Nous tentions de poser aux esprits, des questions personnelles
Il y a des expériences qui prennent une importance considérable au moment même où nous les vivons. Elles se suivent, mais ne se ressemblent pas, déterminant les jalons de notre travail et de sa considération. Notre journée d’expérience commençait par une séance médiumnique en écriture automatique. Nous recevions pour celle-ci quatre nouvelles personnes. Nous tentions de poser aux esprits, des questions personnelles, la plupart en relation avec un être disparu. Bien qu’il est toujours délicat de se prêter à de telles expériences avec le cœur brisé par la séparation d’un être qui nous est cher, nous comprenons la motivation qui pousse à braver le risque de l’échec en voulant observer le phénomène que l’on cherche à provoquer.
Parmi les personnes présentes, un couple était venu pour essayer d’obtenir un contact avec l’esprit de leur petite fille Marie, partie de l’autre côté prématurément. La pudeur, le respect, et face à la douleur de la séparation, nous serons donc discrets, en ne relatant que les faits qui se sont déroulés et que nous jugeons très importants. C’est par un contact médiumnique que commençaient les prémices de ce qui allait suivre. Déjà, lors de l’expérience en écriture automatique, une certaine identification avait été obtenue, les écrits corroborant bien, selon les parents, le caractère de la petite Marie.
Nous sommes très très émus, le hasard ne peut pas produire cela
Puis venait l’expérience de T-Tech (Trans-Technique). Les parents de Marie y participaient, accompagnés par deux autres nouvelles personnes venues nous rejoindre. Bien que chacune des personnes qui entraient dans la Cellule obtenait des interactions avec le dispositif technique, nous nous pencherons pour cet article sur les tenants de ceux obtenus par Virginie et Raphaël, les parents. Quatre anomalies vidéo vont être obtenues et une avec le Larynx. Toutes correspondent à des faits patents de la vie de Marie. Voici ce que nous écrit justement Virginie la maman, suite à l’expérience :
« Comme nous le pensions lors de l’expérience, nous reconnaissons Marie, notre fille, sur le 1er visage (exp Virginie), dans la cellule j’ai même pensé à une photo d’elle où elle a cette expression qui la caractérisait bien (yeux attentifs, sourcils froncés, moue). Et le chiffre 7, jour de son départ… »
Puis l’oiseau tant demandé par Raphaël, de son histoire du soir préférée. Nous venons de vérifier dans le livre de contes où est mentionné ce moineau : il est dessiné avec la tête en bas, tourné dans le même sens.
« Et l’apothéose avec le MARIE écrit comme son frère l’écrivait devant elle… (le R toujours à l’envers, car il apprenait à écrire). Nous sommes très très émus, le hasard ne peut pas produire cela. »
Le témoignage des parents est bouleversant, mais montre une fois de plus l’improbabilité de ces anomalies. Comme l’écrit Virginie, le hasard ne peut expliquer toutes ces concordances.
Les interactions avec le Larynx ont été plus difficiles qu’à l’accoutumée. Nous mettons ici un seul des nombreux exemples d’interactions que nous entendions. Celle que nous avons choisi de partager ici fait suite à une question que Virginie adressait à sa fille dans la Cellule de contact. L’esprit de Marie confirmait qu’elle avait bien dessiné quelque chose dans la brume :
L’ensemble fonctionne dans un équilibre inconnu
Il faut bien comprendre que l’esprit n’a pas « dessiné » sur la brume comme nous pourrions l’imaginer. Il s’agit d’une projection psychique. Nous ne savons toujours pas comment elles se produisent ni le pourcentage utile dans l’utilisation qui est fait de chacun des appareils. L’ensemble fonctionne dans un équilibre inconnu et nous sommes toujours dans la recherche du moyen d’améliorer ce dispositif. Il semble donc que l’esprit de Marie est « pensé » à sa vie, en interaction avec ses parents, ce qui créa ces anomalies, que ce soit dans les enregistrements vidéo ou avec le Larynx virtuel.