C’est une apparition qui se forme sur plusieurs images d’un enregistrement vidéo
Encore une expérience positive que ce soit en vidéo ou avec le Larynx. Beaucoup pensent encore que toutes ces images ne sont que des interprétations cognitives, sorte de paréidolie et qu’il serait facile d’obtenir la même chose en filmant l’eau, les nuages ou les feuillages. Peut-être… nous ne nions pas que certaines images, encore trop floues, peuvent nous inciter à l’interprétation. Mais d’autres ne peuvent vraiment pas être attribuées au simple hasard, d’autant plus qu’il ne s’agit pas que d’images fixes, prises à un moment particulier et qui n’existe pas avant ou après l’instant précis. C’est une apparition qui se forme sur plusieurs images d’un enregistrement vidéo, dans une progression constante, dans laquelle on voit l’image se former. Rien qui s’apparente de près ou de loin à une image fortuite qui ressemble à quelque chose à un certain moment donné.
Il y a donc interaction entre ce que nous nommons l’esprit et la matière
Il y a aussi l’aspect interaction qui est à retenir. On ne demande pas à une paréidolie de se former et en plus en suivant notre orientation, nous sommes là dans autre chose que du hasard. Ce jour-là Cathy demandait à l’esprit de son fils de créer une forme géométrique, un carré en l’occurrence. La première image qui suit montre très bien une forme carrée. Les angles droits sont appuyés, ce qui est tout juste improbable dans de la brume. Il y a donc interaction entre ce que nous nommons l’esprit et la matière, ici la brume et la lumière produite dans la cellule.
C’est ce genre de détail qui coup sur coup nous fait considérer la séance autrement que comme une simple supposition
Lorsque nous participons à ce genre d’expérience, en plus des résultats mesurables, il y a cette impression indéfinissable de vivre une vraie relation intelligente, avec des êtres invisibles, tous proches. Quand Cathy était dans la cellule et qu’elle vivait l’expérience, elle ne pouvait savoir où en était la visualisation du clip vidéo. Mais l’esprit semblait, quant à lui, au fait et avant même que nous annoncions la fin de l’essai actionnait le larynx pour produire le mot « fin ». Surprise, Cathy expliquait que ce n’était pourtant pas la fin, du moins pour elle, car effectivement nous allions la terminer. C’est ce genre de détail qui coup sur coup nous fait considérer la séance autrement que comme une simple supposition.
Extrait vidéo issus des enregistrements originaux
Du côté du Larynx les choses avancent bon train. Encore une fois nous mettons dans cet article les passages démontrant une interaction positive. Ce qui est appréciable est d’une part la confirmation de la forme géométrique demandée oralement par Cathy et de l’autre l’annonce de la fin de l’essai par l’esprit lui-même.