Expérience de Transcommunication Technique du dimanche 16 novembre 2025

Nous observons donc des visages, des lettres ou des mots étranges

L’expérience de ce dimanche était très prolifique. Le nombre d’anomalies vidéo est édifiant et les interactions avec le Larynx explicitent. Bien que notre dispositif technique demande encore des améliorations, nous arrivons toutefois à observer un phénomène très inspirant. Il nous faudrait un travail à plein temps et un budget conséquent pour arriver à faire évoluer tout ceci. Mais avec l’effort de nos donateurs et l’émulsion de toutes les bonnes volontés, la marche est soutenue, donnant des résultats d’expériences prometteuses.

Nous observons donc des visages, des lettres ou des mots étranges. Nous entendons des phrases intrigantes et tout ceci nous plonge dans l’expectative. Regarder se former ces anomalies vidéo suffit à considérer ce phénomène comme un indice, un effet furtif de quelque chose que nous ne comprenons pas vraiment. Que peut bien vouloir dire le chiffre « 23« , les lettres « KSS« , « SP« , « JELA« , « BAB » ou encore « 6V« , « A53 » ? Est-ce une formation hasardeuse sans aucun sens ?

Mais alors, il y aurait-il une intelligibilité évidente dans la forme des visages et rien quand il s’agit de lettres ou de chiffres ? Nous pensons plutôt qu’il s’agit d’information même si elle n’est pas encore compréhensible. La probabilité de voir ce genre de forme intelligible dans un rideau de brume est faible. Et pourtant, chacune de nos expériences est la démonstration de cette récurrence. C’est pour cette raison que l’identification est primordiale, c’est pour se rendre compte de l’effectivité du phénomène.

Les personnes qui se sont prêtées à l’expérience ont été le catalyseur de cette information diffuse

Ce serait comme si nous écoutions une langue inconnue à la radio, pensant n’entendre là qu’un bruit diffus. Mais lorsque des mots, des phrases que nous reconnaissons et comprenons, sont perçus, alors nous savons que le canal est une source d’information, même si, depuis le début nous ne le comprenons pas. La conscience, cette entité non localisable, en dehors de tous les concepts, s’exprime à travers l’humanité en manifestant avec elle un état d’existence que nous ne comprenons pas, provenant du fin fond de l’univers d’où elle est issue.

La mémoire y est constante et absolue et c’est cela que nous captons, comme une sorte de champ d’information intemporel, éternel, dont le sens nous est pour le moment interdit. Les personnes qui se sont prêtées à l’expérience ont été le catalyseur de cette information diffuse. Sans elle, pas de phénomène, pas d’observation. Et comme nous le savons aujourd’hui, leur seule présence suffit à orienter le sens du contact. Mais il n’est pas toujours identifiable tel que nous l’entendons.

Il arrive que l’évidence saute aux yeux, puis il y a les moments de questionnement. Par exemple, cette image où l’on voit deux visages côte à côte, elle n’a pas été formellement identifiée, mais l’on ne peut douter qu’il s’agit de la représentation de deux visages humanoïdes. Est-ce que, laissé seul en plein milieu d’un dessert, le système technique aurait capté la même anomalie ? Faut-il un réceptacle intelligent pour recevoir un message intelligent ?

Et est-ce que nos limites cérébrales ne sont pas une meurtrière au travers de laquelle nous scrutons une réalité incommensurable, que nous décodons par des réflexes cognitifs ? Il en est de même pour le Larynx qui étend cette interrogation sur un autre aspect de la technique employée. En ce qui concerne la vidéo, il y a une pluralité des prises de forces pour l’obtention du phénomène : un générateur de formes aléatoires, des interférences laser, de la Strioscopie, de la lumière stroboscopique et une fréquence de 10HZ induite dans la brume. Pour le Larynx : il n’y a que des capteurs de pression atmosphérique et un programme qui les interprète. Il est alors plus facile de comprendre comment peuvent agir les esprits sur les capteurs, comme ils pouvaient le faire au 19e siècle sur les tables, ou les planchettes. Ce qui est plus compliqué avec la vidéo. Mais dans les deux cas, c’est un ensemble « machine-expérimentateur » indéniable, l’un ne fonctionnant pas sans l’autre.

L’interaction du Larynx est nette, précise, sans équivoque

Les exemples audio suivants démontrent une fois de plus les interactions positives et intelligibles obtenues. Anaïs qui se trouvait dans la Cellule face au Larynx tentait d’obtenir un mot qu’elle épelait. L’interaction qui se déclenchait spontanément reprenait mot pour mot l’aide qu’elle prononçait:

Un I (Anais)

C’est toujours très surprenant de recevoir exactement ce que l’on demande dans ces expériences et ce l’est encore plus lorsque l’on comprend comme le dispositif fonctionne. Le hasard n’est ici que la trace effacée d’une explication sommaire. L’exemple suivant est explicite. Céline, dans la Cellule, réagissait à l’anomalie vidéo qui se produisait alors. Elle y voyait un « K » suivi de deux autres lettres. Elle demandait alors si ce « K » était la première lettre de son prénom (Kévin). L’interaction du Larynx est nette, précise, sans équivoque avec en plus une invitation à « jouer« , un qualificatif que nous employons souvent pour expliquer aux nouveaux venus, la manière de se comporter avec cet appareil :

C’est toi Kevin? (Céline)

La discussion se poursuivait et Céline (qui produisait ce jour-là les plus pertinentes des interactions avec le Larynx) continuait sur sa lancée, en exprimant son sentiment sur la situation positive de l’esprit de Kevin. Le mot « gai » venait le confirmer :

continuez…gai (Céline)

Les trois interactions suivantes sont remarquables. Elles manifestent un état d’être très intéressant, pouvant nous renseigner sur l’état d’esprit dans lequel peuvent être les entités qui se communiquent. La première nous laisse entendre qu’elles ne reconnaissent pas spécialement l’endroit où elles se trouvent. D’ailleurs à ce niveau d’existence, existe-t-il encore un espace mesurable ? La deuxième dépeint un sentiment, celui d’être livré à soi même, un peu comme si on les emmenait ici et qu’on les laissait se débrouiller. Naturellement, ceci est une interprétation, mais tout de même, l’on peut se poser la question après avoir entendu cette interaction.

