Notre journée d’expérience commençait en fin de matinée par une séance d’écriture automatique. Nous recevions pour l’occasion Nicole et Jean-François de l’association « NotreEspérance ». Le travail de diffusion que réalise cette association est remarquable. Avec beaucoup de dévotion, elle partage l’idée de la survivance en organisant des conférences conséquentes. C’est avec plaisir que nous avons pu partager cette expérience avec eux et les remercions aussi pour l’aide financière qu’ils apportent à l’IFRES. N’oublions pas Marceline et sa mère Joëlle qui avaient fait le chemin depuis la Belgique pour participer à l’expérience.
Ce genre d’interaction intelligible est assez exceptionnelle
Durant l’expérience médiumnique, nous avons pu être en contact avec deux entités identifiées, Julien le fils de Cathy et Thierry son frère. Deux faits sont à retenir. Le premier est assez probant, il s’agit d’un accord que passa Catherine avec l’esprit de son fils. À la question qui lui était posée ; « quel signe feras-tu pendant l’expérience de TTech ? Celui-ci écrivait la lettre « X ». Lors de ladite expérience, nous recevions précisément cette lettre lors d’un enregistrement vidéo.
Ce genre d’interaction intelligible est assez exceptionnelle. Elle montre une cohérence entre ce que pense l’esprit et ce qui se forme dans la brume. Beaucoup de théories montrent l’univers qui nous entoure, comme le résultat de l’observation que l’on en fait. Ce qui tendrait à expliquer que ce que nous percevons ne serait que le fruit de notre propre conscience. Un fait qui, s’il s’avérait réel, démontrerait que la matière est un effet et non une cause.
Quand on observe le phénomène de TTech, on se rend effectivement compte que l’esprit, notre conscience, peut agir sur la matière, finissant par former matériellement ce qui n’existe, avant tout autre chose, que sous la forme d’une information. Le « X », qui se formait dans la brume ce jour-là, avait été « pensé » par un esprit et induit dans la matière.
Le deuxième fait référence à une autre demande de Catherine. Elle demandait à son frère de faire apparaitre, lui aussi, une anomalie dans la brume. Elle lui suggérait de faire apparaitre un œil, lui qui, auparavant, aimait beaucoup les yeux bleus. Nous n’avons pas vu ce genre d’image dans les enregistrements, mais via le Larynx, nous avons pu entendre les mots « Yeux bleus ».
Il y a là tout de même de quoi être agréablement surpris. Nous ne cherchons pas, absolument, des corrélations, mais il serait tout aussi absurde de ne pas se rendre à une certaine évidence.
La nuance n’enlevait rien à la surprise qu’engendrait à elle seule l’anomalie.
Pour ce qui est des autres anomalies vidéo. Jean-François pense reconnaitre la maman de Nicole sur la première image, mais avec beaucoup de prudence. Nicole, semble quant à elle reconnaitre un proche dans l’une des images enregistrées durant son passage.
Autre questionnement et pas des moindres, celui de Marceline, qui obtenait l’interaction « 51 » ou « JL » en vidéo. Cette imprécision doit nous rendre prudents. L’interprétation des images est légitime, mais ne doit être que des pistes d’études et non des vérités acquises. Cependant et pour ce cas précisément, la nuance n’enlevait rien à la surprise qu’engendrait à elle seule l’anomalie. En effet, un « JL » correspondrait au prénom Jean-Luc, le père décédé de Marceline. Mais un « 51 » serait également parlant pour sa mère, Joëlle, qui nous expliquait que l’arbre, au pied duquel avaient été dispersées les cendres de son mari Jean-Luc, portait le numéro 66 51…
On voit bien là que l’interprétation de l’anomalie est importante. Cela aurait été différent effectivement si nous avions pu lire « 6651 », soit. Mais déjà, le seul fait de recevoir un « 51 » dans de la brume en mouvement est improbable. De plus, ce n’est pas un chiffre au hasard, il correspond bien à une information partielle, mais véridique.
Puis vient le Larynx et ses interactions audibles. On peut entendre dans l’enregistrement la phrase : « Chaud sous jardin ». Pas besoin d’aller chercher bien loin la concordance avec les circonstances des obsèques de Jean-Luc. Un message troublant néanmoins, qui expliquerait que l’esprit est pu ressentir la chaleur de la combustion.
Nous observons des interactions inexpliquées, improbables
Rappelons que recevoir ce genre de phrase, directement liée aux circonstances de la vie d’une personne que nous ne connaissons pas, est improbable, et ce sans parler de la difficulté technique pour que les phonèmes précis se déclenchent à ce moment-là.
Terminons cet article par une phrase obtenue avec le Larynx qui peut aussi engendrer une certaine interprétation. Nous pouvons y entendre les mots « oui, non Théorème ». Que peut bien vouloir dire cette phrase ? A-t-elle seulement un sens ? Nous pensons que oui, mais nous ne pouvons en l’état le comprendre. C’est ici que réside la difficulté dans ce genre de recherche. Nous observons des interactions inexpliquées, improbables et des résultats tout autant mystérieux. Comme par exemple ce mot écrit dans la brume, totalement incompréhensible (voir la photo ci-contre)