Nous fûmes surpris par la ressemblance
Cette expérience de T-Tech (trans-technique) avait quelque chose de différent des autres. Non pas dans la prolifération des anomalies, que ce soit avec la vidéo ou le Larynx, mais dans l’intelligibilité de deux des interactions que nous obtenions. Pour cette séance nous recevions physiquement deux nouvelles personnes et quatre en duplex via Zoom..
L’image la plus saisissante était obtenue alors que Delphine, une nouvelle participante aux expériences, entrait dans la cellule. L’image est très précise, bien qu’un peu sur-exposée. On y voit très bien une jeune femme, la coupe au carré, comme dans les années 30. Delphine, à la vue de cette anomalie, nous expliquait, qu’en tant que danseuse professionnelle, elle avait eu l’occasion de danser dans des cabarets, souvent avec comme thème les années 30. Nous trouvions là, une certaine logique quant au genre de l’image captée.
Cependant, lors du briefing de fin de séance, une internaute, Ombeline nous relatait une information très importante, donnant une certaine densité aux tenants de cette manifestation. Ombeline nous montrait alors une photographie de Daphné Du Maurier (écrivaine), nous fûmes surpris par la ressemblance (voir les photos dans l’article). Mais il ne s’agissait pas que de cela, il y avait aussi tout un contexte qui, très important dans la vie de Ombeline, témoignait de la relation particulière qu’elle avait eue avec la mémoire de cette écrivaine en réalisant un Master sur sa vie. Ombeline nous écrit :
« Pour l’écriture de cette recherche et il est vrai que je ressentais un lien très fort avec l’écrivaine lors de cette année d’étude. J’ai été amenée à rentrer chez elle, m’asseoir à sa table d’écriture, rencontrer ses descendants, et à vivre de nombreuses situations chargées d’émotions ce qui, je le crois aujourd’hui, n’est pas tout à fait sans lien avec des manifestations… »
Face à l’image reçue dans la cellule et alors que Ombeline suivait l’expérience depuis chez elle en duplex, elle rajoute :
« Nous ne pourrons peut être jamais vérifier cela, peut être que ça n’a aucun rapport… mais je ne pouvais pas taire le sentiment ressenti lors de cette expérience avec vous, à la découverte de l’anomalie sur mon écran. Cela m’a paru très saisissant. »
L’interactivité se faisant spontanément en deux endroits séparés géographiquement
Ce témoignage est effectivement saisissant, tout comme la ressemblance entre l’anomalie et le visage de cette femme. C’est le contexte qui est important, la charge émotionnelle qui existe entre Ombeline et le sujet de son Master, cette Daphné Du Maurier. Ce rapprochement intellectuel pourrait expliquer la manifestation et tend à montrer que les distances ne sont pas importantes dans ce genre de phénomène, l’interactivité se faisant spontanément en deux endroits séparés géographiquement.
Ce mot avait été bien choisi
La deuxième interaction intelligible sur laquelle nous aimerions revenir est celle obtenue avec Cathy. Tout commençait le matin de ce dimanche lors de l’expérience médiumnique que nous organisions. L’esprit de Thierry, le frère de Cathy décédé il y a peu de temps, réussit à se faire entendre. Dans son échange avec sa sœur, il écrivait les lettres TK (ses initiales) promettant qu’il essaierait de les « imprimer » dans la brume.
Sur l’image ci-contre, nous pouvons effectivement lire les lettres T et K (reçues en écriture automatique). Lors du passage de Cathy dans la cellule, nous obtenions les mêmes lettres, ce qui est tout à fait improbable et démontre très bien une interaction intelligible. Mais un autre détail nous étonne. Sur l’image de la vidéo, on voit trois lettres, un K, un T et un F, une lettre qui n’était pas convenue entre Cathy et Thierry. L’explication de ce rajout était obtenue directement par le Larynx. En effet, le F était la première lettre du mot « feu ».
Face à son interrogation, Cathy obtenait l’interaction intelligible, confirmant que Thierry avait bien voulu écrire dans la brume TKF (feu Thierry Kosmala). Le plus troublant est qu’à un aucun autre moment de l’enregistrement du Larynx on entend le mot « feu », ce qui tend à démontrer, là encore, que ce mot avait été bien choisi et n’était pas la manifestation d’une espèce de parasite de pression comme nous pouvons l’observer assez fréquemment.
La conclusion en audio de Thierry faisant retentir les mots « c’est fou » est admirable, l’esprit semblant vouloir partager son propre étonnement devant les possibilités que procure ce pont technique que nous élaborons peu à peu.
Les images obtenues ce jour là
Les extraits des clips enregitrés
Une internaute capte une image depuis chez elle
Cette image a été enregistrée par Françoise, une femme qui participait à notre expérience via internet. Nous avons équilibré les zones sombres et claires sans augmenter le contraste général. C’est alors que l’image apparait clairement. Encore un indice pour nous permettre de constater que le phénomène qui se produit ici à Sartrouville peut tout autant se produire chez les personnes qui, de leur côté, effectuent une T-Tech en parallèle de la nôtre. Remarquable et merci à Françoise pour son apport.