Expérience de Transcommunication Technique du dimanche 9 mars 2025

Notre recherche se poursuit avec cette série d’enregistrements vidéo et audio. Cette expérience de Transcommunication Technique faisait suite à une autre, mentale, qui nous réunissait le matin. Nous étions déjà trés satisfait par les résultats du matin, mais l’expérience de cette après-midi là, nous plongeait encore une fois dans l’étonnement.

Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas reçu une telle image

Commençons par l’anomalie vidéo obtenue par Yasmine. Elle désirait obtenir, de la part de l’esprit de son père, un signe identifiable. L’on put alors voir apparaitre, dans la brume, un “J” et un cœur. La réaction de Yasmine fut très émouvante, le prénom de son père commençant effectivement par la lettre “J” et le cœur, un plus qu’elle n’attendait pas et qui la rendait heureuse. Parmi les autres anomalies vidéo, une est assez étonnante. C’est celle où l’on y voit la tête d’un animal. Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas reçu une telle image.

On sait que ces images ne sont pas, à proprement parlé, une photographie que nous n’avons pas là, l’image d’une réalité physique telle que nous l’entendons. Nous pensons plutôt à une information dirigée, qui selon notre observation, se traduit dans une forme identifiable. Le monde de l’esprit est la source de la forme, mais celle-ci varie selon l’élément matière qui existe tout autour de nous. Nous pouvons sans mal imaginer que sur un autre monde, avec d’autres conditions d’existence et de perception, les anomalies seraient d’une tout autre nature.

Quoi qu’il en soit, les images que nous percevons varient en intensité selon un facteur déclenchant que nous ne maitrisons pas. Il doit bien exister une relation entre la précision instrumentale du dispositif et ce faisant, la définition de l’image, mais il n’y a pas que ça. Il y a aussi très certainement l’intensité de l’information transmise, déterminée par l’émetteur dont nous n’avons aucune idée précise à part, bien entendu, notre intime conviction. C’est d’ailleurs le sens de nos expériences, confronter la théorie avec l’expérience.

Les autres anomalies observées

On peut très bien alors imaginer les esprits, se prêter au jeu de la communication

Aujourd’hui, nous ne pouvons séparer le son de l’image. Il fut un temps où la vidéo faisait la part belle de nos expériences. Avec l’avènement du Larynx, l’audio est un élément majeur de nos expériences de Transcommunication Technique, avec un outil bien plus précis que la vidéo, surtout dans sa conception. D’ailleurs, c’est le Larynx virtuel qui nous oblige à réfléchir davantage sur la relation directe que nous pouvons avoir avec les esprits. On y décèle un problème de perception du temps, un décalage évident entre ce qu’on entend et ce qu’il faut comprendre, ce qui engendre “des conversations de sourds“. On peut très bien alors imaginer les esprits, se prêter au jeu de la communication et se perdre, un peu, dans la latence de notre dispositif, certainement bien trop lent par rapport à leur omniprésence.

Prenons cet exemple assez édifiant, passé tout à fait inaperçu lors de l’expérience. On entend le Larynx se déclencher avec les phonèmes “j’ai ton pai…ment“, ce que nous pouvons comprendre par “j’ai ton paiement” (étrange tout de même…)… La personne qui se trouve dans la Cellule et nous-mêmes d’ailleurs, ne comprenons pas le sens de cette phrase (habitué à une multitude d’interférences sans ordre apparent). Et pourtant, quelques minutes après, au milieu d’autres balbutiements, on entend le mot “pognon“. À l’évidence, il y a une suite logique dans ces deux déclenchements du larynx, l’esprit voulant transmettre une information précise à Francine, mais qui n’est pas comprise sur le fait. Sans le mot “pognon”, nous aurions pu avoir une autre interprétation de la première phrase, mais la précision du deuxième mot ne laisse aucun doute. C’est un vrai problème, récurrent même, car l’on ne prend pas en compte l’étalement de la fabrication du message dans l’enregistrement, préférant avoir des réponses précises, et ce, dans un temps imparti. Oui, mais est-ce vraiment la bonne solution?

J’ai ton paiement…(avec Francine)
Pognon…(avec Francine)

L’autre problème est le sens multiple de certains mots de notre langue, comme ici, dans l’exemple suivant, le son ““. Pourtant, dans le contexte, le fait d’entendre la phrase “j’ai un nez” est très intéressant. La question qui se pose alors s’oriente sur l’élément physique de l’esprit. A-t-il voulu dire qu’il avait encore un nez, ou bien que, parce qu’il communique avec nous, il se retrouve de nouveau avec cet organe ? Autrement dit, est-ce que le fait de se communiquer dans notre matière, selon nos sens, reconstruit tout autour de lui un semblant de matière ? Ce sont des réflexions importantes, mais que le déclenchement (ici l’expérience) ne nous a pas permis de comprendre.

J’ai un nez….(avec Nathalie)

Voici une autre information passée inaperçue et qui, pourtant, est précise. Impossible sur le fait de comprendre ce qu’a voulu dire l’esprit qui se manifeste et la personne présente dans la Cellule n’a pas non plus réagit à cette phrase. Nous sommes clairement là dans la démonstration d’une réaction spontanée d’un fils qui parle à sa mère, en montrant, soit un étonnement, soit une peine.

