus à démontrer, mais elle ne peut à elle seule attester de l’intelligence d’un éventuel contact
Nous vous présentons ici les résultats de deux expériences TCI. Mais c’est surtout celle du dimanche 6 mars qui est à remarquer. Dans l’habitude que nous avons des récurrences vidéos, certaines anomalies sont à souligner mais surtout, et il faut le souligner, les premiers résultats positifs de la nouvelle bouture du Larynx.
Vous le savez, aujourd’hui la récurrence des images n’est plus à démontrer, mais elle ne peut à elle seule attester de l’intelligence d’un éventuel contact. Nous sommes ici dans la même observation que l’on peut faire face à un Poltergeist. Ceux-ci sont souvent inintelligibles, se manifestant sans ordre apparent et en dépits des « demandes » qui peuvent êtres faites face à un tel phénomène. Mais il n’en est pas de même lorsque celui-ci « répond » à une demande particulière et intelligible, comme par exemple produire un coup frapper pour dire oui et deux pour dire non.
Lors des expériences TCI que nous réalisons, qu’elles soient de nature visuelle ou auditive, les manifestations peuvent se produire sans ordre apparent et ainsi se perdre dans l’inconséquent et la multiplicité. Mais lorsque ces mêmes manifestations se produisent avec un sens intelligent, répondant par exemple aux sollicitations, nous pouvons en déduire que quelqu’un ou quelque chose nous répond.
L’esprit écrivait alors les deux lettres, confirmant ainsi que la demande était bien entendue
Prenons un exemple très parlant. Le matin qui précédait l’expérience de TCI du dimanche 6 mars 2022 nous nous lancions dans une expérience médiumnique. La séance commençait par la dictée d’une nouvelle histoire courte que l’esprit Henri écrivait. Nous rappelons ici que c’est dans ce contexte expérimental que nous avons déjà reçu l’histoire de Daniel, de Louis et de Stéphanie, ouvrages médiumniques que vous pouvez trouver sur notre site. Les petites histoires, que cet esprit nous donne à chacune de ces manifestations, seront proposées à la lecture dans un prochain livre.
Une fois le message terminée, nous profitions du canal pour poser des questions personnelles. Cathy (Catherine Kosmola) en relation médiumnique avec l’esprit de son fils (et qui donna lieu à un ouvrage relatant ces échanges spirituels) demandait à Julien (son fils décédé) de bien vouloir former, dans la Cellule de contact, les lettres J et K. L’esprit écrivait alors sur la feuille de papier les deux lettres, confirmant ainsi que la demande était bien entendue. Lorsque que Cathy entrait dans la Cellule, elle demandait comme convenu à Julien de se manifester en « écrivant » dans la brume les deux lettres en question. Nous obtenions une fois de plus une interaction intelligente et ce malgré que les lettres n’étaient pas aussi bien formées que pendant l’écriture du matin.
Les extraits vidéos d’où sont issus les anomalies. Elles représentent le point culminant de la manifestation
Le principe est de demander aux esprits d’agir sur ces cinquante capteurs pour produire des mots et nous l’espérons des phrases
Après l’effort, la satisfaction des résultats. La nouvelle configuration du larynx virtuel commence à donner des résultats très significatifs. Il faudra encore travailler sur son amélioration soit, mais déjà en l’état il permet d’observer des interactions intelligentes qui ne doivent rien au hasard. Les extraits qui vous sont présentés dans l’article sont issus d’un seul et même enregistrement audio, s’étalant sur toute la durée de l’expérience. Les participants se succédaient et certaines interactions ont retenues notre intention.
Il faut bien comprendre comment cela fonctionne. Dans la Cellule, en haut face à l’expérimentateur est installée une planche de bois sur laquelle sont fixés cinquante capteurs de pression atmosphérique, chacun relié à un ensemble d’Arduino qui forme l’interface informatique du programme. A chaque changement de pression sur les capteurs un phonème, une syllabe, puis, avec une certaine combinaison, un mot. Le principe est de demander aux esprits d’agir sur ces cinquante capteurs pour produire des mots et nous l’espérons des phrases. Aujourd’hui nous n’en sommes qu’au stade de l’apprentissage, mais déjà des mots sont donnés.
Ce dimanche Sylviane, une nouvelle personne s’essayant à la TCI à distance, expérimentait avec nous
En ce moment nous vivons dans notre associations des changements importants. L’un d’eux concerne notre Satellite. Dans l’avenir nous allons l’utiliser autrement. Il quitte la région de Dijon et va être rapatrié dans notre local de Sartrouville. Nous ne pouvons donc pas pour le moment expérimenter les communications croisées, qui restent une des cordes sensibles de notre protocole.
Mais les duplexes avec les internautes continuent de plus belle. Ce dimanche Sylviane, une nouvelle personne s’essayant à la TCI à distance, expérimentait avec nous. Une image (parmi d’autres qu’elle obtenait en enregistrant elle même le flux vidéo de la Cellule depuis notre session ZOOM) a retenu notre attention. En y accentuant le contraste par zonage, nous observons se dessiner une sorte de bateau à voile (sur le coté). Une anomalie forte intéressante en apprenant ce que cela signifie pour Sylviane. (A la suite le texte qu’elle nous faisait parvenir accompagné des deux images).
« Je vous fais parvenir toutes mes captures d’écran… Énormément de visages, ma famille sera contente que j’ai pu au moins identifier un petit signe pour moi dans cette meule de foin. 😉
Le « bateau » est un nom de code entre moi et ma mère défunte, et que j’ai instauré il y a quelques semaines avec mes guides : j’ai accroché un aimant représentant un bateau en papier sur mon Ipad, signifiant que je souhaite être inspirée quand j’écris. Et voici ma capture d’écran (le visage à gauche n’est pas assez net pour être identifiable) !«