Expérience de Transcommunication Technique du dimanche 22 juin 2025

C’est à la relecture des résultats que l’on mesure la qualité de certaines interactions

Cette dernière expérience de Transcommunication Technique avant la pause estivale était prolifique. Beaucoup d’anomalies vidéo et d’interactions avec le Larynx. C’est d’ailleurs celui-ci qui, une fois de plus, donnait une touche particulière à l’expérience. Oui mais malheureusement pas sur le fait. En vivant ces expériences de près, on se rend compte que quelque chose d’important s’y déroule, mais la prise de conscience nécessaire arrive souvent après coup. C’est à la relecture des résultats que l’on mesure la qualité de certaines interactions. Le contact que nous avons par son entremise est parasité par le déclenchement intempestif des capteurs, rendant la lecture des résultats fastidieuse. Mais à la lecture des enregistrements et en soustrayant les parasites, en supprimant les longueurs où rien ne se produit, les choses deviennent évidentes. Ce sera notre détermination prochaine, rendre plus clair le déclenchement des capteurs et permettre au système de reconnaitre les mots et les phrases ainsi engendrés.

Mais les exemples valent mieux que les discours. Nous allons commencer par un passage de l’enregistrement réalisé avec Christelle. Celle-ci incitait l’entité, présente avec elle dans la cellule, d’écrire un mot intelligible. La réponse est à peine croyable et pourtant. Les capteurs se sont déclenchés les uns après les autres dans un ordre qui ne doit rien au hasard. Non seulement Christelle à bien un chat, mais l’entité semble l’avoir vu et de surcroit en train de jouer et qu’il l’a trouvé beau…. Beaucoup pourraient penser que ce dispositif n’est en définitive qu’un « bidule » qui fait du bruit. Mais en restant objectif et à force de le faire fonctionner, on se rend compte qu’il est actionné par une intelligence, qui nous voit et nous entend. On serait presque revenu aux premières constatations des spirites d’antan, qui, face aux mouvements intelligents du guéridon, constataient qu’il était actionné par une cause intelligente.

Est ce que tu essais d’écrire un mot que l’on comprenne? « Oui…vu…ton chat…est…beau….joue…(Christelle)

L’exemple qui suit n’est pas mal non plus. Christelle demandait une nouvelle interaction, une syllabe. C’est alors que nous entendions le son « fin », Christelle, alerte et dans le contexte, expliquait que la fin n’était pas vraiment la fin. Les interactions se succédaient alors rapidement en faisant entendre « faux, oui ». Ce qui peut vouloir dire qu’effectivement, ce que l’on croit être la fin d’une vie ne l’est pas vraiment.

« Fin ». Fin, ce n’est pas la fin? « Faux oui »…(Christelle)

Le troisième extrait est amusant, surtout dans ce qu’il veut dire. Christelle continuait son contact en sollicitant les interactions intelligibles. On entendait alors le son « J« . Christelle en déduisait qu’il pouvait s’agir de Jean et qu’il serait peut-être affilié à l’IFRES (Nous avons eu effectivement d’innombrables messages d’un esprit se prénommant Jean). Mais la réponse est étonnante: « Qui êtes-vous?« . Il y a plusieurs lectures possibles à cette interaction. Soit l’esprit ne sait pas qui est Jean, soit il ne connait pas l’IFRES. Dans les deux cas, voilà une bonne manière de ne pas tomber dans l’ornière de se croire indispensable.

J, qui est ce J, Jean ?… »Oui »…Jean comment, Jean de l’IFRES ?… »Qui êtes vous? (Christelle)

Les exemples qui vont suivre sont d’autres extraits d’enregistrements effectués alors que Claude, un nouveau venu parmi nous, tentait le contact. À la lecture des enregistrements, nous constations que, pour la première fois, des prénoms avaient été donnés. Malheureusement, ils n’ont pas été perçus comme tels dans le dédale des parasites. Et pourtant, les phonèmes qui construisaient ces prénoms étaient successif et les uns après les autres. Le premier exemple nous fait entendre l’interaction spontanée que nous obtenions alors qu’une anomalie vidéo fût détectée dans l’enregistrement vidéo, expérience parallèle dans le système. On entend à ce moment-là la voix de Laurie qui remarque l’anomalie. C’est alors que, très nettement, on entend la phrase « Et oui, Thomas je« . Nous pouvons comprendre « Et oui je suis Thomas« … Claude n’a pas entendu clairement cette réponse. Il demande alors si, dans toutes les anomalies qu’il obtenait ce jour-là (il a été la personne qui en a déclenché le plus), il y avait celle de son guide. La réponse « oui » le contentait.

