TransTechnique« , un nouveau mot employé par les esprits eux-mêmes
Une nouvelle expérience de « TransTechnique », un nouveau mot employé par les esprits eux-mêmes lors d’expérience médiumnique en écriture automatique. À travers ce mot, ils essaient de nous faire comprendre que la technique peut avoir un aspect transcendant, une symbiose entre ce que propose notre technologie et l’induction de ce qui fait l’esprit. Il semblerait que ces derniers veulent préciser leur façon de penser qui détermine un sens bien spécifique. Il est évident que l’évolution technologique de l’humanité, en évoquant par exemple l’intelligence artificielle et la robotique, diminueront les différences conceptuelles entre la machine et l’homme.
Nous recevions pour cette expérience trois nouvelles personnes. Quelques détails sont à donner. La première image ci-dessous montre le mot « ROS ». Déjà, passons le fait que de recevoir des lettres qui font sens dans de la brume est exceptionnel, mais le contexte dans lequel a été obtenue cette anomalie vidéo l’est tout autant. Alexandra, qui tentait l’expérience pour la première fois, entrait dans la cellule avec l’intention de recevoir l’image d’une rose… À une lettre près, le mot « ROSE » était écrit ! Voici le genre d’interaction que nous recherchons ce qui écarte la simple explication du hasard.
Sur la dernière, on peut lire le mot « SIR ». Là aussi, il y a une concordance non négligeable entre ce que désirait la personne dans la cellule et l’anomalie obtenue. Sylviane pensait à une étoile. Le mot inscrit sont les 3 premières lettres de « Sirius ». Une question nous vient à l’esprit, est ce que dans certains cas la forme serait plus difficile à « dessiner » que des lettres ? Ou, est-ce que, comme on le pense déjà, ces images ne sont pas des « photographies » à proprement parler, mais la trace d’une information qui oscille entre la source et son observation ? Autrement dit, est-ce que nous déterminons la forme représentative d’une source qui n’en a pas vraiment ?
Les autres images montrent encore des visages et d’autres écritures qui n’ont pas pu être identifiés ou acceptés comme la réponse intelligible à une demande précise.
Les extraits vidéo tirés des clips enregistrés pour chaque expérimentateurs.
Le larynx poursuit son évolution et les consciences incorporelles, son étude. Nous choisissons pour cet article deux exemples assez parlant, relatant bien ce qui se produit lors de ces expériences. Pour le premier, c’est Jessica, une nouvelle participante, qui tentait l’expérience. Elle essayait de faire prononcer le mot « JANI » très certainement un de ses proches. En écoutant l’enregistrement, nous comprenons toute la difficulté du maniement du larynx, sachant que ceux qui nous répondent n’ont ni des yeux, ni des doigts, ou des oreilles. Il semblerait que ces êtres « piratent » en quelque sorte nos propres sens pour se situer dans un espace qui n’existe plus en tant que tels pour eux. À travers l’enregistrement, on comprend les « erreurs de frappe », mais aussi ce qui semblerait être un manque de précision. Après avoir réussi à faire le « JA », les esprits tentaient plusieurs fois de réaliser le « NI » en déclenchant des phonèmes avec le son « I », très proche de celui escompté, et ce jusqu’à la réussite.
Pour le deuxième exemple, nous obtenons la phrase « Vu maman, joie » ce que nous pouvons aisément traduire comme « J’ai vu maman je suis heureux ». Le plus troublant, c’est que la personne qui était dans la cellule, Alexandra, n’a pas perdu sa maman et n’a pas d’enfant. Le message ne lui était manifestement pas adressé. Et c’est un détail crucial, qui doit orienter notre façon de manipuler ce dispositif. Nous avons tendance à attribuer les anomalies vidéos et les interactions du larynx à la personne qui se trouve dans la cellule au moment des enregistrements. Si effectivement c’est souvent le cas, il ne faut pas omettre le fait que les esprits peuvent tout aussi bien s’adresser à une personne présente dans l’atelier, ou répondre à une question qui était formulée avant par une autre personne. Nous pensons vraiment que ce message provient de l’esprit de Julien, s’adressant à sa mère Catherine, qui auparavant tentait d’obtenir une interaction de sa part.
Ces expériences sont précieuses et s’effectuent dans une bienveillance remarquable. Nous touchons là à quelque chose encore très mal définis, mais qui ouvre des possibilités extraordinaires. Ce ne sont que des soubresauts, de petits traits de lumière qui tôt ou tard donneront lieu à la démonstration patente que la conscience n’est pas circonscrite à l’enveloppe charnelle, mais qu’elle demeure libre et éternelle.