Reprise des expériences de TTtech (TransTechnique) après deux mois de vacances. Notre journée d’expérience commençait dès le matin avec un contact médiumnique. Cinq personnes étaient venues pour poser une question dite personnelle. C’est dans ces moments que l’on peut évaluer au mieux l’impact que peut avoir ce genre d’expérience sur notre entendement. Les informations obtenues, les conseils prodigués, le sentiment de bienveillance qui s’en dégage donnent un sens crucial à ce que nous entendons par contact intelligent. Les personnes sont venues avec des inquiétudes, de la souffrance, des doutes aussi. L’expérience ne peut à elle seule et comme par magie, soustraire tous les maux que nous pouvons avoir, mais donne assurément une perspective assez dégagée sur nos problèmes pour vivre ces épreuves avec un certain éclairage.
Le matin, elle reçut de ses nouvelles en écriture automatique et l’après-midi, une image vidéo la surprenait
Après un moment fort en émotion, et une pause déjeuner, nous passions à la partie instrumentale de notre transcommunication. Il n’est pas rare d’obtenir l’après-midi, des résultats en rapports directs avec les informations que nous obtenons le matin à travers l’exercice d’écriture automatique. Par exemple, Lise était venue dans l’espoir d’avoir un contact avec un ami, décédé depuis quelques mois.
Le matin, elle reçut de ses nouvelles en écriture automatique et l’après-midi, une image vidéo la surprenait. Nous pouvions observer sur une anomalie, les initiales du patronyme de son ami. Une interaction improbable qui une fois de plus interroge sur le sens de l’expérience. Nous attribuons en général le résultat vidéo ou audio, à la personne qui se trouve, à ce moment-là, dans la cellule. Mais plusieurs exemples semblent démontrer que le résultat à nos sollicitations peut survenir plusieurs minutes après la demande, alors qu’une autre est formulée et avec une autre personne dans la cellule. Si effectivement l’apport, disons énergétique d’une personne, est utile pour l’obtention du phénomène, l’information véhiculée peut, quant à elle, être transmise pour une autre, qu’elle soit assise dans la cellule, présente dans l’atelier, ou même à distance via internet.
Les autres anomalies vidéo de l’après-midi
les extraits vidéo d’où sont tirer les images des anomalies
On en ressent même un certain amusement. L’exemple où l’on entend l’épellation du prénom Anthony est aussi édifiant
Encore une fois, l’expérience du larynx fut impressionnante. Cependant, dans la généralité, elle souffre d’une certaine difficulté liée directement à la lecture des résultats. En effet, le nombre conséquent de perturbations, c’est-à-dire les déclenchements intempestifs des phonèmes, rend l’audition compliquée et on se perd vite dans le dédale des sons émis. Dans la vidéo, nous arrivons à isoler l’anomalie. Nous n’apportons notre attention que sur celle susceptible de nous interloquer. Notre expertise est ici primordiale. Mais avec le Larynx, nous ne maîtrisons pas les anomalies. Les perturbations atmosphériques se déclenchent sans que nous puissions les filtrer. Cela donne un aspect confus à l’ensemble. Pourtant, en écoutant l’enregistrement et en soustrayant justement les perturbations, nous comprenons très bien ce qui se passe et la pertinence des interactions.
L’exemple le plus frappant est celui réalisé avec Lise. Sur une longueur de plusieurs minutes ramenées du coup à quelques dizaines de secondes, on entend clairement une réponse pertinente avec le prénom prononcé en toutes lettres. Cette phrase intéressante doit nous permettre de comprendre toute l’étendue de cette difficulté.
Sur un autre exemple, on se rend compte des multiples essais que réalisent les esprits pour se faire entendre et les rectifications qu’ils font quand ils se trompent. On en ressent même un certain amusement. L’exemple où l’on entend l’épellation du prénom Anthony est aussi très édifiant. On comprend toute la difficulté qu’ils ont de répondre à nos demandes, dans un laps de temps qui n’est pas du tout le leur. La fenêtre de tir pour nous atteindre est si petite face à l’étendue de leur état d’existence.
Une autre difficulté liée au dispositif en lui même peut aussi rendre difficile l’évidence du contact. Il arrive assez souvent que les bons capteurs soient actionnés à la demande, mais qu’aucun son ne soit entendu. Les réponses pourtant positives sont le plus souvent ignorées, puisque inaudibles. Sans une certaine attention, nous ne pourrions attester de la pertinence de la réponse.
Mais au-delà de toutes ces remarques, qui vont forcément donner lieu à une amélioration du dispositif, on peut aisément se faire une idée précise du contact et du bien fondé de cette recherche.