Les résultats sont à la hauteur de nos attentes
Cette journée était bien agréable, les deux expériences de la journée étaient complètes. Beaucoup de monde dans l’atelier, des échanges positifs, une chaleur humaine dans un local glacial que nous avions du mal à réchauffer. En fin de matinée, nous recevions des messages personnels, par voie médiumnique, pour les personnes présentes et l’après-midi était consacrée à la Transcommunication Instrumentale.
Les résultats sont à la hauteur de nos attentes, tant avec la vidéo que l’audio. Malheureusement, nous vivions quelques soucis de larsen qui venaient polluer la retransmission de l’expérience aux internautes qui la vivaient depuis chez eux.
Pour ce qui est de la vidéo, nous avons eux une interaction très émouvante, deux lettres, un G et un A correspondant très bien à la personne qui était dans la Cellule. Là aussi et à force de recevoir ce genre de chose, impossible d’attribuer cela au hasard. En plus des visages, des lettres difficilement identifiables étaient données. Certains visages ont été identifiés par les personnes réalisant l’expérience. Les détails sur les identifications ne sont pas révélés ici dans cet article pour des raisons d’intimité.
Images extraites des enregistrements vidéos
Extraits vidéos où l’on voit les anomalies
L’adaptation continuelle que font les esprits avec cet appareil
Le Larynx virtuel nous réserve à chaque fois des moments pertinents. En étant attentifs, nous entendons même des mots en entier dans l’enregistrement et qui plus est en rapport direct avec les circonstances de l’expérience. Durant tout le long de celle-ci, nous obtenions à chaque passage des expérimentateurs, le mot « NON », quelques fois même plusieurs fois de suite, ce qui est inhabituel. À un moment dans l’enregistrement, on entend les syllabes « NOU RA LON » entendez : « nous râlons ». Ce qui peut expliquer cette série de réponses négatives et qui peut évoquer un problème de communication de leur côté.
Le passage de Maryline est le plus remarquable. Dans son expérience elle insistait pour entendre la prononciation de son nom de famille PINS. Alors que manifestement les esprits essayaient d’agir sur les bons capteurs pour le prononcer, on entendait la phrase « J’AI MIS IN », une sorte de précision dans un imbroglio confus. Le plus troublant est le mot « TOI » qui suit, semblant préciser que les esprits savaient très bien qu’il s’agissait du nom de famille de Maryline. Puis dans le deuxième extrait on entend le mot « PIN », le résultat, non seulement, d’une insistance de notre part à obtenir quelque chose de précis, mais aussi de l’adaptation continuelle que font les esprits avec cet appareil. Dans le troisième exemple, on comprend toute la difficulté de produire d’infimes variations de pression au millimètre carré, et ce dans un espace qui semble difficilement considérable par les esprits, d’où l’importance de bien regarder le tableau du larynx pour le situer dans l’espace. Maryline demandait le mot « VU », elle obtenait les phonèmes correspondants.
Nous n’en sommes encore qu’au début, mais déjà nous nous éloignons de la probabilité
Un autre passage intéressant se produisait alors que Fabien était dans la Cellule. Celui-ci demandait d’entendre la lettre « A ». Hors, pour qu’une lettre se prononce seule, il faut tout de suit après agir sur un capteur qui produit un espace, une sorte de temps mort. Ainsi pour qu’un son correspondant à une lettre soit prononcé, il faut agir sur deux capteurs, celui du son en question et de l’espace. Dans l’extrait on entend l’intervention de Laurie qui explique à Fabien cette subtilité. Les esprits, tout en prononçant la lettre demandée, rajoutent le mot « TEMPS » comme pour démontrer qu’ils ont bien compris la manœuvre. Et d’ailleurs, si la lettre est entendue, c’est que l’espace nécessaire a été activé.
L’extrait de l’expérimentation de Cerise montre une fois de plus l’interaction positive qui se produit lors de ces séances. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais déjà nous nous éloignons de la probabilité qu’une telle chose se produise. Un jour, cela deviendra indéniable, mais il faut encore étudier et parfaire le procédé.