Cet état de fait continue de nous interroger autant que de rendre évidente la réalité d’un état intelligible non induit par les mécanismes connus de la biologie, ou même de la physique
Cette expérience de Transcommunication Technique concluait l’année 2025. Encore une fois, ce « pont technique » que nous érigeons entre notre biologie et la permanence de la conscience nous donnait des résultats intéressants. Il n’était donc pas question de croyance, c’est-à-dire de croire en une théorie, une explication, mais de constater une récurrence produite par un phénomène furtif, soit, mais bien réel. Que ce soit en regardant les anomalies qui survenaient dans les enregistrements vidéo, ou en écoutant les interactions du Larynx, cet état de fait continue de nous interroger autant que de rendre évidente la réalité d’un état intelligible non induit par les mécanismes connus de la biologie, ou même de la physique. Naturellement, impossible en l’état de « prouver » cette réalité avec les moyens technologiques que nous possédons. L’important ici est de susciter une interrogation qui, tôt ou tard trouvera une place de choix dans les instituts scientifiques. Cependant, ce sera à notre humble avis, en trouvant une autre manière d’aborder le concept du « réel« .
Pour cette expérience, cinq personnes entraient dans la Cellule. Nous vous présenterons, dans cet article, les passages les plus explicites. Qu’il s’agissent de visages non identifiés, de mots improbables, ou de réponses positives indirectes, c’est-à-dire comprises après coup, toutes ces interactions sont tout de même étonnantes. D’ailleurs, nous sommes nous-mêmes, toujours autant surpris par la pertinence de certains résultats. Comme déjà nous l’expliquions, l’ambiance du moment, souvent très impressionnante pour les nouveaux expérimentateurs, mais aussi la difficulté à « faire fi » des perturbations, rendent compliquée la lecture des interactions en direct.
Comment un tel nombre, ou ensemble de chiffres, peut-il apparaitre dans la brume et à ce moment précis ?
Prenons le cas de Christine. Dans la Cellule, elle demandait, au fil du contact qu’elle tentait d’avoir avec l’esprit de son grand-père, de lui dire, ou de lui écrire, le nombre qui les reliait tous les deux. Elle obtenait une anomalie vidéo dans laquelle nous voyons le chiffre « 888« . Reprenons ici ces propres mots, qu’elle nous adressait dans un email le lendemain : « J’ai un petit retour à vous faire car cela m’a complètement échappé au moment de l’apparition d’une anomalie, en effet, j’ai demandé à mon grand-père que je n’ai pas connu de m’écrire le nombre qui nous reliait car nous sommes nés tous les deux un 24 février et il a décidé de quitter la vie un 24 juillet, jour de la Ste Christine, or il est apparu 888, ce n’est que rentrée à la maison que mon mari me dit 3 fois 8 ça fait… »

Oui, trois fois « 8 » font bien « 24. ». Et c’est ici que la chose est stupéfiante. Pourquoi l’anomalie n’a-t-elle pas montré directement le nombre « 24« ? Nous abordons là un des concepts tentant d’expliquer la télépathie. On sait par exemple, que pour transmettre une image précise, l’expression d’une situation, ou un chiffre, le percipient envoie par la pensée des images conduisant justement le sujet à « voir » l’information transmise. Christine demandait le chiffre « 24 » et recevait trois « 8 » à la place.
Même si, à ce stade et pour ce cas précis, nous ne pouvons éloigner le phénomène de psychokinèse, il n’en reste pas moins la question du comment cela est possible ? Comment un tel nombre, ou ensemble de chiffres, peut-il apparaitre dans la brume et à ce moment précis ? Prenons un autre exemple. À ce moment-là, c’était Roser qui se trouvait dans la Cellule. Elle décidait de s’exprimer en Espagnol pour tenter le contact avec l’esprit de sa fille. Au fur et à mesure de son expérience, elle demandait, à qui voudrait bien lui répondre, si son père accompagnait sa fille dans l’au-delà. Elle obtenait alors une anomalie montrant le nombre « 38« .

Réfléchissons, est-ce que la conscience hors la biologie devrait se manifester comme un humain ?