Oh, toi bu…..(avec Aurore)

Nous sommes partagés entre le besoin de précision, d’interactions intelligibles et mesurables et la simple observation du maniement du larynx par les esprits, qui d’ailleurs, ne semblent pas du tout suivre notre protocole. Ils veulent dire des choses et le font en faisant fi de nos difficultés à bien les comprendre. L’exemple qui suit est un autre exemple de l’écart qui existe entre nos attentes et ce que les esprits ont envie de communiquer. La corrélation entre les mots “roi et gueux” est ici évidente, mais cela ne nous a pas interpellés. Pourtant, combien de chance avions-nous d’entendre ces deux mots l’un après l’autre? Puis passer cette analyse, qu’a bien voulu nous dire l’esprit ?

Roi…..gueux…(avec Alexandra)

Difficile de s’y retrouver et surtout de s’en tenir à une ligne de conduite. En effet, voulons-nous attester de la validité du contact en effectuant des statistiques probantes, ou devons-nous accepter de laisser le contact, et ce, en prenant en compte que la communication peut s’établir dans un laps de temps indéterminé ? Évidemment, la première solution est la plus simple et la plus susceptible de convaincre. Mais l’autre est riche de messages, d’interpellations qu’il faut très certainement prendre en considération.

L’extrait suivant nous fait entendre ces mots: “joue, aime de temps en en“, ce que nous pouvons traduire par “j’aime jouer de temps en temps“. L’interprétation que nous en faisons est assez simple, car la différence se joue ici sur des difficultés techniques et constitutives liées directement à l’appareil. Mais encore une fois, est-ce que cette information, ce message a été bien compris durant l’expérience ?

Joue aime temps en temps….(avec Francine)

Il arrive souvent que la LED propre à un phonème se déclenche sans que l’on entende le son correspondant. Il arrive même que la voix (synthétique) qui doit prononcer le phonème soit inintelligible (choix du timbre de la voix). Il y a donc deux lectures, la vue et l’ouïe. Ce qui peut rendre compliquer la surveillance du phénomène. Aurore qui était dans la Cellule, communiquait avec les esprits de ses deux fils. On entend alors le mot “am po té“, le son “en” étant mal prononcé, mais correctement allumé, ce qu’atteste d’ailleurs Aurore dans l’enregistrement.

Empoté…(avec Aurore)

Alexandra était l’expérimentatrice la plus prolifique de la cession. Elle obtenait beaucoup d’interactions. Celle qui suit est assez étonnante, passer, elle aussi, inaperçue. Dans la suite des interactions du Larynx, on entend cette phrase: “elle fend carreau“. Est-ce une information sur une personne qui se saurait appelée “Caro” ou bien la description d’un acte passé, ou suggéré, d’une personne (elle) qui fendrait un carreau ? Impossible de le savoir après coup.

Elle fend carreau. (avec Alexandra)

Ensuite, il y a aussi les interactions habituelles démontrant que les êtres pensants qui se prêtent à l’expérience répondent à nos sollicitations d’une manière intelligible. On entend même, dans l’exemple qui suit, une pointe d’étonnement de la part de l’esprit en question.

Tu peux me faire des mots qui finissent par A ? (avec Alexandra)

Alexandra essayait pour l’expérience de parler à son esprit guide. Dans la discussion, pas toujours compréhensible, on peut entendre cette phrase : “j’ai eu PP“….Là encore, on peut interpréter cette phrase a posteriori, car sur le moment, personne n’en prenait vraiment conscience. Alexandra aurait été la seule à pouvoir le faire concrètement.

J’ai eu P P… (avec Alexandra)

Enfin, le dernier exemple dépeint le problème du sens dans l’information. Puisque le larynx n’offre pas encore une grande fluidité dans le verbiage, les phrases sont décousues, souvent rudimentaires. Alexandra entendait le mot “joie“. Naturellement, elle interprétait ce mot comme étant l’humeur de l’esprit en contact avec elle. Mais la suite donne un autre sens. Tout d’abord, l’esprit enclenche le mot “non” ce qui semble dire qu’il (l’esprit) ne parle pas de lui, faisant retentir aussitôt après le mot “sois“. Il se peut que l’esprit ait voulu dire “sois en joie“.

Joie…tu es content d’être là? Non…sois….(avec Alexandra)

Tous ces exemples montrent une difficulté de communication qui n’est pas seulement technique, mais cognitive. En tout état de cause, nous ne pouvons mettre sous le boisseau cette constatation, mais devons prendre en considération l’ensemble de l’enregistrement et l’étalement de la conversation qui peut, tout à la fois, s’étaler sur la longueur ou se manifester aussitôt après la demande. Il faut aussi accepter que les esprits puissent vouloir nous dire autre chose, même hors sujet, sans répondre précisément à ce que nous attendons d’eux.

Les extraits vidéo où l’on voit apparaitre les anomalies

Du coté des internautes

Petit clin d’œil à Françoise, qui a effectué l’expérience en même temps que nous depuis chez elle. Connectée par Zoom, elle a pu réaliser quelques enregistrements vidéo d’où est issue cette image. Après un contraste des zones sombres de l’image, on peut voir apparaitre l’esquisse d’un visage suffisamment défini pour apparaitre dans notre article. Merci donc à toi, Françoise pour avoir su, et au bon moment, lancer l’enregistrement et permettre à cette anomalie d’apparaitre.