« Hé oui, Thomas….je ». Dans les apparitions est ce qu’il y a mon guide?…. »oui ».(Claude)

Autre prénom, non conscientisé sur le moment. Cette interaction est arrivée alors que Claude observait une autre anomalie vidéo apparue dans l’enregistrement qu’il avait déclenché. On y perçoit un chiffre et Claude semble savoir à quoi cela correspond. Non seulement il a la réponse, mais, en plus, on apprend que c’est un certain JeanLou qui a produit l’image. C’est tout à fait exceptionnel, en tout cas une première dans l’histoire de notre installation. De plus, l’entité propose même à Claude de jouer avec. Seul Claude peut attester de sa signification.

« Jean-Lou fait…lu ». Est ce que cela correspond à l’une de mes passion? « Oui….joue »(Claude)

Une autre interaction dans laquelle nous entendons le prénom Louis. On comprend bien ici la combinaison de deux phonèmes successifs. La question de Claude portait sur une situation qu’il avait vécue avec une personne à laquelle il pensait. La réponse était positive, mais la précision qui y est rajoutée n’a pas été entendue sur le fait. Un problème qui se multiplie depuis quelques expériences.

Est ce que nous avons passer des nuits entières en studio à travailler ensemble ? « Oui et Louis » (Claude)

Un autre exemple pour une autre difficulté liée directement à notre outil. Souvent, les personnes qui participent aux expériences, nous témoignent de leurs impressions. La plupart nous expliquent que dans le flux des interactions, des mots et des phrases sont prononcés, mais qu’il est difficile de s’en rendre compte. Dans celle qui suit, Claude demandait si le prénom de l’entité en action était David. La réponse est à proprement parlé inintelligible. Mais la structure semble bonne, comme si nous n’entendions que des brides de la phrase. Les mots « vends la peau » sont audibles et nous dirige machinalement vers une expression bien connue. S’agit-il d’une simple interprétation? Possible, mais au vue des autres cas analogues, démontrant une réelle difficulté de maniement, nous pouvons nous poser la question.

Est-ce que votre prénom est David ? « Oui, nous… Vends la peau…u…o…. » (Claude)

Les deux derniers exemples d’interactions obtenues avec Claude, dépeignent une certaine bienveillance à son endroit. Les entités lui confirmaient que sa conduite était bonne et la dernière phrase, même mal construite, laisse entendre que Claude est un homme bon.

Est ce que je dois continuer à agir comme je le fais ? « Oui, oui ! « (Claude)
« J’ai ça beau, toi bon »

Finissons cette série d’enregistrements audio avec deux autres extraits, obtenus alors avec Caroline, une nouvelle expérimentatrice. Le Larynx prononçait une nouvelle fois le prénom « Jean« . Caroline tentait d’en savoir plus. C’est alors que les interactions déclenchaient par deux fois le mot « vois » et « étonner« . Ce n’est pas la première fois que nous supposons que ce dispositif semble engendrer des réactions d’étonnement, soit de la part des entités elles-mêmes, que de celle des expérimentateurs. Le dernier exemple semble même apporter à cet étonnement une notion de gravité, en prononçant ces mots: « dis, c’est pas un jeu« …

« Jean »…Qui est Jean?… »vois »…Est ce que c’est Jean ?… »Vois m’étonner » (Caroline)
« Dis, c’est pas un jeu » (Caroline)

Tout ceci est bien intéressant, pour ne pas dire captivant. Ce dispositif, fait de 50 capteurs de pression atmosphérique, nous plonge dans de profondes considérations, balloté entre la simple constatation et l’engouement de l’interprétation. C’est encore le manque de précision qui nous oblige à la plus grande prudence. Que ce soit au niveau des images, ou des interactions sonores, il reste beaucoup de travail pour assoir une théorie viable sur la présence de la conscience en dehors de la biologie. Mais nous avons cette intime conviction, soutenue par des années d’expérience, qui nous permet d’avancer. Et les résultats sont tout de même de très bon augure.

Les autres anomalies vidéo de l’expérience

Les extraits vidéo où apparaissent les anomalies