Pour cette nouvelle expérience de l’année 2024, nous recevions trois nouvelles personnes. Il est toujours heureux de partager ces moments de recherche et de sentir une certaine émulsion spirituelle, ainsi qu’une grande bienveillance de la part de ces participants, un sentiment même d’appartenance, comme les membres d’une famille réunie. À l’heure où notre humanité traverse des périodes de troubles importants, il est agréable de fraterniser avec tous ces gens et nous les en remercions. La réunion s’étendait aussi via internet, avec trois autres personnes connectées via notre session Zoom. L’une d’entre elles a même obtenu à la volée une image très intéressante où, malgré la faible résolution et grâce au renforcement du contraste dans les zones claires et sombres de l’image, nous pouvons y voir l’ébauche d’un visage.
Nous mettons en place un protocole qui devrait nous permettre de démontrer l’improbabilité du phénomène
Le larynx donnait aussi du son, mais les interactions étaient moins claires que d’habitude. Il faut comprendre que nous mettons en place un protocole qui devrait nous permettre de démontrer l’improbabilité du phénomène qui se produit. Le sens donné à l’expérience, diminue l’amplitude de la spontanéité et donc de l’émoi qu’elle peut engendre. Mais il semble important d’essayer de s’y conformer pour les besoins de l’étude. Quoi qu’il en soit nous avons eu quelques moments intéressants.
Il serait souhaitable pour la facilité des réglages de mettre en place des voies de contrôle
Les anomalies vidéo restent dans la mesure habituelle, avec la formation de lettres encore bien mystérieuses et des visages facilement identifiables comme tels. D’ailleurs l’un des expérimentateurs (Alec) reconnut le visage de sa mère. Nous commençons sérieusement à mesurer les limites de notre dispositif, notamment dans le réglage qui nécessite une manipulation contraignante et impossible pendant l’expérience. Il serait souhaitable, pour la facilité des réglages, de mettre en place des voies de contrôle (sorte de télécommande) qui permettaient de changer la valeur du diaphragme, de la focale et du cadrage depuis le pupitre d’enregistrement et sans devoir toucher le matériel, ce qui engendre des vibrations et naturellement un « temps mort » dans l’expérience. Dans la prochaine bouture de notre cellule de contact (voir les messages en écriture automatique), nous devrons penser à tout cela. Nous devrons également penser à faire évoluer le générateur de formes aléatoires et permettre aux esprits, via des capteurs, d’en changer les variations et l’amplitude. Un gros travail en perspective et nous n’en sommes qu’aux premiers plans.
Images capturées à partir des enregistrements originaux
Vidéo extraites de l’enregistrement original
Du coté du larynx
Bien que nous ayons eu des interactions positives avec le larynx, nous ne partageons ici que les deux plus probantes. C’était Alec qui identifiait l’image de sa mère et obtenait des sons en rapport direct avec sa demande et ceux dans le temps de 10 secondes utile à notre protocole d’expérience.