Expérience de Trans-Technique du dimanche 3 novembre 2024

Les visages, les chiffres ou les lettres que l’on peut voir dans les enregistrements vidéo nous induisent à chercher une identification

Une expérience de plus, démontrant la récurrence d’un phénomène qui semble être un palier dans cette investigation. Nous attendons l’interaction intelligible, c’est-à-dire faisant suite à une demande ou une attente particulière. Dans la prolifération des anomalies vidéo, qui, pour la plupart, restent non identifiées, ou intelligibles, l’interprétation des images est naturelle, voire même un réflexe. Tout comme la paréidolie est un réflexe cognitif nous faisant reconnaître des formes, par exemple dans les nuages, le feuillage ou autre, les visages, les chiffres ou les lettres que l’on peut voir dans les enregistrements vidéo nous induisent à chercher une identification. Il n’en est pas de même lorsque l’on demande un signe particulier, une lettre, un symbole et que nous le percevons ensuite dans la vidéo.

Ce jour-là, nous recevions 3 nouvelles personnes venues tenter l’expérience avec nous. La mise à jour de l’ordinateur dédié au Larynx ne nous permettait pas, cette fois-ci, de l’utiliser. Nous nous concentrions donc sur la vidéo. Les images qui suivent, extraites des enregistrements effectués durant cette après-midi-là, nous plongeaient dans l’expectative. Pourquoi voir écrit le chiffre 61 ? Pourquoi voir ces trois lettres VIC sur une autre image ? Puis ce P avec des ombres prononcées ?

On sait aujourd’hui que les images reçues dans notre atelier peuvent être aussi dédiées aux personnes qui suivent l’expérience depuis chez elles, via internet

Encore des visages, dont l’un semble tenir dans sa bouche une cigarette, un autre barbu, ou encore ce visage aux traits fins, certainement le souvenir d’une femme. Impossible en l’état d’identifier ou d’expliquer ces images. Bien entendu il y eut des pistes d’identifications très pertinentes de la part des personnes qui faisaient l’expérience en présentiel, mais aussi de celles qui, depuis chez elles, en duplex via Zoom, réalisaient l’expérience. Car l’on sait aujourd’hui que les images reçues dans notre atelier peuvent être aussi dédiées aux personnes qui suivent l’expérience depuis chez elles, via internet.

Notre posture d’observateur induit, sans aucun doute, un résultat

Tout ce contexte laisse une place prédominante à l’interprétation. Pas celle qui nous «obligerait» à inventer une forme dans la brume, mais celle à chercher le sens du message que l’on a voulu nous transmettre. Car il s’agit bien d’un message, il y a une intention là-dedans, mais laquelle ? Nous pensons qu’il y a plusieurs facteurs déclenchants pour l’obtention de ces anomalies vidéo. Le premier de tous est, sans contre dit, le fait même que nous essayons de les recevoir. Notre posture d’observateur induit, sans aucun doute, un résultat. Nous ne sommes pas certains que, laissée seule, cette cellule produise autant d’images. Pour attester d’un phénomène, il faut bien l’observer. Il y a aussi la demande, le fait de vouloir communiquer avec un proche disparut. Nous avons eu plus dune fois la démonstration que ces entités étaient là à nous répondre. Et enfin, le fait tout autant incroyable que nous serions capables d’une manière subconsciente, à produire des images mentales qui seraient influentes sur la matière et, en l’occurrence, dans un système qui à lui seul produit un milieu prompt à former des images.

Bientôt, nous l’espérons (tout dépendra de notre budget et des dons que nous récolterons pour ce faire), nous allons construire une nouvelle cellule qui devrait pouvoir amplifier le phénomène. Ce sera une sphère réfléchissante et résonnante dans laquelle l’expérimentateur entrera. Avec cette nouvelle configuration, nous espérons observer d’autres anomalies en plaçant l’expérimentateur plus au centre du phénomène. Un vaste chantier qui commence à peine et qui nous entraîne vers de nouvelles considérations techniques.

Extrait des enregistrements vidéo sur lesquels on aperçoit les anomalies