On peut penser raisonnablement qu’il s’agit d’un contact global, pour nous tous
Ce fut une expérience assez riche, et ce avec seulement trois passages dans la cellule de contact. Les trois personnes qui se sont prêtées à l’expérience obtenaient des interactions surprenantes, que ce soit avec la vidéo ou le Larynx virtuel. En premier lieu, il faut bien admettre que les résultats nous emmènent petit à petit dans l’évidence que les anomalies vidéo ne correspondent pas toujours à la personne qui se trouve dans la cellule à ce moment-là. Il arrive de plus en plus souvent que les images ainsi obtenues, puissent être influer par une autre personne, qu’elle soit dans le local où se déroule l’expérience ou bien chez elle, via internet.
Remarquez l’image sur laquelle on voit écrit le prénom Joël. La question qui se pose alors est de savoir si cette anomalie était dédiée à Joël de l’IFRES ou correspondrait à une entité attirée par Barbara et qui aurait le même prénom ?
Autre questionnement : On voit dans les anomalies vidéo de ce jour trois visages avec un chapeau. Les images ont été obtenues respectivement par les trois personnes qui faisaient l’expérience. Manifestement, il s’agit de la même source, c’est-à-dire du même esprit. Mais alors à qui s’adresse-t-il ? Puisqu’il ne peut pas en l’état être identifié, on peut penser raisonnablement qu’il s’agit d’un contact global, pour nous tous. C’est là, toute la difficulté des anomalies qui ne sont pas identifiées.
Images capturées depuis les enregistrements vidéo
Extraits des enregistrements où l’on voit l’anomalie
Nous pouvons ressentir la personnalité de l’entité qui répondait
Les plus édifiantes interactions intelligibles que nous obtenons sont celles du Larynx virtuel. Il nous offre des moments de contacts remarquables. Malgré les parasites dus au déclenchement intempestif de certains capteurs, nous nous rendons compte sans mal de la pertinence des réponses données. Celle qui a retenu notre attention ce jour-là était obtenue par Davy qui, regardant l’anomalie vidéo où l’on voit un visage avec un chapeau, demandait à l’esprit si c’était lui sur la photo. La réponse est tout à fait surprenante : « Laid, non… »
Bien entendu, nous ne pouvons être certains de l’orthographe, puisque nous sommes sur un procédé de contact phonétique. Mais à travers cette réponse, nous pouvons ressentir la personnalité de l’entité qui répondait, jugeant de la beauté de l’image et affirmant que ce n’était pas lui et qu’il trouvait le visage laid…
Les autres interactions ne doivent rien au hasard, puisqu’elles répondent précisément à la demande. Il y a tellement de possibilités de déclenchement, qu’une telle précision semble confirmer que quelque chose d’intelligent nous répond, le tout en actionnant les bons capteurs.
Les exemples qui, souvent, démontrent le choix des réponses. Lorsqu’on demande des mots avec le son «AN», et que l’on obtient des mots avec ce phonème précisément, ou la prononciation de lettres qui sont aussitôt prononcées. Il y a là des signes pondérables d’une présence intelligible qui maîtrise de mieux en mieux le dispositif, malgré les difficultés inhérentes à l’installation.
Le son « An » et le mot gant est prononcé
Nous travaillons sur un nouveau dispositif, mais en parallèle, nous continuons d’expérimenter et de pointer les améliorations à apporter à notre dispositif. Merci à tous ceux qui nous aident à aller plus loin.