Nous poursuivons notre recherche en multipliant les expériences, accompagnés par de nouvelles personnes. Puisque nous ne savons pas encore comment se produit le phénomène, nous tentons d’observer sa réaction en présence de nouveaux expérimentateurs et bientôt nous l’espérons, avec une nouvelle installation (La Sphère). Pour le moment, nous ne pouvons que constater l’improbabilité qu’une telle chose se produise, et de surcroit avec un ensemble d’appareils qui ne peut expliquer à lui seul les anomalies que nous observons. D’un point de vue uniquement technique, difficile de considérer la logique de cette installation et la plupart des empressés serait tentés d’éliminer quelques détails jugés inutiles. Mais du point de vue empirique, fort est de constater que « le tout » fonctionne, et ce dans une mesure inconnue, dépassant et de loin tous les paradigmes scientifiques actuels. Dans ces conditions, il est peu probable d’expliquer avec nos connaissances comment de telles anomalies peuvent apparaitre dans un rideau de brume.
Nous mettons en œuvre des directives techniques obtenues par voie médiumnique
L’évolution de notre installation (la Sphère de Contact) suivra cette logique improbable et peut, dans l’optique, faire frémir les douteux ou les pragmatiques, puisque l’invraisemblance conceptuelle sera davantage accentuée. Rien ne pourra une fois de plus expliquer les images reçues. Depuis le début de notre aventure, nous mettons en œuvre des directives techniques obtenues par voie médiumnique, bravant la plus élémentaire des logiques techniques. Pourquoi installer un système optique de strioscopie ? Pourquoi créer des franches d’interférences avec un laser ? Pourquoi projeter des formes aléatoires sur la brume ? Pourquoi l’éclairer avec une lumière stroboscopique et lui induire une fréquence de 10 HZ ?
Et dans le futur, pourquoi transformer la forme de la Cellule en un gigantesque Globe de métal, qui, toujours selon les messages reçut, améliorera le contact ? Il est heureux finalement que nous ne soyons pas de purs scientifiques, ou techniciens, car alors il aurait été difficile d’oublier tout ce que nous avons appris, pour nous lancer dans une quête effrénée de l’impossible, de l’improbable, de l’irrationnel. Et d’ailleurs, où en est notre humanité aujourd’hui avec toute cette discipline scientifique ? Il n’est pas seulement question d’améliorer la vie de l’homme, d’inventer des machines, mais aussi de comprendre ce qu’est la conscience. Et en ce domaine, nous constatons que cette réalité se fiche de tous nos préceptes et se manifeste là où nous ne l’attendons pas.
Les images qui suivent ont été obtenues alors que de nouvelles personnes tentaient l’expérience. Outre les visages somme toute habituels, le mot « VIE » est remarquable ainsi que l’image d’une silhouette avec le début des épaules et, il semblerait, avec de la fumée qui sort de la bouche.
Nous devons trouver le moyens de constater le phénomène, le codifié, sans en altérant sa substance
Le Larynx obtenait, pour cette expérience, une évolution de dernière minute. Pour répondre à un protocole, pour le coup d’avantage tourné sur la donnée scientifique, nous installions un décompte de 10 secondes sous la forme d’une ligne de LED, et ce afin de pouvoir attester l’improbabilité du phénomène. À chaque fois que l’expérimentateur demandait un mot, les LED s’éteignaient au fur et à mesure des 10 secondes utiles à l’approbation de l’interaction.
Nous n’avons pas eu beaucoup de résultats, ce procédé accaparant manifestement l’attention de l’expérimentateur et annihilant du coup sa spontanéité. Or, nous avons depuis longtemps constaté que ce phénomène est accentué par une sorte d’émois indéfinissable. Manifestement, le contact avec les esprits est étranger à la rigueur scientifique pour des raisons encore obscures. On ne mesure pas les esprits comment on peut le faire avec la température, le poids et l’on peut aussi avancé que le phénomène enregistré n’est pas l’explication de ce qu’il est. On pense même que la forme des images ou les interactions produites peuvent montrer tout autre chose que ce qu’il est en vérité. Voilà pourquoi nous devons trouver le moyen de constater le phénomène, le codifié, sans en altérer sa substance. C’est à nous de nous adapter à ce que suggère ce contact avec les esprits et non d’imposer un sens qui est à cent lieues de la réalité. N’oublions pas que nous cherchons à entrer en contact avec quelque chose qui était là bien avant le bigbang et de ce fait est étranger à notre façon d’appréhender l’existence.