Très surprise, Roser s’exclamait (en Français cette fois-ci) que c’était l’année de naissance de son Père… Là encore, nous ne pouvons pas que retenir l’explication du hasard. Nous aurions pu recevoir tout autre chose, mais ce nombre correspond bien à la réalité de Roser ! L’entité aurait pu répondre par un « Oui« , ou donner la première lettre de son prénom. Mais à la place, nous percevions encore une fois, une réponse indirecte. Réfléchissons, est-ce que la conscience hors la biologie devrait se manifester comme un humain ?
Nous n’en sommes pas certains, Il s’agirait plutôt d’une omniprésence omnipotente, mais non efficiente comme nous le pensons. L’information serait donc présente et ce serait nous, de par notre observation, qui exercerait un focus sur une partie précise. Que pensez des deux autres anomalies dans lesquelles on voit le mot « lego » et « ici » ? À l’heure où nous écrivons cet article, nous ne le savons pas et personne n’a pu apporter le début d’une identification.

Car l’interaction « GUY« , qu’elle arrive tout de suite ou une minute après, reste une réponse juste et qui ne doit rien au hasard.
Les autres anomalies vidéo montrent des visages qui n’ont pas été identifiés. Ce qui ne veut pas dire pour autant qu’elles n’ont pas leur raison d’être. Continuons notre retour d’expérience avec le Larynx Virtuel. Là aussi, les interactions sont explicites et ne doivent rien au hasard. Commençons par les évidences. Nadine, qui était dans la Cellule tentait de communiquer avec l’esprit de son mari. Après avoir demandé si elle pouvait prononcer le nom de la personne qu’elle aimerait recevoir, l’interaction qui suivait était on ne peut plus précise. L’ennuyant, et c’est précisément ce que nous voulons corriger avec l’amélioration du dispositif, c’est que le prénom « GUY » était déclenché au milieu d’une série de perturbation (que l’on cherche à filtrer). En les supprimant manuellement, et en raccourcissant le temps qui sépare la demande de la réponse, on est en face d’une interaction intelligible. Car l’interaction « GUY« , qu’elle arrive tout de suite ou une minute après, reste une réponse juste et qui ne doit rien au hasard.
Parmi les exemples, au travers desquels on se rend bien compte du déclenchement « pensé » du Larynx, on peut relater celui de Christine, qui essayait d’obtenir le chiffre qui était important pour sa famille, un « 9« . L’interaction qui spontanément se déclenchait nous faisait entendre le son « neu » qui est bien le début du chiffre « neuf« . Nous n’avons pas entendu le phonème « fe« , soit, mais l’idée était bien là.
Continuons avec le passage de Florence. Elle demandait le nom du chien : « Milou« . Les interactions se déclenchaient dans le bon ordre, mais là encore avec un phonème en moins. Toutes ces interactions montrent bien la difficulté qu’un tel dispositif engendre, pour des êtres qui n’ont plus la même constitution que nous. Cependant, ils peuvent encore agir sur des proportions infimes de notre matière, comme la lumière, les fréquences, les molécules d’eau ou ici la pression atmosphérique.
Un autre genre d’interaction obtenue avec Florence. Celle-ci demandait à l’entité qui se trouvait avec elle, si elle pouvait réaliser une image vidéo. La réponse est laconique et positive. D’ailleurs, Florence a pu voir des anomalies vidéo ce jour-là.
Cet autre exemple d’interaction nous donne une indication sur le sentiment qu’avait l’entité au moment où il actionnait le Larynx. Beaucoup de « fausses notes » étaient déclenchées, c’est-à-dire des erreurs, comme l’on pourrait le faire avec un clavier d’ordinateur ou de téléphone. Florence déclarait qu’elle ne comprenait pas tous ces mots. C’est alors que nous entendions cette phrase un peu décousue : « Moi lent est« , autrement dit, l’entité se trouvait trop lente pour répondre précisément en trouvant les bonnes touches…
Terminons cet article par une autre phrase assez surprenante, comme souvent avec le Larynx d’ailleurs. C’était Nadine qui se trouvait dans la Cellule. Comme nous l’avons vu plus haut dans le texte, Nadine tentait d’entrer en contact avec « Guy« , son mari. C’est alors que nous entendions ces quatre mots assez étonnants : « Sans main est joie« . En considérant le contexte de l’expérience et en prenant en compte le fait que, ceux qui sont décédés n’ont plus de corps (mais encore une matière), ces mots ont une résonance particulière. Littéralement, cela voudrait dire que sans main, autrement dit sans corps, on peut tout de même être en joie ! C’est une sacrée bonne nouvelle. En effet, nous avons habituellement un manque cruel d’imagination pour considérer l’existence sans voir, sans entendre, ni toucher. Mais manifestement, l’existence de la conscience en dehors de la biologie est une expérience qui a du mal à être traduit avec des mots, somme toute, inventés par l’humanité.
Les autres anomalies obtenues ce jour-là