Les esprits, n’ayant plus d’oeil, ne peuvent « voir » comme nous l’entendons

La dernière de ces trois interactions choisies vient en quelque sorte confirmer un principe que nous suggérons. Les esprits, n’ayant plus d’oeil, ne peuvent « voir » comme nous l’entendons. S’ils peuvent se rendre compte de l’espace dans lequel ils s’induisent, c’est bien grâce à nos propres sens physiques, qui deviennent pour eux le cadre de leur manifestation. Souvent, nous expliquons aux expérimentateurs de bien « regarder le Larynx » et, avec le regard de les guider pour actionner le bon capteur. Lorsqu’alors nous entendons les interactions combinées produire les mots « on lit oui, allo« , la surprise est agréable, surtout avec le mot « allo » qui au-delà de la référence sociale est tout de même une invitation au contact.

On est où ? (Céline)
On est laissés (Céline)
On lit oui, allo! (Céline)

L’interaction suivante est tout autant surprenante. Elle sous-entend une condition particulière qui, nous le pensons, est très proche du concept « ensemble unitaire » dans lequel, ce que l’on reconnait comme la personnalité, y serait bien différente de ce que l’on conçoit habituellement. Céline demandait à l’entité avec elle, si elle était Lina (une proche). On lui répondait que non, que c’était la manifestation d' »eux » avec cet adjectif qualificatif « nu« . On imagine bien que les esprits ne sont pas « nu », mais déchargés de tous contours, de toutes formes d’expressions physiques, nus, sans rien. Nous aurions affaire en quelque sorte à des entités sans contour, dans une simplicité qui, pour nous, est cornélienne.

Non, eux nu…(Céline)

Pour finir les exemples avec Céline, écoutons cette interaction qui vient, en toute vraisemblance, répondre à une interrogation qu’elle se posait sur le coup. En effet, le son « on » était souvent enclenché ce jour-là, d’une manière intempestive. Face à cette remarque, les interactions déclenchées formaient plusieurs mots à la suite, comme pour dire, « nous pouvons en faire d’autres« . Les mots choisis ont cependant un sens logique que le seul hasard n’explique pas. « Chaud, bois, feu » peuvent effectivement décrire une situation :

Chaud, bois, feu (Céline)

Les interactions suivantes ont été obtenues alors que Vanessa était dans la Cellule. La première est assez amusante. Vanessa demandait si l’entité, avec elle, aurait quelque chose à lui dire. La manière dont le « non » est prononcé est amusante. Il n’est pas question du « non » habituel, bref et concis, mais d’un « nonnnn » ressemblant beaucoup à notre façon de répondre, lorsqu’on le fait avec une certaine malice :

Quelque chose à me dire ? Nonnnn (Vanessa)

La suivante est en quelque sorte une précision, qui vient rajouter du poids à l’anomalie vidéo qui, à ce moment-là, était présentée dans la Cellule. Vanessa déclarait que l’image ressemblait beaucoup à son grand-père. Les interactions successives prononçaient les mots : « et en vie« , ce qui semble vouloir dire que non seulement cela lui ressemble, mais qu’en plus qu’il est question de l’expression d’une vie :

Et en vie…(Vanessa)

Le Larynx continuait à produire des interactions, Vanessa exprimait en même temps son ressenti en regardant l’image de l’anomalie vidéo. Les interactions sont fortes de sens et de bon augure pour nous tous :

Nous est en paix (Vanessa)

La dernière interaction que nous vous présentons dans cet article se déclenchait alors que Jessica se trouvait à son tour dans la Cellule. Celle-ci demandait si elle devait continuer à vivre dans un certain endroit. Les interactions semblent vouloir orienter Vanessa dans une autre direction. À ce niveau d’expertise, nous ne pouvons dire si les propos sont pertinents, puisqu’encore une fois, le sens de cette interaction n’a pas été compris sur le fait. Mais en ne prenant en compte que le sens des mots prononcés, on pourrait comprendre qu’il serait mieux (c’est une interprétation, bien entendu) d’aller vivre là eux (les esprits) sont…. Parlent-ils d’un endroit où ils auraient vécu, alors encore en vie biologique ? Il pourrait donc être question d’un conseil, prônant le retour dans un endroit particulier, une sorte de souvenir :

Non, où on vit (Jessica)

Enfin, tout ceci est passionnant, mais encore laborieux. Les interactions du Larynx sont trop souvent polluées par un parasitage entravant la lecture limpide de ce qui nous est dit. Tout comme pour la vidéo où les anomalies visuelles sont trop furtives pour êtres vues en direct, les interactions du Larynx sont éparses dans le temps, à la manière d’une épellation, entrecoupées par des rectifications incessantes à la manière d’un musicien en herbe qui, à chaque fausse note, reprend le morceau en entier en prononçant des « attend« , « non« , « mince » et autres « onomatopées ». Nous travaillons actuellement sur un lissage en direct des interactions, qui « filtrera » les déclenchements intempestifs.

Les autres anomalies vidéo obtenues

Les extraits des enregistrements vidéo depuis lesquels sont issues les captures d’écran

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